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Alors que cette série est excellente par ailleurs, c'est quoi cette fin de série (saison 3) en queue de poisson ?
Audrey L
Beastars, ou une sorte de Zootopie en version plus adulte, plus pragmatique, plus sombre... Cela commence avec un meurtre dans une école, et nous voilà projetés dans un monde où les animaux sont personnifiés en société qui fonctionne (ou pas ! Justement !) sur le principe de "personne ne mange personne". Sauf que, bien vite, on nous montre les coulisses de ce système impossible, et cela fait mal au cœur par la cruauté des pratiques bestiales, violentes, sadiques. Là est vraiment l'intérêt de cette série, qui se pare en plus de dessins magnifiques et d'une fluidité de mouvement réaliste, qui se regarde facilement : la saison 1 ne comporte que 12 épisodes de 23 minutes, qu'on regarde d'un coup sans problème. En revanche, on déplore la romance tripartite (voire à quatre personnes) qui est vite épuisante avec toujours la même scène : "oh elle est herbivore, je suis carnivore, je pourrai la manger..." puis une situation incongrue où le prédateur a les crocs au ras de la tête de la proie, puis "oh est-ce qu'il va me manger... ?", oh suspens... On sature !!! Déjà que ce genre de situation "pseudo-glauque-romantique" ne fait tourner la tête qu'aux gamines de douze ans, on se la repaye toutes les dix minutes ! Alors on enchaîne les soupirs désabusés devant tant d'immaturité (dommage dans un univers si sombre !), surtout qu'on entend environ dix-sept mille fois les mots "herbivore" et "carnivore" ce qui rend tout simplement dingue (enlevez ces deux mots, plus de 90% des dialogues sautent...). Épuisante autant qu'incompréhensible cette fixette sur ce seul élément du scénario, alors qu'il y en avait bien d'autres à développer (le meurtre par exemple ? On pourrait s'y intéresser ? Non, il vaut mieux voir et revoir cent fois le loup qui se colle à la lapine en ne sachant que faire, même à l'épisode 11...). La séquence post-générique de fin nous a promis qu'on s'intéressera (enfin) aux meurtres dans la saison suivante... Et ça ne sera pas trop tôt. Une distopie animale très mature et intelligente, noyée dans du sentiment "de prédation" cucul et omniprésent.
Excellente série, je l'ai découvert par hasard sur Netflix. Et franchement moi qui ne suis habituellement pas intéressé au manga Japonais et bien franchement très bonne surprise. Ca ressemble a un film Disney sorti en 2016 mais cette série la est plus adulte, plus sombre et beaucoup plus réaliste et plus de suspens. Beaucoup de question à la fin de cette saison 1 qui n'ont pas encore trouvé réponse, j'adore le personnage de Legoshi. Vous retrouverez tout les attraits de notre société (corruption, sexe, acceptation de soi, violence, le rejet...)
Je vous recommande cette série, moi j'attend la saison 2 avec impatience !!!!
Je vous recommande cette série, moi j'attend la saison 2 avec impatience !!!!
Perso très bien fait physiquement et caractères
Sombre, noir
J'ai adoré j'attends la saison 3 avec impatience
Sombre, noir
J'ai adoré j'attends la saison 3 avec impatience
L'Info Tout Court
Beastars est une prouesse technique et narrative unique qui fait du show une perle esthétique, où violence extrêmement sanglante et sentiments doucereux s’entendent à l’unisson. Une merveilleuse tragédie.
Très bon manga, allégorique, parfois dérangeant ce qui en fait une œuvre surprenante ! Les personnages principaux sont très complexes que ce soit Haru, Legoshi ou Rouis. C' est carrément pas pour les plus jeunes car la série est par moment très violente par ce qu 'elle montre et parce qu' elle va sous-entendre.
Ce début de 3ème saison est à la hauteur des 2 saisons précédentes, elle compte 24 épisodes que Neflix va diffuser en 2 partie. La date de diffusion de la seconde partie n' a pas encore été annoncée. Bref animé à voir absolument.
Ce début de 3ème saison est à la hauteur des 2 saisons précédentes, elle compte 24 épisodes que Neflix va diffuser en 2 partie. La date de diffusion de la seconde partie n' a pas encore été annoncée. Bref animé à voir absolument.
Le pitch est excellent: on se retrouve dans l'univers de ZOOTOPIA, avec toujours une lapine et un loup à la place du renard.
Sauf qu'ici, c'est le côté sombre de l'univers, avec la question sociétale : les instincts sont-ils plus forts que le lissage social ? Peut-on éternellement refouler ses instincts de prédateurs, gommer sa nature profonde, au nom d'un "vivre-ensemble" qui semble reposer sur bien peu de chose ?
