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AlexLaloix
116 abonnés
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Critique de la saison 2
3,5
Publiée le 6 mai 2024
Après une première saison mitigée, la série "Tokyo Vice" revient avec une deuxième saison sur Max et Canal+ en France. Reprenant là où le final de la saison 1 nous avait laissé, ce nouveau chapitre explore avec brio les conséquences des événements précédents, plongeant les personnages dans un nouveau tourbillon d'intrigues et de conflits aux enjeux plus captivants. Avec davantage d’action, cette saison se révèle plus rythmée et dynamique, le développement et les relations des personnages sont meilleurs tandis que l'exploration de la culture japonaise s’enrichit au fil de l’histoire créant une ambiance spéciale. Bien qu’elle reste encore assez bavarde et lente dans son exécution, c’est une saison 2 convaincante, en particulier pour son dénouement. - 13,5/20 Critique sur Tokyo Vice (saison 2) Vue du 11.04 au 02.05.2024 sur Canal+
Bonne série, avec l'intrication du journalisme de la police et des yakuzas. De nombreuses intrigues secondaires totalement inutiles pour faire durer la série et un très gros coup de mou après l'épisode 1 de la s2. Ca fait plaisir de revoir Rachelle Keller.
Pas mal. J'ai eu du mal au début car je n'étais pas fan du perso principal mais il s'en sort bien au fur et à mesure des épisodes. L'ambiance, la musique et la teinture noire de la série, tout ça c'est bon. Un bémol sur des personnages secondaires assez ennuyeux et un gros gros bémol sur le manque d'actions, très peu de bagarre ou de combat ou de fusillades ce qui est dommage pour une série portant sur le gangstérisme.
J'ai adoré. Les personnages de Tokyo Vice sont complexes et bien développés. Jake Adelstein, interprété brillamment par Ansel Elgort, est un protagoniste intrépide mais souvent naïf, déterminé à faire la lumière sur les crimes. Les acteurs japonais, tels que Ken Watanabe dans le rôle de l'inspecteur Moriyasu, apportent une profondeur supplémentaire à l'ensemble du casting. La série offre une représentation visuellement saisissante de Tokyo, avec ses néons étincelants et ses rues animées. La réalisation est soignée et immersive, capturant l'atmosphère unique de la ville et renforçant l'immersion du spectateur dans l'histoire. Le scénario est captivant et bien rythmé, mêlant habilement intrigue journalistique et drame policier. Les dialogues sont percutants et réalistes, offrant des échanges captivants entre les personnages et contribuant à maintenir le suspense tout au long de la série et même à la fin de la saison 1. La série aborde la corruption, le pouvoir, la loyauté, l'amour et la moralité. Elle offre un aperçu fascinant de la culture japonaise et des traditions, tout en explorant les tensions entre l'Orient et l'Occident.
Le journaliste américain Jack Andelstein raconte sa vie de jeune homme intelligent, ambitieux et courageux embauché dans l'un des plus grands journaux tokyoite. Une grande première pour un "gaijin". Tokyo Vice nous montre l'impossible intégration d'un étranger dans une entreprise japonaise, d'autant plus quand il décide d'en bousculer les codes, et la porosité qu'il existe entre policiers et yakusas. Cette série écorne le mythe d'une société sans violence, au taux de criminalité inexistant autant qu'artificiel puisque les meurtres non élucidés, et ils sont légions ,sont considérés comme de simples accidents. La direction artistique est de toute beauté, la présence de Michael Mann au générique y étant sans doute pour beaucoup.
Cette seconde saison dans la meme veine que la précédente monte en cadence jusqu'au 10e épisode. Une intrigue parfaitement maîtrisée et un jeu d acteurs à son service. Il semble que la série soit donc close par cette apothéose
Une bonne série est très intéressante d'autant plus que l'acteur américain a dû apprendre le japonais,les acteurs sont bons et le scénario de qualité, plutôt bien filmé et on ne s'ennuie pas et espérons qu'il y aura une 2 ème saison.
Cette série produite par Michael Mann, qui réalise d ailleurs le pilote de la série et a servi de conseillers pour les episodes 2 et 3 a mis cette série sous de très bonnes hospices. Univers sombres qui nous ouvrent les portes du journalisme a la japonaise, du reflet societal de ce pays en décalage complet avec l'occident et le coeur du système mafieux en place depuis toujours : les Yakuzas. Le rythme est lent, l univers sombre, la réalisation haletante et le choix de l acteur de Baby Driver Ansel Elgort qui a apprit le japonais pour la crédibilité de la série, est formidable, tronche d ado qui s adapte assez bien au rôle proposé de journaliste americain rookie qui sera le 1er étranger a rentré dans la redaction du plus grand et plus réputé journal Japonais. L'histoire est tiré d un Roman du meme nom inspiré lui même de la veritable histoire de Jake Adelstein, personnage principal de cette histoire et auteur du roman. Cette série est une pépite et est à dévorer sans modération mention speciale pour la VOSTFR original car la VF dénature un peu la série qui perd de son authenticité à mon gout.
