Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Time
par Judy Berman
Aujourd'hui, les dramas d'une heure qui délaisse les licences, les mélodrames et les effets spéciaux coûteux au profit du réalisme psychologique représentent un changement bienvenu. Et il est très rare qu'ils soient aussi bon que Le jeu de la dame.
La critique complète est disponible sur le site Time
Télérama
par Constance Vilanova
(...) Un drame solide et féministe qui réussit à glamouriser un jeu pas facile à porter à l’écran. Et passionnera même les profanes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Wall Street Journal
par John Anderson
Mademoiselle Taylor-Joy est vraiment le début et la fin du Jeu de la dame, et livre une performance aussi précise physiquement qu'émotionnellement.
La critique complète est disponible sur le site Wall Street Journal
RogerEbert.com
par Allison Shoemaker
Il y a d'un côté le sport, un jeu ou une compétition dans laquelle les spectateurs s'investissent indéniablement, et de l'autre le joueur ou les joueurs, dont la vie est plus grande que le jeu, mais qui se font consumer par le jeu. Le jeu de la dame explore les deux, et tous les deux sont des courses. Franck, Taylor-Joy et les autres ne s'arrêtent jamais de raconter ces deux histoires en une, et le résultat est un portrait fascinant d'une jeune femme luttant pour devenir celle qu'elle veut devenir, combattant pour la victoire et pour la paix.
La critique complète est disponible sur le site RogerEbert.com
Ecran Large
par Arnold Petit
Alors que l’échiquier devient le théâtre d’une guerre psychologique, la mini-série apporte de la tension, de la douceur, de l’humour ou de la frénésie, en séparant l’écran ou en se focalisant sur les pièces, l'horloge ou les visages, mais surtout en captant le regard d’Anya Taylor-Joy.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Rose Baldous
En plus de ce scénario parfaitement ficelé, qui ne laisse aucune marge d’erreur possible avec ses flash-back maîtrisés, le cinéaste s’en donne à cœur joie avec la reconstitution des sixties.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Collider
par Gregory Lawrence
Le fait que la série repose sur une narration répétée encore et encore, son besoin de rester dans les clous sans surprise, son aisance pour les moments vides sans aucun but prouvent peut-être que certaines stratégies d'échecs ont plus d'effets lorsqu'elles sont dramatisées plutôt que de n'être qu'un style de réalisation.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Time
Aujourd'hui, les dramas d'une heure qui délaisse les licences, les mélodrames et les effets spéciaux coûteux au profit du réalisme psychologique représentent un changement bienvenu. Et il est très rare qu'ils soient aussi bon que Le jeu de la dame.
Télérama
(...) Un drame solide et féministe qui réussit à glamouriser un jeu pas facile à porter à l’écran. Et passionnera même les profanes.
Wall Street Journal
Mademoiselle Taylor-Joy est vraiment le début et la fin du Jeu de la dame, et livre une performance aussi précise physiquement qu'émotionnellement.
RogerEbert.com
Il y a d'un côté le sport, un jeu ou une compétition dans laquelle les spectateurs s'investissent indéniablement, et de l'autre le joueur ou les joueurs, dont la vie est plus grande que le jeu, mais qui se font consumer par le jeu. Le jeu de la dame explore les deux, et tous les deux sont des courses. Franck, Taylor-Joy et les autres ne s'arrêtent jamais de raconter ces deux histoires en une, et le résultat est un portrait fascinant d'une jeune femme luttant pour devenir celle qu'elle veut devenir, combattant pour la victoire et pour la paix.
Ecran Large
Alors que l’échiquier devient le théâtre d’une guerre psychologique, la mini-série apporte de la tension, de la douceur, de l’humour ou de la frénésie, en séparant l’écran ou en se focalisant sur les pièces, l'horloge ou les visages, mais surtout en captant le regard d’Anya Taylor-Joy.
Les Inrockuptibles
En plus de ce scénario parfaitement ficelé, qui ne laisse aucune marge d’erreur possible avec ses flash-back maîtrisés, le cinéaste s’en donne à cœur joie avec la reconstitution des sixties.
Collider
Le fait que la série repose sur une narration répétée encore et encore, son besoin de rester dans les clous sans surprise, son aisance pour les moments vides sans aucun but prouvent peut-être que certaines stratégies d'échecs ont plus d'effets lorsqu'elles sont dramatisées plutôt que de n'être qu'un style de réalisation.