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    Le jeu de la dame
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    Jean N.
    Jean N.

    270 abonnés 611 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 11 novembre 2020
    C'est vrai que j'ai bien aimé ; après pour être objectif , ce n'est pas du tout la gifle que j'attendais en lisant la somme des critiques dithyrambiques .
    Disons le tout de suite ,l'actrice Anya Taylor qui joue le rôle de Beth est ...whaouuuuu! Elle a tout : une beauté piquante de rousse et une présence à l'écran ....whaouuuu!! Les robes , l'ambiance années 60 et les décors ....Super !!Alors me direz vous, pourquoi 3* seulement si tout est bon???
    Parce que la trame narrative et le scénario sont affligeants!! On est reparti sur des clichés d'une banalité digne d'"Emily in Paris"!! Tout y est , l'histoire est adaptable à tout ce genre de films ; on prends un golfeur, un tennis man , un joueur de poker ...et ça marche à tous les coups !!
    Les clichés?, pffff des tonnes!! C'est parti : spoiler: l'orphelinat,la copine black rebelle,le concierge qui joue aux échecs dans son sous-sol, la famille adoptive en bois ,l’ascension fulgurante entachée d’orgueil ,les hôtels de luxe, le beau joueur d'échecs ....mais gay, l'alcool et les drogues suivi de la descente aux enfers! Puis retour aux bases :apparts minables et travail jour et nuit , une rechute dans l’alcool ,la rédemption et la victoire finale contre l'adversaire éternel, on gagne le respect de tous .....FIN
    un bon ROCKY, quoi !
    Pour terminer un ou deux épisodes sont uniquement du remplissage et les rôles de la mère névrosée de Beth et du père de la famille d' adoption sont absolument inutiles ou du moins trop mal traités dans le film.
    En résumé , ça se regarde avec plaisir , ça plaira à tout le monde même si on ne comprend rien aux échecs et l'actrice principale rayonne tellement qu'il faut avoir vu "Le jeu de la Dame"
    Mjor
    Mjor

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 29 octobre 2020
    Belle histoire qui intéressera même les réfractaires aux échecs, une histoire ou chacun aura envie ou pourra se reconnaître, à tort ou à raison, dans le parcours de l’héroïne. Sa progression est linéaire sans à-coup tout se déroule quasi sans problèmes et quand elle en a, elle gère, on en est presque content que tout aille dans le bon sens …. Les décors, le rendu de l’époque, le casting, l’agencement de l’histoire (totalement inventée), tout coule de source et on ressent le travail bien fait. Mais voila perso je trouve que c’est trop beau pour être totalement accrocheur …. Oui elle commence mal, oui elle se retrouve à vivre dans un endroit pas évident, mais tout se passe bien. Découverte de sa passion, aucun problème relationnel avec ses congénères, juste une addiction (entre d’autres qui arriveront plus tard) qui n’empêche pas sa progression, au contraire. Elle change de vie, trouve sa voie, elle perd des parties oui mais gagne celle qu’elle ne devait pas perdre, elle se dispute mais se réconcilie, elle a les proches qui lui faut et malgré leur perte, continue son chemin sur le même rythme. J’ai pris un réel plaisir à regarder cette série, mais il me reste un petit goût d’inachevé, c’est quasi un conte de fée qui ne dis pas son nom, un roman-photo, une histoire calibrée, un peu plus d’aspérité m’aurait fait l’apprécier avec plus de passion. Mais je vous la conseille quand même il y a des moments forts, bande musicale, la force mentale de l’héroïne, des moments avec sa mère et ses amis à la fin qui me resteront en mémoire.
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    40 abonnés 269 critiques Suivre son activité

