Grosse claque cette série.. Je ne suis pourtant pas adepte des échecs .. L'actrice principale est fascinante et les seconds rôles ne sont pas en reste. Bien que l'histoire soit une pure fiction, on y croit et on en redemande ! Bravo :-)
Cette série est extrêmement bien mené car on ne s'ennuie jamais lors des parties d’échec et on est parfaitement capté par l'histoire. On aime bien Beth Harmon qui est très bien joué et on adore suivre ses aventures qui sont plutôt exceptionnelles et jouissives. Évidemment le côté "émotion" est omniprésent et c'est ce qui fait le point fort de cette série.
quelle bonne surprise, en lisant le synopsis,mouais,il faut voir,.......et au bout de deux épisodes je suis bluffé par le jeu de Anya Taylor-Joy ,quelle classe ! bien sur certains diront que le scénario possède de grosses ficelles et pas mal de clichés,mais la qualité de la réalisation et l’esthétique de la série n'en font que des anicroches , cette série est incroyable !
Petit bijou. Je ne suis nullement surpris de son succès. Suspense au rendez-vous. Une mini-série que vous vous faites en un we avec juste assez de temps pour aller faire pipi.
Captivante série sur le jeu d'échecs. J'ai particulièrement apprécié la recréation de l'ambiance des années 50 et 60, avec de très bons choix musicaux... Si les acteurs sont très bons, je n'ai pas réussi à avoir la moindre empathie avec l'héroïne, ce qui est vraiment dommage... D'accord, elle est orpheline, mais comme d'autres l'ont dit plus haut, faire la gueule 24h/24 et n'avoir d'autres intérêts dans la vie que les échecs c'est un peu lassant, sans parler de ses addictions répétées... Quelques scènes m'ont émue, surtout la toute dernière, qui prouve qu'enfin, elle est humaine. J'ai préféré me dire qu'elle était certainement du côté des surdoués un peu autistes qui ont des contacts difficiles avec leur entourage. Vaut surtout pour l'extraordinaire reconstitution délicieusement rétro et le suspens des parties d'échecs...
En tant que grand fan d echecs j'ai donc regardé, et les seule moment pas mal était les matchs d échecs sinon j'ai eu beaucoup de mal à regarder en entier tellement c est mou et inintéressant, seul l episode 1 et le dernier sont très bon, le reste très moyen . Et l actrice n est pas crédible
Cette série est d'une nullité innommable. Du choix des couleurs pour l'époque, en passant par l'age de l'actrice principale qui est censée interpréter une jeune fille de 13ans, sans parler du jeu d'acteur...quant aux vrais joueurs d'échecs qui auront le malheur de s'égarer sur cette série, fuyez pauvres fous! On est habitué aux scripts low cost de Netflix, mais il devient insoutenable de voir l'engouement tant spectateurs que presse outrancier et dénué d'une quelconque objectivité. C'est une insulte pour le 7e art (dans lequel on inclut aujourd’hui les séries). Mais finalement, si l'on en croit la maxime "pour être populaire, soyez médiocre", vous en aurez ici une parfaite illustration.
Une très belle surprise ! La série raconte l'histoire d'une jeune orpheline qui se découvre un talent pour les échecs qu'elle pratique d'abord clandestinement avec le gardien de orphelinat. Les personnages sont attachants dans leur complexité, leurs failles, leurs souffrances derrière le masque et leur qualités humaines. A travers ce personnage, on est plongé dans une société américaine des années 50 et 60 qui ne m'est pas apparue manichéenne dans sa description du couple, des relations interraciales ou encore des relations hommes-femmes. Tout est décrit à hauteur d'homme sans idéologie et cela fait du bien en ces temps d'idéologisation excessive des rapports entre individus. On y voit une société qui bouge et une société corsetée qui se libère petit à petit.
