Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Slate
par Rebecca Onion
Le sort réservé aux personnages les plus sympathiques est la véritable source du drame. Les rebondissements des jeux sont excitants. Quand l’équipe des personnages principaux – composée d’hommes et de femmes, de jeunes et de plus anciens – tire sur la corde pour battre une équipe plus forte composée uniquement d’hommes, j’ai encouragé chacun de leurs efforts, alors que leur victoire va provoquer la chute mortelle d’autres participants.
La critique complète est disponible sur le site Slate
Télé Loisirs
par Juliette Heuzebroc
Nombreuses sont les raisons qui font le succès le Squid Game auprès des internautes. D'abord, tous les éléments de mystère qui font s'interroger les fans : qui sont les organisateurs de ces jeux ? qui va s'en sortir ? L'esthétique très étudiée et soignée de la série n'y est pas pour rien non plus.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Ecran Large
par Déborah Lechner
Squid Game ne réinvente rien en matière de survival et s'encombre de quelques clichés attendus, mais la série compense son manque d'originalité par une attention toute particulière pour l'écriture et l'évolution de ses personnages, dont la déshumanisation progressive est la véritable horreur de la série.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
IGN France
par Damien Hilaire
Squid Game est donc un divertissement façon jeux du cirque qui frappe par sa dureté mais aussi son humanité. Les personnages sont prenants, leurs relations et réactions sont réalistes et on se prend à y penser, à se retrouver dans cette situation un jour, arriverions-nous à être meilleur ? (...) Le seul point noir de ce titre étouffant est la réponse à l'énigme finale, le qui, le pourquoi, qui se voit d'un peu trop loin.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
The Guardian
par Henry Wong
Si vous avez le cœur assez solide pour suivre les événements du premier épisode, ce qui suit est un thriller horrifique bien forcilé qui captive son audience. La série en neuf partie est la première à atteindre la première place de la plateforme aux États-Unis (…). Cela ne sera pas une surprise pour une génération ayant grandi avec des franchises dystopiennes comme Hunger Games et le film culte Battle Royale. Mais Squid Game dresse également le portrait de la société contemporaine en Corée du Sud, et les inégalités de richesse qui touchent sa population.
La critique complète est disponible sur le site The Guardian
Télérama
par Pierre Langlais
Si l’on tolère quelques facilités scénaristiques, rebondissements téléphonés et personnages secondaires caricaturaux, c’est aussi parce que le sens de la dramaturgie propre aux séries coréennes fait à nouveau mouche. Les sentiments sont exacerbés, soulignés dans des séquences étirées au maximum, les curseurs dramatiques poussés à fond, l’interprétation théâtrale, et certaines scènes font preuve d’un lyrisme boursoufflé. Mais, au lieu de créer une sensation d’artificialité, tout cela décuple notre plaisir. Et l’on en arrive à souhaiter que se poursuive un jeu de massacre, provoquant bien ici ou là un léger malaise, mais qui se suit jusqu’au bout avec un réjouissant sentiment de culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Slate
Le sort réservé aux personnages les plus sympathiques est la véritable source du drame. Les rebondissements des jeux sont excitants. Quand l’équipe des personnages principaux – composée d’hommes et de femmes, de jeunes et de plus anciens – tire sur la corde pour battre une équipe plus forte composée uniquement d’hommes, j’ai encouragé chacun de leurs efforts, alors que leur victoire va provoquer la chute mortelle d’autres participants.
Télé Loisirs
Nombreuses sont les raisons qui font le succès le Squid Game auprès des internautes. D'abord, tous les éléments de mystère qui font s'interroger les fans : qui sont les organisateurs de ces jeux ? qui va s'en sortir ? L'esthétique très étudiée et soignée de la série n'y est pas pour rien non plus.
Ecran Large
Squid Game ne réinvente rien en matière de survival et s'encombre de quelques clichés attendus, mais la série compense son manque d'originalité par une attention toute particulière pour l'écriture et l'évolution de ses personnages, dont la déshumanisation progressive est la véritable horreur de la série.
IGN France
Squid Game est donc un divertissement façon jeux du cirque qui frappe par sa dureté mais aussi son humanité. Les personnages sont prenants, leurs relations et réactions sont réalistes et on se prend à y penser, à se retrouver dans cette situation un jour, arriverions-nous à être meilleur ? (...) Le seul point noir de ce titre étouffant est la réponse à l'énigme finale, le qui, le pourquoi, qui se voit d'un peu trop loin.
The Guardian
Si vous avez le cœur assez solide pour suivre les événements du premier épisode, ce qui suit est un thriller horrifique bien forcilé qui captive son audience. La série en neuf partie est la première à atteindre la première place de la plateforme aux États-Unis (…). Cela ne sera pas une surprise pour une génération ayant grandi avec des franchises dystopiennes comme Hunger Games et le film culte Battle Royale. Mais Squid Game dresse également le portrait de la société contemporaine en Corée du Sud, et les inégalités de richesse qui touchent sa population.
Télérama
Si l’on tolère quelques facilités scénaristiques, rebondissements téléphonés et personnages secondaires caricaturaux, c’est aussi parce que le sens de la dramaturgie propre aux séries coréennes fait à nouveau mouche. Les sentiments sont exacerbés, soulignés dans des séquences étirées au maximum, les curseurs dramatiques poussés à fond, l’interprétation théâtrale, et certaines scènes font preuve d’un lyrisme boursoufflé. Mais, au lieu de créer une sensation d’artificialité, tout cela décuple notre plaisir. Et l’on en arrive à souhaiter que se poursuive un jeu de massacre, provoquant bien ici ou là un léger malaise, mais qui se suit jusqu’au bout avec un réjouissant sentiment de culpabilité.