    Critique de la saison 1
    3,5
    Publiée le 24 septembre 2021
    La série est visuellement très propre, sans trop de prises de risques. Beth (Anya Taylor-Joy) évolue au rythme des épisodes et j'ai eu plaisir à me plonger dans son univers. Bien qu'un amateur des échecs, le thème est abordé sans pour autant rentrer dans les détails pour ne pas gâcher le plaisir de la série pour ceux qui ne connaissent pas l'aspect technique du jeu. Ce qui m'a plu, c'est les plans séquences pendant les parties qui s'axent plus sur l'expressivité du visage et le regard (aspect émotionnel) que sur l'échiquier et les parties elle-mêmes (aspect technique).
    tixou0
    tixou0

    709 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 24 novembre 2020
    Ce "The Queen's Gambit" (si incomplètement "traduit" en français par "Le Jeu de la Dame") est un conte de fées - parce que les meilleures joueuses d'échecs sont en compétition généralement entre elles, et que s'il existe bien un championnat mixte, aucune femme n'y figure dans les 100 premiers classés en 2020 (et pas plus dans les "sixties", pendant lesquelles se déroule l'essentiel de l'action). La Hongroise Judit Polgàr reste l'exception - et quand même pas au niveau de la fictive "Beth Harmon"..
    Mais c'est aussi, et surtout, un récit d'apprentissage (avec une héroïne partie de très bas, spoiler: orpheline traumatisée, droguée et alcoolique,
    devant lutter en permanence, pour s'affirmer la meilleure dans son sport - les échecs en sont un, indubitablement - et combattre ses mauvais démons), avec une "success story" (à l'américaine), en apothéose.
    7 épisodes inégaux, au résultat - un peu trop de parties pour les ignorants de la chose, de mon espèce, une psychologie un peu trop esquissée, voire sommaire, et pas mal de "ventres mous"..
    Mais l'ensemble est finalement prenant (à l'usage..), et l'actrice principale bluffante (Anya Taylor-Joy).
    Alphasantore
    Alphasantore

