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Votre avis sur Dahmer : Monstre - L'histoire de Jeffrey Dahmer ?
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Il faut s'armer de beaucoup de persévérance pour dépasser les interminables lenteur des premiers épisodes. Assurément, cette série ne méritait pas les 10 heures de ces 10 très longs épisodes. A voir tout de même.
Dès scènes parfois bien crado, sinon tres bonne série. Basé sur des faits réels ne l'oublions pas. le mec c'était vraiment un psychopathe.
AMCHI
Dahmer retrace la vie sanglante et meurtrière d'un tueur en série assez célèbre dans sa catégorie. Je me rappelle qu'ado je m'étais acheté un livre avec des portraits de serial killer et parmi eux il y avait Jeffrey Dahmer dont le parcours m'avait marqué, il faut dire qu'il a fait la totale dans son genre car en plus d'avoir un nombre certain de victimes il voulait en faire des zombies à sa botte et a pratiqué le cannibalisme et la nécrophagie.
Cette série Netflix est d'une belle qualité et tout en étant morbide elle ne cède pas uniquement au gore (à savoir que pour ceux qui veulent du sang qui gicle il y a finalement peu de passages d'horreur pure), elle s'intéresse notamment aux familles des victimes.
Evan Peters est celui qui interprète le tueur, il le fait avec beaucoup de conviction en reprenant même la tessiture du vraie Dahmer. Le reste des acteurs jouent aussi très bien.
La plupart des épisodes sont très bons mais 8 épisodes auraient sûrement suffi, ce qui est raconté durant les 2 derniers épisodes auraient pu tenir sur un seul.
Dans l'ensemble cette série nous montre de façon réaliste la vie de Dahmer. Malgré tout des points sont ignorés comme par exemple qu'il n'avait pas de permis de conduire et que cela était difficile de ramener chez lui le tonneau d'acide (pour dissoudre certaines parties des cadavres), il dut utiliser un taxi.
Cette série Netflix est d'une belle qualité et tout en étant morbide elle ne cède pas uniquement au gore (à savoir que pour ceux qui veulent du sang qui gicle il y a finalement peu de passages d'horreur pure), elle s'intéresse notamment aux familles des victimes.
Evan Peters est celui qui interprète le tueur, il le fait avec beaucoup de conviction en reprenant même la tessiture du vraie Dahmer. Le reste des acteurs jouent aussi très bien.
La plupart des épisodes sont très bons mais 8 épisodes auraient sûrement suffi, ce qui est raconté durant les 2 derniers épisodes auraient pu tenir sur un seul.
Dans l'ensemble cette série nous montre de façon réaliste la vie de Dahmer. Malgré tout des points sont ignorés comme par exemple qu'il n'avait pas de permis de conduire et que cela était difficile de ramener chez lui le tonneau d'acide (pour dissoudre certaines parties des cadavres), il dut utiliser un taxi.
Yetcha
Une très bonne série sur un des tueurs en série les plus emblématique et atroce de l'humanité toute entière. Je trouve intéressant d'avoir fait cette série qui reprend en détails la vie de Dahmer et son comportement. Ici nul glorification, juste des faits racontés avec la froideur nécessaire pour tenter de comprendre comment un être humain peut en arriver là. L'interprétation de Even Peters est remarquable, pas facile d'incarner un tel personnage.
Excellente maitrise de ce biopic hyper dérangeant, sur le fil de ce qui peu être montré et un focus soigné sur la "psychologie" de Dahmer. Servie par un excellent casting et une mise en scène assez linéaire pour la compréhension. Une réussite. 4/5 !!!
Mini-série captivante et hyper réaliste. On est plongés dans le vif du sujet dès le premier épisode. Une ambiance glauque et oppressante dans quasi chaque épisode, même si je n'ai pas trouvé la série très gore ou horrifique, c'est plutôt le côté biopic qui est terrifiant, se dire que ce type a réellement existé.
«Je veux entendre ton cœur, parce que je vais le manger.»
Un peu à la manière de ce qu'il avait déjà entrepris dans la 2e saison de son «American Crime Story», Ryan Murphy nous replonge dans la tête d'un autre individu tristement célèbre : Jeffrey Dahmer.
