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A première vue, aucune différence avec toutes les séries, notamment ces dernières années, où, en gros, il est question de suivre, après un meurtre, l’enquête visant à retrouver l’assassin
La différence de ”The hunt for a killer” est pourtant de taille car elle est inspirée d'une histoire vraie qui a ”hanté” la Suède et qu’il s’agit de la 2è plus grande enquête de toute l’histoire suédoise, seulement dépassée par celle suite à l’assassinat du premier ministre Olof Palme en 1986
En effet, en mars 1989 à Hörby, dans le sud de la Suède, l’assassinat sordide d’Helen Nilsson, 10 ans, avait traumatisé tout le pays.
La mini-série de 6 épisodes est basée sur le livre de Tobias Barkman, et scénarisée par Lotta Erikson et Helene Lindholm.
C’est grâce à la pugnacité de deux policiers, à savoir Per-Åke Åkesson et Monica Olhed, dont le chemin va être semé d'embûches, que le coupable sera enfin trouvé mais au bout de 15 ans !
La mini-série offre une mise en scène très sobre. Bien qu’il ne s’agisse ”que” d’une mini-série de 6 épisodes, on pourra lui trouver certaines longueurs compte tenu du fait que le rythme n’a rien de ”trépidant” mais l’ensemble se suit avec intérêt du début à la fin .
La différence de ”The hunt for a killer” est pourtant de taille car elle est inspirée d'une histoire vraie qui a ”hanté” la Suède et qu’il s’agit de la 2è plus grande enquête de toute l’histoire suédoise, seulement dépassée par celle suite à l’assassinat du premier ministre Olof Palme en 1986
En effet, en mars 1989 à Hörby, dans le sud de la Suède, l’assassinat sordide d’Helen Nilsson, 10 ans, avait traumatisé tout le pays.
La mini-série de 6 épisodes est basée sur le livre de Tobias Barkman, et scénarisée par Lotta Erikson et Helene Lindholm.
C’est grâce à la pugnacité de deux policiers, à savoir Per-Åke Åkesson et Monica Olhed, dont le chemin va être semé d'embûches, que le coupable sera enfin trouvé mais au bout de 15 ans !
La mini-série offre une mise en scène très sobre. Bien qu’il ne s’agisse ”que” d’une mini-série de 6 épisodes, on pourra lui trouver certaines longueurs compte tenu du fait que le rythme n’a rien de ”trépidant” mais l’ensemble se suit avec intérêt du début à la fin .
Serial killer que la police met dix ans avant d'arrêter à cause de son incompétence. Basé sur une histoire vraie, cette série reprend les avancées ou les non-avancées d'une enquête qui traîne. On voit aussi les progrès de la médecine légale grâce à qui le meurtrier sera confondu. Mais on voit aussi qu'avec un peu de subtilité, elle aurait pu arrêter le tueur bien longtemps avant. Forcément, le côté "réalité" renforce le caractère dramatique de la situation et rend l'enquête plus captivante.
Sobre et efficace comme de nombreuses séries policières scandinaves, à la différence cette fois ci que c est inspiré de faits réels. C est d autant plus intéressant, car cette réalisation se montre à la hauteur dans une approche qui semble assez proche de la réalité… sans superflus. On peut remercier Arte qui nous fait découvrir ces œuvres de qualité des pays nordiques en Vf.
six épisodes intéressants retraçant avec une grande sobriété une enquête concernant le meurtre d'un enfant, les acteurs sont crédibles, la réalisation joue sur de petits détails signifiants, la psychologie des protagonistes et les faits, pas d'ennui même si j'ai regardé en accéléré
Une série sobre sans chichi basée sur une histoire réelle.
La fin est peut-être un peu poussive mais j'ai rarement vu une série aussi bien jouée et réalisée tout en étant d'une grande sobriété.
Ce qui est rare mérite donc 5 *.
La fin est peut-être un peu poussive mais j'ai rarement vu une série aussi bien jouée et réalisée tout en étant d'une grande sobriété.
Ce qui est rare mérite donc 5 *.
L’iconique chaine ARTE arrive régulièrement à nous dénicher des séries scandinaves « pas piquées des hannetons » (expression de vieux). Je suis tombé sur « The Hunt for a Killer », une série policière suédoise qui date de 2020. L’idée, ma foi intéressante, était de reprendre assez fidèlement une série de faits divers réels, des féminicides, et d’en faire une fiction. C’est ce qu’on appelle le « true crime » (le « documentaire criminel) ». La principale limite à ce genre se trouve dans la dépendance au timing de l’enquête qui se déroule sur 15 ans sur 6 épisodes. Comme toute série venue du nord, c’est lent, mais dans ce cas précis, à cause de la volonté de coller à la vérité, l’histoire peine à décoller. Elle « s’emballe » néanmoins à partir des deux derniers épisodes et grâce à l’évolution des techniques de la police scientifique. Pour combler les (nombreux) temps volontairement faibles, car l’enquête n’avance pas vraiment, une histoire de bureaucratie est ajoutée (fait véridique ?). « The Hunt for a Killer » est cependant une plongée singulière dans le monde de la perversité sous tous ses angles et de la misère affective et sociale.
Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
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Une série moyenne basée sur un fait divers réel, on peut regretter la multitude de flashbacks qui rend l'ensemble confus : c'est dommage.