    2 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 5 novembre 2020
    Le jeu de la dame est une très bonne série mais elle ne mérite pas le succès qu'elle a reçu. Au début c'est très intéressant, à la fin aussi mais entre deux, c'est long et presque ennuyeux. Il ne se passe pas grand-chose. Ceci dit, si on adore jouer aux échecs, cette série est tout à fait appropriée, car il y a tous les codes de ce jeu extraordinaire qu est les échecs
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 30 novembre 2020
    Créée par Scott Frank et Allan Scott, "Le Jeu de la dame" s'inspire d'une histoire vraie et est adaptée d'un roman de Walter Tevis. On y suit le parcours de Beth Harmon au début des années 60, une orpheline qui se révèle progressivement comme une prodige des échecs, petit milieu dominé par les hommes. De son enfance à ses années de jeune adulte, on observe son ascension fulgurante, faite de réussites et de déceptions, tant sur le plan professionnel que sentimental. Le tout, hantée par une addiction médicamenteuse... Les plus curieux seront intéressés d'apprendre que Heath Ledger avait pour projet de réaliser le long métrage, mais le projet n'a malheureusement jamais abouti.
    La mini-série rencontre un succès phénoménal sur Netflix et les critiques ont été très élogieuses à son sujet. C'est vrai, la mise en scène est impeccable et nous embarque dans un univers singulier aux couleurs pastels, rythmé par des parties d'échec qui ont le don de séduire les plus néophytes d'entre nous. En effet, ce jeu classique permet de multiples métaphores afin d'illustrer des thématiques d'accomplissement personnel, d'éveil au monde et à soi-même mais aussi la prise de pouvoir avec la domination sur un adversaire ou plus largement sur la vie elle-même. Au début, ce qui nous parait comme austère, avec ces premières parties jouées dans une cave d'un orphelinat poussiéreux, se transforme en véritable coup de maitre où tensions psychologiques et suspense prennent du terrain. Les enjeux sont bien plus grands qu'il n'y paraissent. L'échiquier devient alors un échappatoire qui aide le personnage principal à se développer et à garder le cap, elle qui n'avait expérimenté que le rejet, la perte et la solitude ! Par cet assemblage de pions, reines, rois, fous, tours et autres cavaliers, elle puise son identité stratégique et ses techniques d'attaques. Ces derniers l'accompagnent même soir après soir sur le plafond de sa chambre, des sortes de projections mentales de son cerveau en ébullition, incapable de dormir. D'ailleurs, ces effets sont visuellement très réussis et sont décisifs pour accentuer la trame psychologique du récit.
    Franchement, "Le Jeu de la dame" a un scénario parfaitement ficelé qui ne laisse aucune marge d'erreur possible avec ses flash-back maitrisés. La mise en scène de Scott Frank, bien que très académique dans l'ensemble, est aussi inventive. La présence magnétique d'Anya Taylor-Joy, quasiment de tous les plans, fait mouche avec un jeu intuitif, aussi puissant que mystérieux. Elle incarne un personnage complexe à l'enfance tourmentée qui réussit à se transformer et à s'épanouir en exploitant la puissance qu'elle tire de ses victoires aux échecs, pour mieux s'ouvrir au monde. Mais elle n'est un ange pour autant, car elle subit le poids de l'addiction, drogue et alcool, qui l'empêche de véritablement s'envoler. C'est ce détail qui vient mettre de l'huile sur le feu et qui rend cette success story plus affriolante. Du coup, Beth Harmon apporte un aspect plus rock'n'roll, faisant alors trembler les normes propres et fermées des sixties ici représentées. Pour marquer le coup, elle est accompagnée d'autres personnages marginaux et rebelles (belle distribution avec Marielle Heller, Thomas Brodie-Sangster, Harry Melling...), eux aussi en quête d'émancipation, d'aventures et de volonté de s'extirper des anciens schémas.
    Avant de rédiger cette critique, je ne pensais pas avoir tant de choses à en dire. J'étais même plutôt étonné de son succès et déçu au départ car cela manquait de surprises pour moi. En effet, le principe de la partie d'échec se répète encore et encore et de façon tout à fait prévisible. On devine sans soucis la finalité victorieuse que va rencontrer cette héroïne des échecs. Mais en fait, il faut croire que je m'étais arrêté à la surface sans vouloir creuser plus loin, et qu'inconsciemment, la série avait véhiculé plus de messages que prévu. Cela étant dit, je reste sur ma position sur un point : la mini-série aurait très bien pu être condensée au format d'un long-métrage. Certes, la mise en scène réussit à rendre ce jeu palpitant mais j'ai ressenti quelques longueurs, quelques moment de vide sans aucun but ainsi qu'un suspense en dent de scie.
    Mais bon, "Le jeu de la dame" n'en reste pas un moins une belle production Netflix, étonnante et menée par le tempérament de feu d'Anya Taylor-Joy ! C'est aussi un récit qui s'inscrit dans l'ère du temps : un hymne féministe classieux et raffiné, à l'épreuve des qu'en dira-t-on. Allez, on dépoussière le vieux jeu d'échec du grenier et on le remet sur la table pour Noël !
    Enki Dou
    Enki Dou

    6 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 7 décembre 2020
    Décevant est le mot qui me semble le plus approprié. On a l'impression, n'ayant pas lu le roman d'où elle est tirée, que ce roman et ce personnage de joueuse d'échec prodige un peu cassée à l'intérieur auraient pu donner matière à une adaptation cinématographique formidable. A la place, on se retrouve avec un film long, très long, et presque aussi médiocre qu'il est long. Seuls le premier et le dernier épisodes tiennent la route, les autres semblent n'être que du remplissage pour tenir les 7 épisodes commandés. Réalisation plate, sans originalité ni fantaisie (sauf un effet spécial assez grotesque et répétitif d'échiquier au plafond), tension dramatique inexistante (on devine exactement tout ce qui va se passer), personnages secondaires à peine esquissés. L'ensemble est convenu, sans surprise, superficiel, délayé, ennuyeux, répétitif, plat, avec des parties d'échec interminables sans aucun intérêt narratif ni cinématographique, alors même que la longueur du film aurait permis de mettre de la profondeur, tant dans le personnage principal que dans les caractères secondaires. Bref, ce qui aurait pu être l'histoire d'un personnage hors norme et tragique est en fait une histoire fadasse, sans profondeur et sans relief. Une mention spéciale tout de même pour l'actrice qui joue le rôle de l'héroïne enfant.
    noellethierry
    noellethierry