La série se situe dans le prolongement de films sur le même thème (le prodige par exemple) ou livres (le joueur d'échecs) mais réussit à être moins sombre même si tout au long de la série on se demande si ce sera une tragédie ou un happy end ! Le dénouement de la série est très beau et réussi !
La bonde son est extra et le jeu des acteurs est juste. Anya Taylor-Joy est très belle et inspirée dans son jeu.
Bien filmé, bien joué mais scénario pauvre. Presque pas de rebondissements. Une mini-série longue, longue, longue. Pour les passionnés du jeu d'échecs.
Une bonne série sur Netflix ! Autant dire qu'il faut en profiter. L'actrice joue admirablement et est délicieuse. Le scénario et le décor sont très bien fait. Ça mérite une bonne note en espérant une suite.
Un très(très) bien avec toutefois quelques bémols... Malgré les difficultés que l'héroïne rencontre, tout "passe crème"... L'orphelinat catholique trop parfait et lisse (quand on sait les abominations qui ont eu cours dans la plupart d'entre eux dans ces années là - lire l'ouvrage de David Hill, "Les Enfants perdus"), ses addictions aux médicaments, à l'alcool et aux drogues (propres à terrasser un cheval) et dont elle se détache non seulement avec une facilité déconcertante mais qui n'entachent en rien sa "beautitude"... Plus gros encore, dans le dernier épisode, les conseils prodigués à distance par ses amis par téléphone des E.U vers l'URSS... À la grande époque du KGB, toutes les communications, notamment vers les hôtels accueillant des ressortissants étrangers, à fortiori des Américains, étaient écoutées, analysées, décortiqués, retranscrites et transmises... Il n'en reste pas moins que l'atmosphère générale de la série, le pitch (il n'est pas nécessaire de savoir jouer aux échecs pour être happé par l'univers de ce jeu), la reconstitution des décors, les costumes, la photographie, la lumière, les voitures ET la musique, tout contribue à rendre le visionnage de la série addictif et ce, dès les premières images !
MON AVIS SUR "THE QUEEN'S GAMBIT": ("Le Jeu de La Dame")
Sur-popularité décourageante, réalisation ennuyeuse à force de perfection, ZÉRO PRISE DE RISQUE.
“The Queen’s Gambit” prétend porter les échecs à l’écran tout en exposant exclusivement des scènes de séduction érotiques entre adolescents. La protagoniste enchaîne les parties avec toujours plus de partenaires masculins (et toujours plus matures), jusqu’à trois sur elle en même temps, et apprend progressivement à accepter la domination, par le rappel incessant d'un de ses souvenirs d’enfance marquant - spoiler: jour où le concierge de son établissement l'a forcée à capituler dans la cave où ils avaient l’habitude de se fréquenter .
L’héroïne, personnage présenté comme colérique, agressif et au bord de la folie, est interprété de manière frigorifique et parfaitement stoïque. Exerçant une maîtrise exemplaire de ses émotions et de sa consommation de stupéfiants, sans jamais aucune démonstration ni de rage, ni de folie, ni de dépendance, elle traverse les sept épisodes de la série d’une caresse lisse et maniérée, focalisant le spectateur sur ses gestes lancinants et annihilant complètement de l’écran le doux bruit feutré des pièces que l’on bouge sur l’échiquier.
Cinq ans après le chef-d’œuvre inaperçu "Pawn Sacrifice", voilà que l’audience moyenne se gave, telle une docile oie, de cette production audio-visuelle plus proche du roman harlequin à l’eau de rose que de l’hommage à la complexité et à la beauté de la confrontation des joueurs d’échecs.
Je conseille, en conclusion, cette série aux prépubères désireux de s’émoustiller devant une jeune actrice surplombée de masses gigantesques s’érigeant au-dessus d’elle à l’occasion de ses dérives nocturnes, dessinant sur son corps adolescent leur ombre écrasante. Attention cependant à ne pas succomber aux avantages affichés de la consommation de stupéfiants.