Voilà une série qui est vraiment très solide, debout. L’histoire mêlant à la fois intrigue policière, journalisme et les bas-fonds des Yakuza au Japon forment un très bon mélange. Le casting est excellent que ce soit les acteurs asiatiques comme les Américains. De l’action, de la violence aussi, et même quelques petites touches d’humour quelques peu décalées, qui permettent d’atténuer un peu les sujets sensibles de la série. C’est une très bonne série en deux saisons.
Une série de grande qualité qui vous plonge dans la culture nippone. Super Casting, super réalisation et une intrigue qui tient la route sans baisser de rythme pendant les 2 saisons. A voir absolument.
Toujours aussi bien, on plonge dans les difficultés de nos personnages principaux après avoir compris notamment pour notre héros principal, fougueux journaliste qu'il est que de s'attaquer aux yakusas avec leurs codes de conduites purement asiatiques et aussi durs que la Cosa nostra n'est pas aussi aisé avec le silence de la peur qui s'installe, s'attaquer à une telle pieuvre. Dans ce monde ou tout est codifié, fait que l'on comprend vite ou est notre place. Les scénaristes nous font prendre une nouvelle orientation, mais l'on sent très vite que cette période calme va revenir avec encore plus de violences et de cynisme avec cette mentalité qui régit le Japon, y compris ce monde parallèle.
Jake est un jeune américain débarquant à Tokyo de son Missouri natal pour devenir journaliste au Japon. Passant in extremis le concours d’entrée du Meicho, un quotidien renommé de la mégalopole, il commence à s’intéresser de très près à l’univers des yakuzas. Jake se lie d’amitié avec Samantha, hôtesse dans un bar contrôlé par le Chihara-kai. Le clan est menacé par un autre clan venu de l’ouest. disponible sur Canal +.
spoiler: cette saison 2 de "Tokyo Vice" s'inscrit tout de suite après les évènements de la première saison, avec une pause de 3 mois. Cette suite est très inégale selon moi. On assiste à un démarrage assez mou, mettant en scène toute une floppée de nouveaux personnages qui n'apportent pas tous leur pierre à l'édifice. On s'enlise dans des tractations interminables entre tout ce petit monde, et puis tout d'un coup la deuxième moitié de la saison vient apporter un vrai coup de boost à l'intrigue. On sort du cadre très familier des personnages principaux pour prendre de la hauteur et viser des implications nationales. Une bonne surprise même si j'ai failli m'arrêter en chemin.
Jake est un jeune américain débarquant à Tokyo de son Missouri natal pour devenir journaliste au Japon. Passant in extremis le concours d’entrée du Meicho, un quotidien renommé de la mégalopole, il commence à s’intéresser de très près à l’univers des yakuzas. Jake se lie d’amitié avec Samantha, hôtesse dans un bar contrôlé par le Chihara-kai. Le clan est menacé par un autre clan venu de l’ouest. disponible sur Canal +.
spoiler: cette saison 1 de “Tokyo Vice” explore un univers peu porté à l’écran jusqu’ici : la nuit japonaise et les clans de yakuzas. J’ai aimé l’ambiance tokioite des premiers épisodes et la manière dont le spectateur est mis face aux différences culturelles avecl’occident. Par fainéantise, manque de budget ou autre raison obscure, on nous ressert dans la deuxième partie de la saison toujours les mêmes décors auxquels nous sommes déjà habitués, ce qui fait tomber l’intérêt et le côté-wow du show. La fin de la saison 1 tombe comme un cheveu sur la soupe en plein climax et ne clôt aucune intrigue secondaire, prenant un peu en otage le spectateur qui attend la saison 2.
J'ai adoré la saison 1 .Le début de la saison 2 est naze,c'est nunuche et il ne se passe rien.Mention spéciale au terrible gang de bikers japonais genre ados efféminés permanentés de 55 kg chevauchant des Harley locales ,en fait des mobilettes customisées .!Hou ,on a peur !Un grand moment de rigolade.La problématique de Samantha avec son bar à hôtesses est d'un intérêt majeur.Mais il faut prendre son mal en patience car ça finit par démarrer au bout de quelques épisodes et ça rejoint en intensité la saison 1.A voir en japonais bien évidemment.