    1 abonné 18 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 9 novembre 2020
    Les épisodes de l'Orphelinat sont vraiment intéressant...La suite, l'ascension, mets en action des ressorts assez émoussés....dans la grande tradition du self made...woman.
    Yves G.
    Yves G.

    1 498 abonnés 3 516 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 14 décembre 2020
    À la mort de sa mère, la jeune Beth, neuf ans à peine, est placée dans un orphelinat. C'est là qu'elle apprendra à jouer aux échecs avec un vieux concierge taiseux. C'est là aussi qu'elle développera une accoutumance aux médicaments dont elle ne se sèvrera jamais.
    À quinze ans, Beth est adoptée. Elle peut désormais participer à des tournois d'échecs qu'elle remporte avec une insolente facilité. Elle a tôt fait de surpasser les meilleurs joueurs américains avant de se lancer à l'assaut des champions incontestés du jeu : les grands maîtres soviétiques. Rien ne semble l'arrêter sinon peut-être ses démons intérieurs.

    "Le Jeu de la dame" (bien boiteuse traduction de "The Queen's Gambit") est diffusée depuis le 23 octobre sur Netflix. Sa sortie a coïncidé avec le second confinement en France et a bien vite suscité l'unanimité à l'instar de "Unorthodox" au début du premier. Même si j'en ai binge-watché les sept épisodes d'une petite heure chacun pendant un long dimanche pluvieux, j'avoue ne pas y avoir pris le plaisir que j'y attendais.

    "Le Jeu de la dame" est l'adaptation du roman éponyme écrit en 1983 par un auteur américain - et traduit en France en 1990. Que cette série ait mis près de quarante ans à se faire devrait nous mettre la puce à l'oreille : si le roman - que je n'ai pas lu -  avait été un chef d'œuvre, on n'aurait certainement pas attendu si longtemps son adaptation.

    "Le Jeu de la dame" suit un schéma très classique. Trop peut-être. Premièrement, l'ascension d'un génie en herbe avec la révélation presque providentielle de ses talents innés et l'accumulation inattendue et enivrante des premières victoires. Deuxièmement, la chute inévitable pour pimenter une action qui aurait été, sans elle, trop linéaire. Troisièmement, la rédemption dans un épilogue certes euphorisant mais ô combien prévisible.

    À la différence des séries traditionnelles dont le mode d'emploi est le tissage de plusieurs histoires entre elles, "Le Jeu de la dame" est construit selon un principe plus simple. Tout s'organise autour de son héroïne, interprétée par la jeune Anya Taylor-Joy, une quasi-inconnue désormais promise à un brillant avenir. Les personnages qui l'entourent - sa meilleure amie au pensionnat, sa mère adoptive, son premier rival aux échecs, le grand maître soviétique dont elle convoite la place - ne sont que des faire-valoir destinés à la mettre en valeur. On notera d'ailleurs l'absence d'un vrai "méchant", les hommes se montrant tous unanimement, dans ce récit féministe, d'une douce et surprenante délicatesse.

    "Le Jeu de la dame" lit-on partout a une vertu : il peut être aussi bien vu par les passionnés d'échecs que par ceux qui n'en connaissent pas les règles. Là encore, je ne partagerais pas cet avis. Les parties - ou du moins ce que j'en ai saisi tant les plans sont trop rapides pour en apprécier chaque coup - m'ont semblé bien tarabiscotées. Un peu comme si on avait réduit un match de football à une série de coups francs dans la lucarne ou de retournés acrobatiques. La réalité en est autrement moins spectaculaire.

