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Hannoy
24 abonnés
305 critiques
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Critique de la série
4,0
Publiée le 9 septembre 2024
Funny Woman est une bonne comédie, et surtout, c’est drôle, on rigole (en tout cas moi). Le genre n’est pas révolutionnaire en soi, même si l’époque pouvait l’être, mais la bouffée de fraîcheur, portée par une photo et une bande-son de qualité, est authentique. Les dialogues sont de très bonne facture, et le scénario est bien ficelé : on découvre les personnages avec le déroulement de l’histoire, intégré au lieu, contrairement à la plupart du temps où les protagonistes s’époumonent sur de longs monologues insipides afin d’expliquer qui ils sont et pourquoi ils agissent ainsi. Bref, cette série est drôle, sensible et à voir.
Jolie découverte que cette série virevoltante, avec une héroïne (Gemma Arterton) formidable et craquante comme il faut, certaines scènes très drôles, et un enjeu que l'on suit avec gourmandise. Six épisodes, c'est un peu court tant on est bien dans cette histoire et avec ces personnages. Je reprendrai bien une saison 2, moi...
Ah c'est un régal ! Magnifique reconstitution du Swinging London, scénario agréable, amusant (oui bon, l'influence de Mrs Mazel est très visible mais ça vaut le coup quand même !) et jamais Gemma Atterton n'a été aussi séduisante, légère, touchante ! Excellent moment !
Une mini-série pétillante, adaptée d'un best-seller de Nick Hornby et taillée comme un écrin pour Gemma Arterton, qui crève l'écran avec une énergie virevoltante. Le charme désuet de cette Grande-Bretagne des swinging sixties offre un cadre original pour un récit en marge de beaucoup de productions actuelles et qui navigue entre drame et comédie, la résilience de son héroïne ne l'empêchant pas de traverser des moments de doutes assez touchants et où son insolence laisse place à plus de gravité. Tom Bateman et Rupert Everett - un poil trop cabotin comme souvent - complètent le casting de "Funny Woman", au final pas inoubliable mais légère comme une bulle de bon champagne !
Cette mini série british est légère et divertissante. Elle conte l’histoire d’une provinciale au caractère enjoué qui rêve de faire de la télévision en montant à Londres et qui finit par atteindre haut la main son objectif. Le rôle a été confié à une formidable Gemma Arterton grimée en blonde incendiaire, et beaucoup de passages sont très drôles. Un discours très adroit sur le féminisme est glissé ça et là, à une époque (années 70) où les femmes ne pesaient pas lourd. C’est bien fait, comme savent les Anglais qui n’ont pas leur pareil pour raconter des histoires. Vraiment à voir
On pense retrouver une touche de Fabuleuse Mme Maisel, en faite c’est pas loin d’être le cas. Le pétillant, le loufoque des situations sont absents. L’actrice est bien sauf quand elle veut faire rire (elle sur joue), ce qui est aussi dommage c’est la volonté de voir une femme qui voulait s’émanciper et qui reste terriblement traditionnelle somme toute. On ne va pas parler le la « mode » des revendications des minorités, elles n’existaient tout simplement pas. Le coup de faire croire que certains sujets étaient aborder sans raconter la réalité soit qu’un collège de censure lisait absolument tous les scénarios, regardait toutes les émissions enregistrées, les films et autre feuilleton. C’est bien dommage
Subtil tout en étant léger et jamais dans l'épate. Une plongée intéressante dans une époque, ses mœurs, sa conception du monde.
Le sujet, la réflexion sociologique toute en légèreté en font une série originale, fraîche, qui nous offre un peu de répit vis à vis des thèmes et mises en scène prétentieuses de la majorité des séries du moment. Ici il y a un fond, sans en avoir l'air. Au risque de ne pas être un grand succès commercial.
spoiler: Par contre, je ne sais pas si l'on doit considérer que c'est un spoiler, mais il n'y aura pas d'explosion dans le premier épisode, pas de héros qui tape sur des méchants. Au risque de sembler insipide pour certains.