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3,7
138 notes
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Votre avis sur Carl Hiaasen’s Bad Monkey ?
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Scénario banal, humour lourdingue. Il n'y a peut-être que la photographie qui dépayse un peu. Après 10 minutes du premier épisode, je m'ennuyais déjà. Je vous passe les incohérences telles qu'un bras qui se promène dans une glacière remplie de nourriture achetée par le policier, une médecin légiste qui manipule le bras avec des gants en latex avant de taper sur le clavier de son laptop avec ces mêmes gants (beurk !). Vince Vaughn peut être marrant avec de bons dialogues mais ce n'est pas le cas ici.
une très bonne petite série portée par un Vince Vaughn excellent, une bonne surprise dans un décor floridien vraiment cool
Pourquoi une telle moyenne,je suis fan ,c’est extrêmement drôle ,un polard un peu à l’ancienne mais avec un humour complètement déjanté.On aime bien l’histoire commentée en voix off.On dirait un polar de James Hadley Chase.Tous les acteurs et notamment le personnage principal sont excellents,servis par des dialogues savoureux.Et ceux qui parlent de vraisemblabilité!Mais ce n’est pas le propos,c’est une comédie!Beaucoup n’ont visiblement pas accès au 2 e degré.En plus les images de Floride sont magnifiques (bien mieux qu’en vrai).Pas étonnant que ce soit le même type qui ait réalisé(ou écrit ou produit,je sais pas)l’inoubliable Ted Lasso.Il est très bon.Vivement la suite.
En voyant la bande-annonce de cette série estivale avec Vince Vaughn, cela donnait envie, avec une série qui ne se prenait pas au sérieux.
La série suit les pérégrinations de l’ancien inspecteur de police Andrew Yancy, qui est un homme d’une grande honnêteté et de bienveillance, mais toutes ces actions finissent toujours pas se retourner contre lui.
Comme pour les séries comiques, l’ex-inspecteur passe son temps à être impliqué dans des imbroglio, prend toujours des risques, et a un toujours son instinct de flic qui lui dit que quelque chose cloche.
La série se permet de développer deux histoires en parallèles : à Miami avec Yancy, et dans les Bahamas avec Neville, un pêcheur local pauvre lui aussi bienveillant qui met son nez dans des affaires qui ne le concerne pas et déclenche des ennuis en cascades.
Les auteurs de la série s’appuie sur un casting de qualité, même pour des rôles secondaires comme Egg (David St. Louis), un homme de main lambda, mais tout de même attachant.
On découvre le sympathique Rogelio, joué par l’acteur John Ortiz, le meilleur ami de Yancy et collègue policier.
On retrouve Rob Delaney (Deadpool) dans le rôle Christopher, dans un rôle plus sombre et mature qu’on s’imagine.
On retrouve au détour d’un épisode, le grand Scott Glenn, dans un rôle d’ermite philosophe et père du héros.
L’atout charme de la série est la sublime et sexy Rosa (Natalie Martinez), grande habituée aux seconds rôles hispaniques, qui forme un tandem singulier avec Yancy, dont se dégage une alchimie dès les débuts, sans s’appuyer sur les poncifs romantiques désuets et déjà-vu.
Comme pour toute série policière, l’enquête a plusieurs niveaux de complexité, avec nombre de retournements de situations, de crimes multiples, et de mystères sur les auteurs de ces crimes.
Toute l’histoire est narrée par la voix Tom Nowicki, qui donne à la série une saveur particulière.
Bill Lawrence, l’un des auteurs de Shrinking, créateur vétéran des séries comiques, sait toujours manier l’humour, l’ironie, la critique de la société, tous en mettant ses personnages dans la panade.
On sent dans toute la série la bienveillance des auteurs, leur amour du genre, le respect qu’ils portent aux téléspectateurs, et le fait qu’ils mettent toujours en avant un casting constitué d’acteurs habitués aux rôles secondaires.
La série suit les pérégrinations de l’ancien inspecteur de police Andrew Yancy, qui est un homme d’une grande honnêteté et de bienveillance, mais toutes ces actions finissent toujours pas se retourner contre lui.
Comme pour les séries comiques, l’ex-inspecteur passe son temps à être impliqué dans des imbroglio, prend toujours des risques, et a un toujours son instinct de flic qui lui dit que quelque chose cloche.
La série se permet de développer deux histoires en parallèles : à Miami avec Yancy, et dans les Bahamas avec Neville, un pêcheur local pauvre lui aussi bienveillant qui met son nez dans des affaires qui ne le concerne pas et déclenche des ennuis en cascades.
Les auteurs de la série s’appuie sur un casting de qualité, même pour des rôles secondaires comme Egg (David St. Louis), un homme de main lambda, mais tout de même attachant.
On découvre le sympathique Rogelio, joué par l’acteur John Ortiz, le meilleur ami de Yancy et collègue policier.
On retrouve Rob Delaney (Deadpool) dans le rôle Christopher, dans un rôle plus sombre et mature qu’on s’imagine.
On retrouve au détour d’un épisode, le grand Scott Glenn, dans un rôle d’ermite philosophe et père du héros.
