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Votre avis sur Le jeu de la dame ?
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337 critiques
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19 critiques
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Une série sur les échecs, c'est sympa.
une série sur une joueuse d'échecs, encore plus.
Mais... les ficelles sont beaucoup trop grosses. On dirait une série B qui serait avec Besson au scénario!
Une série pleine de préjugés sur la douance, la précocité.
Quelles que soient nos aptitudes, on ne peut pas devenir les coups des échecs, il faut apprendre, comme tout le monde, les coups, les bons, comme les mauvais, les déplacements de pièces, etc.
Cette fille paraît tout savoir sans avoir à apprendre, ce qui est complètement ridicule! Personne n'a de savoir instantané comme ça! Ca tient de la croyance mystique pleine de préjugés.
Rien que ça, ça gâche tout, ça rend tout le reste pas du tout crédible.
Et en plus, comme si ça ne suffisait pas, dès le premier épisode, ça en rajoute encore et encore dans le pathos.
En plus spoiler: le fait qu'elle rencontre l'espèce de pédophile sociopathe dans la cave, c'est encore moins probable
spoiler: la probabilité qu'il lui apprenne les échecs, c'est encore moins probable
Etc...
Et puis la super grosse ficelle :
Le coup de la bonne copine noire, essentielle pour les quotas nord américains, mais complètement raciste. (Pourquoi, pour une fois, ce ne serait pas la fille (noire ou autre) qui serait un génie, et la blanche ou autre qui serait la bonne copine?).
Ca ressemble beaucoup à une grande majorité de fils qui traitent du génie musical ou des compétences autistiques, c'est juste absurde, et ça rend le propos pas du tout crédible, faux, pas honnête, pas sincère.
une série sur une joueuse d'échecs, encore plus.
Mais... les ficelles sont beaucoup trop grosses. On dirait une série B qui serait avec Besson au scénario!
Une série pleine de préjugés sur la douance, la précocité.
Quelles que soient nos aptitudes, on ne peut pas devenir les coups des échecs, il faut apprendre, comme tout le monde, les coups, les bons, comme les mauvais, les déplacements de pièces, etc.
Cette fille paraît tout savoir sans avoir à apprendre, ce qui est complètement ridicule! Personne n'a de savoir instantané comme ça! Ca tient de la croyance mystique pleine de préjugés.
Rien que ça, ça gâche tout, ça rend tout le reste pas du tout crédible.
Et en plus, comme si ça ne suffisait pas, dès le premier épisode, ça en rajoute encore et encore dans le pathos.
En plus spoiler: le fait qu'elle rencontre l'espèce de pédophile sociopathe dans la cave, c'est encore moins probable
spoiler: la probabilité qu'il lui apprenne les échecs, c'est encore moins probable
Etc...
Et puis la super grosse ficelle :
Le coup de la bonne copine noire, essentielle pour les quotas nord américains, mais complètement raciste. (Pourquoi, pour une fois, ce ne serait pas la fille (noire ou autre) qui serait un génie, et la blanche ou autre qui serait la bonne copine?).
Ca ressemble beaucoup à une grande majorité de fils qui traitent du génie musical ou des compétences autistiques, c'est juste absurde, et ça rend le propos pas du tout crédible, faux, pas honnête, pas sincère.
Purée mais comment Netflix arrive a m'accrocher avec une série sur les échecs haha. Ils sont beaucoup trop balèze pour mon cerveau mdr.
La série est excellente elle te chope par le coup de la première minute et ne te relâche qu'à la dernière minute!
Bravo!
La série est excellente elle te chope par le coup de la première minute et ne te relâche qu'à la dernière minute!
Bravo!
J'ai bien aimé mais je n'ai pas adoré. On tourne assez vite autour du pot et on fini par se lasser.
En revanche, l'immersion dans les années 60 est très réussi, pas besoin d'être un as des échecs pour apprécier cette série, l'actrice est assez peu commune, des fois on a bien envie de la secouer un peu !
En revanche, l'immersion dans les années 60 est très réussi, pas besoin d'être un as des échecs pour apprécier cette série, l'actrice est assez peu commune, des fois on a bien envie de la secouer un peu !
bsalvert
Une série qui dépare et pourtant est captivante grace à l'actrice très expressive et qui réussit à capter toute l'attention et nous emmener dans sa vie alors que ce ne sont pas les scènes d'action qui sont mises en avant; Une série à avaler d'un seul trait.
