Aussi bien biopic de l'inventeur du spectacle érotique pour femme que fait réel allant jusqu'au policier, cette nouvelle "Star original" en plongée directe dans les années 80 fut aussi bien passionnante dans son récit et déroulement que mitigée sur son final. Premier erreur via l'affiche, la présence du couple Dan Stevens et Nicola Peltz ("Transformers 4"...) que j'étais ravis de revoir mais dont l'expresse participation à l'unique épisode pilot m'à clairement déçu par rapport à leur présence sur l'affiche. Puis le récit lui-même avec cette révolution dans le le monde du divertissement à savoir ce club de strip masculin dont les premiers instants furent hués avant d'être acclamés, une création et gestion par un Indo-américain qui là aussi, fera parler dans le mauvais sens dans une société raciste, homophobe et hyper nationaliste. Un casting qualitatif ou Kumail Nanjiani ("Les Eternels"...) rayonne et met le paquet dans ce rôle aussi charismatique, obsessionnel de pouvoir et donc capitaliste ou seuls le mot profit est roi en mettant celui d' "artistique" de côté. Le reste m'étant inconnu, il aura parfaitement gérer dans les scènes avec percussion et panache ou chacun aura nettement respecter le charactère dédié au rôle et métier exercer. Sur le show, inutile d'en faire des tonnes, le son gérer et collant à l'époque, une photo nickel et des chorégraphies fortement gérées ou le provoquant bouscule nettement les codes déontologique de cette période. Un récit ou les rivalités, soiffes d'argent et de reconnaissance sont maîtres mots et finissent par engendrer le drame final dont ce biopic fut rendu célèbre. Récit de racisme, de profit, de concurrence, de passé personnel et d'érotisme "moderne", 8 épisodes concluent d'une façon brutale et qui aurait dû être plus développer sans sauter les étapes. Néanmoins, fascinant de savoir qu'une partie de l'érotisme pour femme fut créer, par un homme issu d'une famille, très "catholique".