L’atout charme de la série est la sublime et sexy Rosa (Natalie Martinez), grande habituée aux seconds rôles hispaniques, qui forme un tandem singulier avec Yancy, dont se dégage une alchimie dès les débuts, sans s’appuyer sur les poncifs romantiques désuets et déjà-vu.
Comme pour toute série policière, l’enquête a plusieurs niveaux de complexité, avec nombre de retournements de situations, de crimes multiples, et de mystères sur les auteurs de ces crimes.
Toute l’histoire est narrée par la voix Tom Nowicki, qui donne à la série une saveur particulière.
Bill Lawrence, l’un des auteurs de Shrinking, créateur vétéran des séries comiques, sait toujours manier l’humour, l’ironie, la critique de la société, tous en mettant ses personnages dans la panade.
On sent dans toute la série la bienveillance des auteurs, leur amour du genre, le respect qu’ils portent aux téléspectateurs, et le fait qu’ils mettent toujours en avant un casting constitué d’acteurs habitués aux rôles secondaires.
Il faut du temps pour commencer à apprécier.
Carl Hiaasen’s Bad Monkey est une série qui adopte un style pas forcément accessible par le plus grand nombre. Un style narratif découpé comme un saucisson avec des courtes scènes qui sont reliées entre elles grâce aux explications d'une voix off très complice avec le spectateur que nous sommes. De plus, les séquences passent régulièrement du coq à l'âne : je vous assure qu'il faut suivre sinon on décroche rapidement. Cela vient probablement du fait que la série est adaptée d'un bouquin écrit justement par Carl Hiaasen.
Ce style est également très décalé que ce soit au niveau des personnages ou leurs dialogues. Des comportements parfois étranges ou parfois stupides mais toujours sur le ton de la bonne humeur et des plaisanteries. Souvent il m'est arrivé de me dire que ce n'est pas cohérent comme réaction ou attitude. Il y a beaucoup de déconvenues et de situations malaisantes qui ne correspondent pas vraiment à une réalité sensée. Mais voilà : c'est un choix délibéré et comme je le disais en introduction : il faut du temps pour apprécier. A noter que comme c'est adapté en série par Bill Lawrence, on devine bien les codes et l'ADN que l'on a pu apprécier dans Ted Lasso qu'il a justement également créé.
je reconnais qu'après un début très difficile et indigeste, j'ai failli abandonner avant la fin du premier épisode. C'est seulement après 2 ou 3 épisodes que j'ai fini par apprécier cet univers étonnant avec des gens surprenants. C'est assez unique mais c'est drôle et distrayant.
J'ai apprécié aussi le cadre dans lequel se déroule cette histoire : en partie du côté des terres vierges en Floride, l'archipel des Florida Keys. L'auteur dénonce d'ailleurs le désastre écologique causé par les constructions effrénées qui dénaturent le visage de la Floride de sa jeunesse. Du coup, Il y a un message environnemental dans la série.
Que retenir de Bad Monkey ? Tout n'est pas parfait. Ici et là, les nombreuses discussions souffrent parfois de longueurs. La série demande une attention permanent au risque de perdre pied. Mais c'est ingénieux, drôle et méchant à la fois. On a droit à un casting intéressant et talentueux qui joue des personnages audacieux avec beaucoup d'aplomb. Et puis, un cadre incroyable qui sent le rhum et les chemises hawaiiennes : c'est très divertissant.
Carl Hiaasen’s Bad Monkey est une série qui adopte un style pas forcément accessible par le plus grand nombre. Un style narratif découpé comme un saucisson avec des courtes scènes qui sont reliées entre elles grâce aux explications d'une voix off très complice avec le spectateur que nous sommes. De plus, les séquences passent régulièrement du coq à l'âne : je vous assure qu'il faut suivre sinon on décroche rapidement. Cela vient probablement du fait que la série est adaptée d'un bouquin écrit justement par Carl Hiaasen.
Ce style est également très décalé que ce soit au niveau des personnages ou leurs dialogues. Des comportements parfois étranges ou parfois stupides mais toujours sur le ton de la bonne humeur et des plaisanteries. Souvent il m'est arrivé de me dire que ce n'est pas cohérent comme réaction ou attitude. Il y a beaucoup de déconvenues et de situations malaisantes qui ne correspondent pas vraiment à une réalité sensée. Mais voilà : c'est un choix délibéré et comme je le disais en introduction : il faut du temps pour apprécier. A noter que comme c'est adapté en série par Bill Lawrence, on devine bien les codes et l'ADN que l'on a pu apprécier dans Ted Lasso qu'il a justement également créé.
je reconnais qu'après un début très difficile et indigeste, j'ai failli abandonner avant la fin du premier épisode. C'est seulement après 2 ou 3 épisodes que j'ai fini par apprécier cet univers étonnant avec des gens surprenants. C'est assez unique mais c'est drôle et distrayant.
J'ai apprécié aussi le cadre dans lequel se déroule cette histoire : en partie du côté des terres vierges en Floride, l'archipel des Florida Keys. L'auteur dénonce d'ailleurs le désastre écologique causé par les constructions effrénées qui dénaturent le visage de la Floride de sa jeunesse. Du coup, Il y a un message environnemental dans la série.