L'anime est en 3D, et si c'est très bien fait (on ne s'en rend compte que dans l'animation, non dans le dessin) il reste les problème inhérent à tous ces anime en 3D : les visages sont incapable de la moindre expressivité. Fini le génie des animateurs qui savaient exagérer les expressions de visage pour notre plus grand plaisir. Donc les personnages sont mornes.
Le héros, le loup, est spécialement morne, déjà que c'est un personnage complètement mou (ce qui rend d'ailleurs ses incroyables performances de combattants très peu crédibles).
La lapine, l'autre héroïne, est une nymphomane qui propose direct une fellation au héros lors de leur première rencontre (dans une scène d'ailleurs complètement nulle), ça pose le DA et ça casse l'ambiance. On découvrira que spoiler: c'est limite la prostituée de l'école
, mais on veut nous la rendre sympathique, parce qu'elle est fragile et mignonne. Ca passe pas non plus.
Le plus dérangeant dans l'histoire, est l'ambivalence continue entre carnivore et sexe. On a systématiquement l'impression, quand un carnivore laisse parler ses instincts et se lèche les babines à l'idée de dévorer une chair fraiche, qu'on parle en fait de sexe (et de viol donc). Les carnivores sont-ils tous des violeurs refoulés qui parfois se laissent dériver ? L'amour très charnel du loup pour le lapin ("érotique" au sens étymologique du terme donc) peut-il vraiment se muer en amour véritable (philia) ? C'est l'histoire que tente de dérouler l'anime, mais c'est sans saveur, sans intérêt, et on se fiche complètement de cette histoire improbable.
En revanche ce qui sauve l'anime ce sont les autres personnages, notamment Louis le Cerf (Rouis) qui est le seul personnage véritable héroïque et qui met une bonne claque au spectateur. Même si le scénario tente d'en faire un personnage égoïste et parvenu, ça ne prend pas car son héroïsme est patent, quelles que soient ses motivations. Heureusement, presque tout l'anime est concentré sur lui. Et il est la vrai star du dessin animé (le beastar !)
je trouve dommage aussi le traitement de Luno la louve, qui mérite bien plus l'amour qu'elle espère que la nympho de lapine , qui est admirable dans son comportement, mais qui reste pourtant délaissée.
Donc au final on sort avec une impression très mitigée : une excellente réalisation au service de peu d'histoire, des personnages secondaires bien plus riches que les personnages principaux sans saveurs, mais un univers zootopiesque qui reste intéressant comme caricature de notre propre société.
Sauf qu'ici, c'est le côté sombre de l'univers, avec la question sociétale : les instincts sont-ils plus forts que le lissage social ? Peut-on éternellement refouler ses instincts de prédateurs, gommer sa nature profonde, au nom d'un "vivre-ensemble" qui semble reposer sur bien peu de chose ?
L'anime est en 3D, et si c'est très bien fait (on ne s'en rend compte que dans l'animation, non dans le dessin) il reste les problème inhérent à tous ces anime en 3D : les visages sont incapable de la moindre expressivité. Fini le génie des animateurs qui savaient exagérer les expressions de visage pour notre plus grand plaisir. Donc les personnages sont mornes.
Le héros, le loup, est spécialement morne, déjà que c'est un personnage complètement mou (ce qui rend d'ailleurs ses incroyables performances de combattants très peu crédibles).
La lapine, l'autre héroïne, est une nymphomane qui propose direct une fellation au héros lors de leur première rencontre (dans une scène d'ailleurs complètement nulle), ça pose le DA et ça casse l'ambiance. On découvrira que spoiler: c'est limite la prostituée de l'école
, mais on veut nous la rendre sympathique, parce qu'elle est fragile et mignonne. Ca passe pas non plus.
Le plus dérangeant dans l'histoire, est l'ambivalence continue entre carnivore et sexe. On a systématiquement l'impression, quand un carnivore laisse parler ses instincts et se lèche les babines à l'idée de dévorer une chair fraiche, qu'on parle en fait de sexe (et de viol donc). Les carnivores sont-ils tous des violeurs refoulés qui parfois se laissent dériver ? L'amour très charnel du loup pour le lapin ("érotique" au sens étymologique du terme donc) peut-il vraiment se muer en amour véritable (philia) ? C'est l'histoire que tente de dérouler l'anime, mais c'est sans saveur, sans intérêt, et on se fiche complètement de cette histoire improbable.
En revanche ce qui sauve l'anime ce sont les autres personnages, notamment Louis le Cerf (Rouis) qui est le seul personnage véritable héroïque et qui met une bonne claque au spectateur. Même si le scénario tente d'en faire un personnage égoïste et parvenu, ça ne prend pas car son héroïsme est patent, quelles que soient ses motivations. Heureusement, presque tout l'anime est concentré sur lui. Et il est la vrai star du dessin animé (le beastar !)
je trouve dommage aussi le traitement de Luno la louve, qui mérite bien plus l'amour qu'elle espère que la nympho de lapine , qui est admirable dans son comportement, mais qui reste pourtant délaissée.