Décortiquant son parcours de vie et son mode opératoire, l'histoire installe dès le départ une atmosphère oppressante qui nous enserre sans jamais nous relâcher, à l'image du piège que dressa Dahmer à ses nombreuses victimes.
Le récit d'un homme qui se sentait constamment abandonné et fit ressentir ce sentiment à d'autres hommes quand il prenait le contrôle sur eux et ne leur laissait plus aucune échappatoire.
Une mini-série qui a l'intelligence d'éviter de flirter avec le sensationnalisme et la fascination morbide envers son protagoniste principal.
Une œuvre pesante qui donne également sa voix aux victimes et aux différentes personnes (parents, voisine, survivants, proches de victimes) impactées malgré elles par les meurtres du tueur en série, et cela en multipliant les points de vue à partir du 6e épisode.
Un tueur qui put opérer en toute quiétude durant plusieurs années à l'aide de l'inaction des forces de l'ordre et du laxisme de la justice, et restera à jamais gravé dans la mémoire des personnes qui ont malheureusement croisé sa route.
Acteur fétiche de Murphy, Evan Peters (American Horror Story) y est terrifiant de mimétisme dans le rôle-titre, et le casting qui l'entoure (Richard Jenkins, Niecy Nash, Penelope Ann Miller, etc.) n'est pas en reste, bien au contraire.
Réalisée notamment par Gregg Araki et Jennifer Lynch, une œuvre qui cherche à mettre des mots sur l'inexplicable et l'inexcusable.
Car derrière le monstre, il y avait un être de chair et de sang. Et un simple humain accomplissant des choses aussi monstrueuses, on aura toujours du mal à le croire et à l'accepter.
Une réussite glaçante à ne pas mettre entre toutes les mains.
Un peu à la manière de ce qu'il avait déjà entrepris dans la 2e saison de son «American Crime Story», Ryan Murphy nous replonge dans la tête d'un autre individu tristement célèbre : Jeffrey Dahmer.
Décortiquant son parcours de vie et son mode opératoire, l'histoire installe dès le départ une atmosphère oppressante qui nous enserre sans jamais nous relâcher, à l'image du piège que dressa Dahmer à ses nombreuses victimes.
Le récit d'un homme qui se sentait constamment abandonné et fit ressentir ce sentiment à d'autres hommes quand il prenait le contrôle sur eux et ne leur laissait plus aucune échappatoire.
Une mini-série qui a l'intelligence d'éviter de flirter avec le sensationnalisme et la fascination morbide envers son protagoniste principal.
Une œuvre pesante qui donne également sa voix aux victimes et aux différentes personnes (parents, voisine, survivants, proches de victimes) impactées malgré elles par les meurtres du tueur en série, et cela en multipliant les points de vue à partir du 6e épisode.
Un tueur qui put opérer en toute quiétude durant plusieurs années à l'aide de l'inaction des forces de l'ordre et du laxisme de la justice, et restera à jamais gravé dans la mémoire des personnes qui ont malheureusement croisé sa route.
Acteur fétiche de Murphy, Evan Peters (American Horror Story) y est terrifiant de mimétisme dans le rôle-titre, et le casting qui l'entoure (Richard Jenkins, Niecy Nash, Penelope Ann Miller, etc.) n'est pas en reste, bien au contraire.
Réalisée notamment par Gregg Araki et Jennifer Lynch, une œuvre qui cherche à mettre des mots sur l'inexplicable et l'inexcusable.
Car derrière le monstre, il y avait un être de chair et de sang. Et un simple humain accomplissant des choses aussi monstrueuses, on aura toujours du mal à le croire et à l'accepter.
Une réussite glaçante à ne pas mettre entre toutes les mains.