    "Le Jeu de la dame" a certes une qualité à laquelle je suis tout particulièrement sensible : nous ramener façon Mad Men dans ces années soixante si photogéniques, si élégantes. La gracieuse Anya Taylor-Joy, qui a débuté à dix-sept ans dans le mannequinat, est habillée, maquillée, coiffée, comme un top modèle. Chacune de ses toilettes, à partir du troisième épisode, est un enchantement pour l'œil. Qui aurait l'ingratitude de relever qu'elle est censée jouer une péquenaude du Kentucky ?

    J'ai certes la dent dure. "Le Jeu de la dame" est un excellent moment de télévision. Mais ce n'est pas le chef d'œuvre dont on rebat nos oreilles confinées.
    Marika1004
    Marika1004

    18 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 2 novembre 2020
    Bien que un peu lente, la série est haletante. On rentre vraiment dans le jeu avec fond d'addiction, de tristesse et d'envie de victioire. C'est super bien joué et bien filmé dans des décors à la Hitchcock. Très original.
    Cassie
    Cassie

    10 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 18 janvier 2021
    Cette série est très agréable à regarder ! Elle traite d'un sujet qui de base ne m'interesse pas forcément et arrive pourtant à me captiver, elle me donne envie de me renseigner sur les echecs ! Je recommande !
    La Meuf
    La Meuf

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 2 janvier 2021
    3 étoiles pour l’ambiance. Les fringues, la déco, l’actrice et la musique. Série assez class.

    Pour le reste ça fait très saga M6 du dimanche. Ça se regarde mais zéro suspense pour ma part. On se doute de la fin. Quelques rebondissements sans intérêt spoiler: (genre sa pote de pensionnat qui réapparaît)
    . C’est juste l’évolution d’une chenille en papillon.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 23 novembre 2020
    "Le jeu de Dames" m'a animé le temps de 3 épisodes, avant de voir mon intérêt retomber comme un soufflé. La personnalité de Beth Harmon en tant qu'adulte sans doute. Je pense que cette mini-série se suffit à elle-même et qu'une seconde saison serait une appendice inutile, à moins que l'on s'éloigne de l'univers des échecs. Mais dans ce cas, quelle en serait l'utilité ?
    Ice&Fire
    Ice&Fire

    43 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 29 octobre 2020
    Une mini-série sur les échecs produite par Netflix en pleine guerre froide avec un perso féminin comme personnage principal, sans les critiques élogieuses je ne m'y serais pas risqué et j'aurai raté quelque chose. La force de cette mini-série réside dans son écriture, notamment l'évolution du personnage principal et sa réalisation. Le casting est à la hauteur même si je trouve que la performance de Anya Taylor-Joy est bonne (faut dire qu'après l'avoir vu récemment dans les nouveaux mutant c’était pas difficile de faire mieux) elle n'est pas non plus exceptionnelle (je préfère largement la performance de Joey King dans "The Act" pour comparer avec une actrice de sa génération). On échappe à pas mal de cliché même si on sent que c'est une production Netflix car on n'échappe pas à une touche (très légère pour une fois) de féminisme, d'homosexualité et de black power. Bah oui ce serait dommage de se priver d'une partie de son publique. Mais pourquoi avoir fait le choix de mettre en première scène de la mini-série un flashforward largement dispensable que l'on retrouve à la moitié de l'épisode 6, sur 7 épisodes wtf c'est abusé. Sans cela et la fin plus que prévisible j'aurai mis 4étoiles.
    Xavier VINCENNES
    Xavier VINCENNES

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 4 décembre 2020
    Excellente série ou la présence de la comédienne principale rythme cette histoire tournée avec efficacité et sobriété .Je recommande vivement cette série qui va vous happer au fil des épisodes. Il faudrait que Netflix arrête de notifier ces séries en dépit du bon sens....- de 16 ans parce que l'héroïne prend des cachets, n'est absolument pas justifié ...quand je pense que games of thrones est à -16 également…le fossé me laisse songeur sur une même recommandation d'âge.
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