Une bonne surprise pour ma part. Voici une série intéressante, mature, remarquablement réalisée, habilement mise en scène et interprétée avec brio par la somptueuse Anya Taylor-Joy, impeccable, ainsi que tous les seconds rôles. Un régal.
shindu77
Excellente mini-série. De bout en bout, c'est une réussite. L'histoire est prenante, la réalisation est de qualité.
Le casting est vraiment qualitatif, mention spéciale à l'actrice principale qui est excellente dans son rôle.
Voilà comment une série peut faire aimer les échecs.
Le casting est vraiment qualitatif, mention spéciale à l'actrice principale qui est excellente dans son rôle.
Voilà comment une série peut faire aimer les échecs.
A force de la voir affichée dans Netflix, à force d’en voir des articles ici et là... il fallait bien se pencher sociologiquement sur cette série. Je ne me trouve pas là une excuse, d’autant que globalement j’ai tenté de name concentrer sur ces qualités.
La série est bonne pour les mystères de son héroïne. Il ne s’agit pas là d’une série sur les échecs, Netflix répondant à un cahier des charges commercial avant de répondre aux lubies de chacun, mais une série sur une femme asociale, solitaire, qui a trouvé dans cette activité, et celle de la drogue il est vrai, le seul lien affectif qu’elle n’a jamais connu. Inéduquée à la vie, son don épaulé par toutes sortes de drogues d’époque va lui permettre de revendiquer sa propre existence. Et bla-bla-bla. La série peine à démarrer, et ne va pas le détail, ce qui s’explique par l’exigence à tirer sur la corde des saisons. Pour le reste, bien qu’estampillé produit atypique, c’est du classique sériel: glamour, belles images et musiques, propreté, revendication féministe (c’est bien, y en faut, et ici ce n’est pas à outrance), mais répétition de situation... Finalement, l’aspect décalé du personnage auquel chacun aspire à s’identifier pour se garantir son individualité dans un monde à la fois standardisé et de folie globalisante... bah cet aspect il est incarné par le jeu et la moue atypique de l’actrice. Pas au-delà. Et ça, c’était le pire programme sur le long terme.
La série est bonne pour les mystères de son héroïne. Il ne s’agit pas là d’une série sur les échecs, Netflix répondant à un cahier des charges commercial avant de répondre aux lubies de chacun, mais une série sur une femme asociale, solitaire, qui a trouvé dans cette activité, et celle de la drogue il est vrai, le seul lien affectif qu’elle n’a jamais connu. Inéduquée à la vie, son don épaulé par toutes sortes de drogues d’époque va lui permettre de revendiquer sa propre existence. Et bla-bla-bla. La série peine à démarrer, et ne va pas le détail, ce qui s’explique par l’exigence à tirer sur la corde des saisons. Pour le reste, bien qu’estampillé produit atypique, c’est du classique sériel: glamour, belles images et musiques, propreté, revendication féministe (c’est bien, y en faut, et ici ce n’est pas à outrance), mais répétition de situation... Finalement, l’aspect décalé du personnage auquel chacun aspire à s’identifier pour se garantir son individualité dans un monde à la fois standardisé et de folie globalisante... bah cet aspect il est incarné par le jeu et la moue atypique de l’actrice. Pas au-delà. Et ça, c’était le pire programme sur le long terme.
Une petite fille qui observe et écoute sa mère à l'arrière de la voiture. Cette petite fille devient orpheline et elle est placée dans un orphelinat. Au sous-sol, elle découvre deux protagonistes : le concierge et les échecs. Vocation, passion, obsession, les échecs ne tardent pas à devenir son univers omniprésent. La nuit dans son lit, tandis que dorment ses camarades, elle voit un jeu d'échecs au plafond, qui n'est pas une hallucination mais un entraînement des parties à jouer.
La petite fille de neuf ans est forte en maths : c'est la seule qui connaît la définition d'un binôme : un formule mathématique composée de deux monômes comme x et y.
Vient le jour où elle est adoptée par un couple atypique : une femme aimante que Beth n'aura aucun mal à appeler Maman et le mari de celle-ci, personnage indifférent à la petite qu'il a voulu adopter pour sa femme qui a perdu son seul enfant.
Le père adoptif absent, la mère omniprésente et si aimante, conciliante et alcoolique.