On va pas se mentir, cette série a été clairement surcotée et je vais expliquer pourquoi dans ma critique. Ok, la prestation d'Evan Peters est incroyable, l'ambiance est fidèle à la réalité, la photographie est réussie et le tout est malsain sans être trop voyeur mais pour le reste ... tout est assez lent, beaucoup de choses répétitives, pas assez de profondeur dans l'histoire du personnage ce qui nous empêche clairement d'être imprégné, un manque de vraie bande originale, etc. Je dis pas que "Dahmer" est foiré mais on en a tellement fait une production exceptionnelle qu'au final, je ne peux qu'être déçu. C'est souvent le cas sur les plateformes de streaming et encore plus lorsque cela nous vient des États-Unis et il faut faire avec. Selon moi, ce n'est pas révolutionnaire, il y a des bons ingrédients mais la recette n'est pas réussie à cent pour cent et je le répète : ce n'est que mon avis. 12/20.
Dik ap Prale
Un profile de tueur minutieusement élaboré, élargie aux champs des victimes, des témoins, des famille, du jugement final aux conséquences pour tous.
Les troubles, les remords, la peine mais également des repentirs dû à la compréhension de sa nature ;
Une tension politique et sociale autour cette affaire qui s'élargit aux champs des possibles et fait de Dahmer une série des plus riche.
La compréhension et l'aisance sur l'apport du détail à chaque épisode provoque une réaction, une contraction qui nous confronte aux craintes et danger de ce que l'on déclenche sans en être conscient. Les absences et les mauvais repères familiaux. Du père à ses pulsions non terrées et transmises aux troubles du manque, on ne se prend pas d'affection mais on se révolte et se crispe.
Une série des plus soignées. Immanquable.
Les troubles, les remords, la peine mais également des repentirs dû à la compréhension de sa nature ;
Une tension politique et sociale autour cette affaire qui s'élargit aux champs des possibles et fait de Dahmer une série des plus riche.
La compréhension et l'aisance sur l'apport du détail à chaque épisode provoque une réaction, une contraction qui nous confronte aux craintes et danger de ce que l'on déclenche sans en être conscient. Les absences et les mauvais repères familiaux. Du père à ses pulsions non terrées et transmises aux troubles du manque, on ne se prend pas d'affection mais on se révolte et se crispe.
Une série des plus soignées. Immanquable.
Une série qui commence fort avec un épisode qui lance parfaitement cette série.
Le reste,on est entre épisodes sympa et épisodes moyen à cause d'une trame trop lente.
Le reste,on est entre épisodes sympa et épisodes moyen à cause d'une trame trop lente.
HamsterPsycho
Evan Peters est glaçant dans ce rôle.La série n'est pas aussi gore que ce que l'on aurait pu craindre, vu qu'il s'agit du "Cannibale de Milwaukee". Il faut passer le cap du 1er épisode, qui est en huis-clos; un huis-clos oppressant et lent. Ensuite, la série se construit comme la personnalité de Dahmer, au fil des années, des différentes relations familiales et sociales qui se nouent ou dénouent. Certains épisodes se concentrent quasi exclusivement sur certaines victimes, ou certains témoins dont la vie aussi a été détruite. L'ensemble est un mélange de chronique judiciaire, tentative de cerner la personnalité et les motivations de Dahmer et de rendre hommage aux victimes et familles de victimes, sans complaisance.
Très bien mis en scène, très bien joué par les comédiens… mais le récit retraçant le parcours macabre de ce monstre abominable est tellement épouvantable et effrayant qu il est difficile d’apprécier la fiction.
Néanmoins le traitement est remarquable en travaillant sur toutes les victimes indirectes.
Mais le sujet est si effrayant qu on ne peut ressentir que du dégoût
Néanmoins le traitement est remarquable en travaillant sur toutes les victimes indirectes.
Mais le sujet est si effrayant qu on ne peut ressentir que du dégoût
Très bien écrit et une mise en scène hyper soignée. J'en attendais pas grand chose et donc ma surprise fut agréable. Acteur habité par son personnage glaçant, le film évite assez subtilement le coté racoleur et voyeuriste sans perdre l'horreur de cette histoire des plus macabre...
Sans parler du côté éthique de savoir si l'on entrave la vie privée des familles des victimes en réalisant (et en regardant) cette série, il est dur d'arguer en défaveur de celle-ci d'un pur point de vue cinématographique.
