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Pamolico - blog
11 abonnés
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Critique de la série
3,0
Publiée le 3 octobre 2021
Attachante et tendre, parfois piquante, cette minisérie oscille entre comédie et drame tout en pointant du doigt le fossé générationnel qui se creuse peu à peu dans les universités outre-Atlantique (mais en France aussi). Le point de vue adopté ici est celui des professeurs, ce qui démarque les 6 épisodes des school stories classiques et ce malgré ses réparties parfois attendues. En outre, The Chair évoque également le syncrétisme culturel américain et la difficulté des femmes à percer le plafond de verre tout en assurant avec leur enfant, autant de sujets actuels (plus de détails : https://pamolico.wordpress.com/2021/10/03/the-chair-directrice-amanda-peet/)
Drôle et très fin, acteurs parfaits...bref, un très bon moment. Une réserve : dans les derniers épisodes le rythme s'est un peu ralenti et c'était un peu moins drôle, mais ça reste une série réussie, intelligente et très agréable à voir.
Série très agréable, bien jouée et touchante. Quelques passages marrants et réflexions sur notre société. Ce n'est pas une série révolutionnaire mais assez innovante et sympathique. Ça fait du bien de voir une série simple, sans prise de tête, ni violence.
Une très bonne série (ou plutot long film) regardée en une soirée. Ambiance université studieuse américaine (pelouse, colonnes et murs lambrissés) dans un département d'anglais, avec la musique de vampire weekend en prime qui nous ramene, avec plaisir, quelques années en arrière. Une série bien réalisé et légère qui se regarde avec plaisir, et soulève pourtant des sujets aussi importants que les discriminations, les intentions ou les origines, mais avec beaucoup de subtilité, d'intelligence et d'humour. Rafraichissant ! Un petit plus pour les acteurs vraiment très bien.
Au départ de la minisérie, nous découvrons la joyeuse bande de professeurs d'université de ce département d'anglais en pleine crise. Etant donné que parmi les acteurs qui jouent ces personnages, plusieurs ont plus de 75 ans (le pompon revenant à Crawford qui a 84 ans), les étudiants désertent leurs cours pour suivre ceux d'une assistante de couleur qui sait rendre les siens plus attrayants. J'ignore pourquoi il n'y a pas de limite d'âge pour exercer dans les universités US mais visiblement, c'est un problème. Ou alors, c'est le créateur de la série qui a fait ce choix, y voyant une potentielle source comique. Bref, en six épisodes de trente minutes, nous participons à la vie professionnelle et privée de la directrice du département qui fait face à des problèmes divers. Pour ma part, rien de très attrayant dans le scénario et les gags ne m'ont pas semblé très fins. Cela peut néanmoins faire sourire par moment, surtout ceux qui connaissent la littérature anglaise et peuvent suivre certaines discussions en amphithéâtre.
Les personnages principaux sont vraiment interessants et il y a pas mal d'humour. Mais au fur et à mesure ça tourne en rond et on commence à ne plus supporter cette gamine insupportable qui crie continuellement. Dommage l'idée était bonne.
J'adore Sandra OH, et à la base, je trouvais le sujet assez intéressant. Sauf que, grosse déception, c'est plat et l'histoire ne semble jamais vraiment décoller. Vraiment dommage.
Encore une fois, certains producteur et scénaristes pensent que récupérer Sandra Oh en tête d’affiche suffi à faire une comédie désopilante. Il n’en n’est rien.
Si le teaser arrive à faire illusion, le pilote renvoi le téléspectateur à d’autres programmes aussi sec.
Il n’y a pas une once d’humour dans ce show, pas même un commencement de situation ou de personnages qui pourraient être drôle.
Comme d’habitude, il s’agit en fait d’un drame vaguement tragi-comique sur les coulisses de la section d’anglais d’une prestigieuse université américaine qui est dans une mauvaise passe.
On sent que le show a repris les fonds de tiroir avec des acteurs très âgés, sortit de leur maison de retraite pour jouer comme au bon vieux temps : faire des blagues sur Ronald Reagan et livrer des critiques virulentes sur ces maudites VHS qui finiront par tuer le 7ème art.
On va dire que Sandra Oh et Nana Mensah jouent de manière correcte, sans nous éviter la fadeur de ce show, sorti 40 ans trop tard. Un non-évènement.
Une série à mi-chemin entre Maguy (1985) et Madame est servie (1984). Avis aux fans des feuilletons des années 80 et de séries vraiment pas drôles.
J'ai apprécié cette mini série plus fine qu'il n'y paraît et ancrée dans le temps actuel. On y retrouve certaines préoccupations et revendications sociétales d'aujourd'hui. A voir.
Une série dont la bande-annonce m'avait fait envie et qui au final est plus que ratée. Comédie pas drôle du tout, satire assez peu mordante du wokisme dans les universités américaines, Directrice réussit à tout rater. Seul point positif, les épisodes sont courts et peu nombreux. On souffre donc moins longtemps devant.
C’est une série intelligente, féministe, drôle. Je ne me demande pas toutes les 5 minutes si je vais tomber sur un cliché comme dans certaine série à succès. Je regarde avec plaisir et admiration.
Sans intérêt. Un cadre qui intéresse peut-être certains américains : une université américaine poussiéreuse avec essentiellement des professeurs ridiculement vieux ; des personnages soit sans intérêt soit excessifs.
c'est moi, c'est long c'est nul, aucune intrigue, scenario tellement plat que ca doit etre un enfant de 3 mois qui a ecrit les dialogues. si vous voulez passer un bon moment regardez ce que vous voulez mais pas cette serie pardon, cette daube.