Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Ecran Large
par Geoffrey Fouillet
Ripley ne fait pas seulement illusion, mais restitue avec une précision d’orfèvre la nature diabolique de son protagoniste. Un nouvel écrin pour un nouveau visage, celui d’Andrew Scott, formidablement dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Andrew Scott et Johnny Flynn revisitent de façon glaçante la fuite en avant meurtrière du célèbre escroc. Un retour aux sources intrigant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
par Florian Anselme
Créateur et réalisateur de la série, Steven Zaillian nous plonge dès les premiers instants dans une atmosphère suffocante et fascinante, sublimée par le noir et blanc. Une pépite.
Les Inrockuptibles
par Olivier Joyard
La série avec Andrew Scott se déploie en polar ténébreux et atonal, finalement captivant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marius Chapuis
Après Alain Delon et Matt Damon, Andrew Scott incarne, dans un thriller saisissant, le héros de Patricia Highsmith, lui donnant une géniale et impalpable étrangeté.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Un véritable objet télévisuel à l'esthétisme singulier et huit épisodes à l'image de leur (anti)héros : troublants !
Télé Loisirs
par Aubéry Mallet
Thriller psychologique réussi et série au suspense infaillible, cette version 2024 de l’histoire de Ripley sonne comme un hommage au roman de Patricia Highsmith et aux films noirs des années 1950.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Emilie Gavoille
Steven Zaillian et le directeur de la photographie Robert Elswith proposent un noir et blanc somptueux, d’inspiration expressionniste, traversé d’ombres et de lumières. Un écrin visuel à la solitude hantée de fantômes de Ripley, antihéros magnifique toujours au bord de l’abîme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Téléstar
par Romain Nigita
L'Irlandais apporte son regard inquiétant à cette excellente adaptation par le créateur de "The Night Of".
Elle
par Sophie Rosemont
La tension monte lentement et peut se perdre en route, mais on peut apprécier ce plaisir tranquille...
Le Monde
par Thomas Sotinel
Sans cesse annoncée, la métamorphose du cloporte du Nouveau Monde tarde à poindre, au risque de l’ennui. Il faut l’arrivée d’un personnage de policier italien post-mussolinien pour insuffler à cette construction admirable l’énergie qu’elle attendait.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
Heureusement que le niveau d’interprétation est très haut car il sauve l’ensemble d’un ennui profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
Ripley ne fait pas seulement illusion, mais restitue avec une précision d’orfèvre la nature diabolique de son protagoniste. Un nouvel écrin pour un nouveau visage, celui d’Andrew Scott, formidablement dérangeant.
Le Figaro Magazine
Andrew Scott et Johnny Flynn revisitent de façon glaçante la fuite en avant meurtrière du célèbre escroc. Un retour aux sources intrigant.
Le Journal du Dimanche
Créateur et réalisateur de la série, Steven Zaillian nous plonge dès les premiers instants dans une atmosphère suffocante et fascinante, sublimée par le noir et blanc. Une pépite.
Les Inrockuptibles
La série avec Andrew Scott se déploie en polar ténébreux et atonal, finalement captivant.
Libération
Après Alain Delon et Matt Damon, Andrew Scott incarne, dans un thriller saisissant, le héros de Patricia Highsmith, lui donnant une géniale et impalpable étrangeté.
Télé 7 Jours
Un véritable objet télévisuel à l'esthétisme singulier et huit épisodes à l'image de leur (anti)héros : troublants !
Télé Loisirs
Thriller psychologique réussi et série au suspense infaillible, cette version 2024 de l’histoire de Ripley sonne comme un hommage au roman de Patricia Highsmith et aux films noirs des années 1950.
Télérama
Steven Zaillian et le directeur de la photographie Robert Elswith proposent un noir et blanc somptueux, d’inspiration expressionniste, traversé d’ombres et de lumières. Un écrin visuel à la solitude hantée de fantômes de Ripley, antihéros magnifique toujours au bord de l’abîme.
Téléstar
L'Irlandais apporte son regard inquiétant à cette excellente adaptation par le créateur de "The Night Of".
Elle
La tension monte lentement et peut se perdre en route, mais on peut apprécier ce plaisir tranquille...
Le Monde
Sans cesse annoncée, la métamorphose du cloporte du Nouveau Monde tarde à poindre, au risque de l’ennui. Il faut l’arrivée d’un personnage de policier italien post-mussolinien pour insuffler à cette construction admirable l’énergie qu’elle attendait.
Le Parisien
Heureusement que le niveau d’interprétation est très haut car il sauve l’ensemble d’un ennui profond.