Parce qu'en ce sens là, si ce n'est quelques longueurs à la fin (qui plaident pour l'éthique du script), "Dahmer" de Ryan Murphy et Ian Brennan est un véritable chef d'œuvre à tous les niveaux et sans aucun faux-pas : bande originale, scénario, jeu d'acteurs, son, mise en scène, photographie, décors, montage, sont tous excellents (voire même géniaux pour certains).
Le premier épisode est suffocant et annonce clairement l'intention : "Si vous avez peur des nuances les plus sombres que peuvent receler l'esprit humain, passez votre chemin".
Cet épisode est un délice masochiste pour certains (dont je fais partie, sans honte), pour d'autres il risque d'être impossible à regarder.
La suite de la série continue sur le même chemin, et rien ne fera du bien. Pire (et donc encore plus savoureux pour ceux qui souhaitent accéder aux entrailles des ténèbres de l'âme), lorsqu'on pensera pouvoir souffler, les scénaristes ne nous feront replonger que plus bas encore.
Maintenant, pour le côté éthique.
Si j'avais été victime de Dahmer de près ou de loin, j'aurais demandé à Netflix de me demander la permission de faire de ce drame une série "croustillante" (quoique le pire des faits n'est jamais montré ni même mentionné, et peut-être que c'est mieux ainsi).
J'aurais même peut-être poursuivi la plateforme.
Parce que sincèrement, Qui, de ces victimes, aura envie de revoir surgir sur la scène publique cette histoire terrifiante si bien portée à l'écran qu'elle entraîne forcément un rapport schizophrène de fascination morbide et d'empathie pour Jeffrey Dahmer ?
Dans un dialogue, une question avec réponse est d'ailleurs directement posée. La figure du monstre déclare que dans les films, ce sont les méchants qu'elle préfère. En face de lui, la figure du bon répond qu'elle aussi, parce qu'ils sont toujours mieux écrits.
La question a été posée en interne et nous questionne directement sur pourquoi une série comme celle-ci existe.
Parce qu'en ce sens là, si ce n'est quelques longueurs à la fin (qui plaident pour l'éthique du script), "Dahmer" de Ryan Murphy et Ian Brennan est un véritable chef d'œuvre à tous les niveaux et sans aucun faux-pas : bande originale, scénario, jeu d'acteurs, son, mise en scène, photographie, décors, montage, sont tous excellents (voire même géniaux pour certains).
Le premier épisode est suffocant et annonce clairement l'intention : "Si vous avez peur des nuances les plus sombres que peuvent receler l'esprit humain, passez votre chemin".
Cet épisode est un délice masochiste pour certains (dont je fais partie, sans honte), pour d'autres il risque d'être impossible à regarder.
La suite de la série continue sur le même chemin, et rien ne fera du bien. Pire (et donc encore plus savoureux pour ceux qui souhaitent accéder aux entrailles des ténèbres de l'âme), lorsqu'on pensera pouvoir souffler, les scénaristes ne nous feront replonger que plus bas encore.
Maintenant, pour le côté éthique.
Si j'avais été victime de Dahmer de près ou de loin, j'aurais demandé à Netflix de me demander la permission de faire de ce drame une série "croustillante" (quoique le pire des faits n'est jamais montré ni même mentionné, et peut-être que c'est mieux ainsi).
J'aurais même peut-être poursuivi la plateforme.
Parce que sincèrement, Qui, de ces victimes, aura envie de revoir surgir sur la scène publique cette histoire terrifiante si bien portée à l'écran qu'elle entraîne forcément un rapport schizophrène de fascination morbide et d'empathie pour Jeffrey Dahmer ?
Dans un dialogue, une question avec réponse est d'ailleurs directement posée. La figure du monstre déclare que dans les films, ce sont les méchants qu'elle préfère. En face de lui, la figure du bon répond qu'elle aussi, parce qu'ils sont toujours mieux écrits.
La question a été posée en interne et nous questionne directement sur pourquoi une série comme celle-ci existe.
Du très très bon, qui aurait pu s'inscrire avec justesse comme une saison d'American Crime Story, du même créateur. Evan Peters est bouleversant, apportant même au personnage une humanité toute relative. C'est stressant, violent et sincère à la fois, et ça balaie tout l'entourage, plus ou moins lointain, du serial killer. La série se dévore toute seule et constitue un joli tour de force!