Donc au final on sort avec une impression très mitigée : une excellente réalisation au service de peu d'histoire, des personnages secondaires bien plus riches que les personnages principaux sans saveurs, mais un univers zootopiesque qui reste intéressant comme caricature de notre propre société.
Un zootopie beaucoup plus mature et sombre... Très sombre. Mais un bon concept. Ces personnages d'animaux andromorphe transmettent tellement d'émotions ! Une sacrée histoire sur le mal être des espèces. Comme le mal être humain présent dans notre société...
Excellente série japonaise, je suis tomber dessus par hasard sur Netflix et en voyant la bande annonce je me suis dit pourquoi pas alors que je ne suis à la base pas très porté sur l'animation japonaise, et bien franchement surpris !!! On assiste a un Zootopie mais beaucoup plus poussé et plus adultes avec de l'amour, du drame, du suspens tout cela nous laissant sur une fin de saison avec beaucoup de questions et ça c'est magique !! Vivement la saison 2, en attendant allez découvrir la saison 1 sur Netflix !!!
Saison 1 et 2 : très bonne série et super bien scénarisé !
Le suspens est génial, les émotions sont assez fortes et on s'attache à beaucoup de personnages, qu'il soit méchant ou gentil, car justement Beastars traite de la thématique bien/mal entre carnivores et herbivores, et donc beaucoup de métaphores quand on suit bien.
On voit une société régie par des forts et faibles, ce qui rend puissant est dangereux et ce qui s'attache aux faibles respectent la vie, voilà le sens général de la métaphore.
C'est pas une simple série avec un lion qui rugit, une chèvre qui se fait manger, ou un animal noble ou vaniteux, c'est si mélancolique et émotionnel = A VOIR !
Le suspens est génial, les émotions sont assez fortes et on s'attache à beaucoup de personnages, qu'il soit méchant ou gentil, car justement Beastars traite de la thématique bien/mal entre carnivores et herbivores, et donc beaucoup de métaphores quand on suit bien.
On voit une société régie par des forts et faibles, ce qui rend puissant est dangereux et ce qui s'attache aux faibles respectent la vie, voilà le sens général de la métaphore.
C'est pas une simple série avec un lion qui rugit, une chèvre qui se fait manger, ou un animal noble ou vaniteux, c'est si mélancolique et émotionnel = A VOIR !
Une bonne première saison, qui propose la découverte d'un univers d'animaux à forme humaine vraiment original. Mais la deuxième saison n'est hélas pas à la hauteur, et a tendance à être longue et bavarde.
Un anime visuellement agréable à regarder, et une histoire vraiment agréable à suivre.
Les musiques sont sympathiques, il y a plusieurs effets originaux qui font l'authenticité de cet anime.
Les personnages sont tous très attachants, même s'il est difficile de s'identifier à eux... on a envie de les baffer très souvent...
Un anime à voir !
Les musiques sont sympathiques, il y a plusieurs effets originaux qui font l'authenticité de cet anime.
Les personnages sont tous très attachants, même s'il est difficile de s'identifier à eux... on a envie de les baffer très souvent...
Un anime à voir !
Un chef d'oeuvre, les dessins, l'histoire, les intrigues, les moments d'actions tout est parfait. On ne s'ennuie jamais et en plus il y a une saison deux qui arrive !
Identités, pulsions, questionnements, places dans la société, ségrégation, tolérance...
Tant d'interrogations de la vie de tous les jours mais sous la forme d'un "conte" sanguinolent et cru d'animaux anthropomorphes dont les instincts et la nature profondes les mettent à rude épreuve dans cette opposition omniprésente carnivore/herbivore.
Belle illustration (propre comme figurée) à travers les péripéties et les interactions de ces nombreuses créatures dont le "rôle" impacte le déroulement de l'intrigue de cette pièce de théâtre qu'est Beastars.
Tant d'interrogations de la vie de tous les jours mais sous la forme d'un "conte" sanguinolent et cru d'animaux anthropomorphes dont les instincts et la nature profondes les mettent à rude épreuve dans cette opposition omniprésente carnivore/herbivore.
Belle illustration (propre comme figurée) à travers les péripéties et les interactions de ces nombreuses créatures dont le "rôle" impacte le déroulement de l'intrigue de cette pièce de théâtre qu'est Beastars.
Génial les personnages sont hyper attachants et l'animé est unique pour le fait que ce soit des animaux, parce-que l'histoire se centre sur les relations entre les carnivores et les herbivores. Les dessins sont dynamiques, on se perd dedans !