Que retenir de Bad Monkey ? Tout n'est pas parfait. Ici et là, les nombreuses discussions souffrent parfois de longueurs. La série demande une attention permanent au risque de perdre pied. Mais c'est ingénieux, drôle et méchant à la fois. On a droit à un casting intéressant et talentueux qui joue des personnages audacieux avec beaucoup d'aplomb. Et puis, un cadre incroyable qui sent le rhum et les chemises hawaiiennes : c'est très divertissant.
Bad Monkey est le parfait programme estival soit : une comédie policière prenant place entre Miami, les Keys et Andros, taillé pour Vince Vaughn, (bavard et cabot comme jamais) lequel est affublé d'une équipe haute en couleurs et parfaitement assortie. C'est drôle, frais, prenant (même si 8 episodes auraient suffi), à servir avec un cocktail, de la glace et des gambas.
Mini série à 1 saison, 10 épisodes. Soit on aime soit on déteste.
Tout dépend de votre humour.
Perso, j’adore.
Une histoire totalement tarabiscotée avec des personnages délirants.
J’ai passé d’agréables moments en regardant cette série ( bouclée en 2 soirées)
La fin, bien que ressemblant à un baisser de rideau, laisse un porte entrouverte sur une saison 2.
J’aimerais bien.
Tout dépend de votre humour.
Perso, j’adore.
Une histoire totalement tarabiscotée avec des personnages délirants.
J’ai passé d’agréables moments en regardant cette série ( bouclée en 2 soirées)
La fin, bien que ressemblant à un baisser de rideau, laisse un porte entrouverte sur une saison 2.
J’aimerais bien.
J'ai commencé à regarder cette série sans même avoir vérifié si les critiques étaient bonnes.
Quelle bonne surprise !! Un flic sur la touche commence à enquêter sur le décès du gars qui était initialement accroché au bras retrouvé en pleine mer par un pêcheur, rapidement aidé par une jeune médecin légiste évidemment canon.
Il y a tout un tas de petites histoires autour de cette disparition. Les histoires finissent par se croiser et influer les unes sur les autres, et l'humanité des protagonistes et leurs capacités à multiplier les choix foireux fait un peu penser aux frères Coen. Toutes ces intrigues sont servies par d'excellents acteurs, avec des dialogues souvent très drôles mais jamais dans l'excès ou dans la caricature. Il y a beaucoup de second degré, d'humour, d'humanité et de rebondissements dans cette comédie, qui a pour cadre les "Keys", un archipel paradisiaque quasi tropical au sud de Miami. Quelques paysages de rêve à savourer au passage ! La voix off est bien placée, avec son ton un peu ironique et blasé.
Perso, j'ai adoré, ma chérie aussi, elle a été happée alors que je regardais le 3è ou 4è épisode, du coup on est revenus au début et ça ne m'a pas du tout dérangé de les revoir (ce qui est un gage de qualité, parce que les trucs moyens réchauffés, on ne les voit plus avec le même oeil).
Franchement, un très agréable divertissement que je ne peux que recommander !
Quelle bonne surprise !! Un flic sur la touche commence à enquêter sur le décès du gars qui était initialement accroché au bras retrouvé en pleine mer par un pêcheur, rapidement aidé par une jeune médecin légiste évidemment canon.
Il y a tout un tas de petites histoires autour de cette disparition. Les histoires finissent par se croiser et influer les unes sur les autres, et l'humanité des protagonistes et leurs capacités à multiplier les choix foireux fait un peu penser aux frères Coen. Toutes ces intrigues sont servies par d'excellents acteurs, avec des dialogues souvent très drôles mais jamais dans l'excès ou dans la caricature. Il y a beaucoup de second degré, d'humour, d'humanité et de rebondissements dans cette comédie, qui a pour cadre les "Keys", un archipel paradisiaque quasi tropical au sud de Miami. Quelques paysages de rêve à savourer au passage ! La voix off est bien placée, avec son ton un peu ironique et blasé.
Perso, j'ai adoré, ma chérie aussi, elle a été happée alors que je regardais le 3è ou 4è épisode, du coup on est revenus au début et ça ne m'a pas du tout dérangé de les revoir (ce qui est un gage de qualité, parce que les trucs moyens réchauffés, on ne les voit plus avec le même oeil).
Franchement, un très agréable divertissement que je ne peux que recommander !
C’est tellement une catastrophe de bout en bout. Langue française très limitée, bête à souhait.
Comme série il y a beaucoup mieux pour perdre son temps : la maison, silo, alien romulus, severance, disclaimer.
Bad monkey il n’y a rien, aucune morale, un scénario débile.
A aucun moment c’est drôle, juste la voix off des résumés au début des épisodes qui vaut la peine, le reste c’est vraiment nul.
Comme série il y a beaucoup mieux pour perdre son temps : la maison, silo, alien romulus, severance, disclaimer.
Bad monkey il n’y a rien, aucune morale, un scénario débile.
A aucun moment c’est drôle, juste la voix off des résumés au début des épisodes qui vaut la peine, le reste c’est vraiment nul.