Beth Harman grandit dans un univers où elle reçoit beaucoup d'amour. Ce qui fait d'elle un cas, c'est sa passion pour les échecs, jeu Ô combien technique et imprévisible que seuls maîtrisent des êtres qui n'ont que ce but : connaître les passes et gagner. Ce sera le cas de Beth qui ne tarde pas à devenir célèbre. A vingt-deux ans, c'est une très belle rousse, gracieuse, sûre d'elle mais qui ne sourit jamais. Ses grands yeux mangent son visage surtout lorsqu'elle se mesure à un adversaire.
Vient l'heure des championnats. Elle se mesure au plus qu'elle bât à plate couture. Mais on ne mène pas une telle vie sans drogue. Depuis l'école primaire, elle avale des pastilles anabolisantes. Puis, plus tard, ce sera l'alcool. Grâce à une santé physique comme mentale de fer, elle sait être sobre quand il le faut. Cette série de sept épisodes est un chef-d'oeuvre d'interprétation de tous les acteurs.
La petite fille de neuf ans est forte en maths : c'est la seule qui connaît la définition d'un binôme : un formule mathématique composée de deux monômes comme x et y.
Vient le jour où elle est adoptée par un couple atypique : une femme aimante que Beth n'aura aucun mal à appeler Maman et le mari de celle-ci, personnage indifférent à la petite qu'il a voulu adopter pour sa femme qui a perdu son seul enfant.
Le père adoptif absent, la mère omniprésente et si aimante, conciliante et alcoolique.
Beth Harman grandit dans un univers où elle reçoit beaucoup d'amour. Ce qui fait d'elle un cas, c'est sa passion pour les échecs, jeu Ô combien technique et imprévisible que seuls maîtrisent des êtres qui n'ont que ce but : connaître les passes et gagner. Ce sera le cas de Beth qui ne tarde pas à devenir célèbre. A vingt-deux ans, c'est une très belle rousse, gracieuse, sûre d'elle mais qui ne sourit jamais. Ses grands yeux mangent son visage surtout lorsqu'elle se mesure à un adversaire.
Vient l'heure des championnats. Elle se mesure au plus qu'elle bât à plate couture. Mais on ne mène pas une telle vie sans drogue. Depuis l'école primaire, elle avale des pastilles anabolisantes. Puis, plus tard, ce sera l'alcool. Grâce à une santé physique comme mentale de fer, elle sait être sobre quand il le faut. Cette série de sept épisodes est un chef-d'oeuvre d'interprétation de tous les acteurs.
Netflix considéré à tort ou à raison comme le fast-food de la création télévisuelle, pèche habituellement par ses réalisations très (trop) convenues.
Autant dire que je n’attendais rien d’exceptionnel de cette mini-série pourtant encensée par une majorité de téléspectateurs.
Mea-culpa, le "jeu de la dame", titre dont le nom s’inspire d’une ouverture célèbre du jeu d’échecs répertoriée sous l’appellation, gambit de la dame (ou de la reine, c’est selon) est une bonne surprise.
Malgré quelques longueurs inhérentes aux réalisations Netflix et un happy-end que l’on sent venir à cent lieues, on se laisse bien volontiers entraîner dans la vie, la passion, les malheurs, les doutes et les espoirs de l’héroïne tiraillée entre son passé et ses addictions et incarnée par la talentueuse et très jolie Anya Taylor-Joy.
Sans être un chef-d’œuvre cette saga réalisée par Scott Frank (qui sort là de son rôle habituel de scénariste) se place dans le top ten des meilleures séries de la plateforme.
Autant dire que je n’attendais rien d’exceptionnel de cette mini-série pourtant encensée par une majorité de téléspectateurs.
Mea-culpa, le "jeu de la dame", titre dont le nom s’inspire d’une ouverture célèbre du jeu d’échecs répertoriée sous l’appellation, gambit de la dame (ou de la reine, c’est selon) est une bonne surprise.
Malgré quelques longueurs inhérentes aux réalisations Netflix et un happy-end que l’on sent venir à cent lieues, on se laisse bien volontiers entraîner dans la vie, la passion, les malheurs, les doutes et les espoirs de l’héroïne tiraillée entre son passé et ses addictions et incarnée par la talentueuse et très jolie Anya Taylor-Joy.
Sans être un chef-d’œuvre cette saga réalisée par Scott Frank (qui sort là de son rôle habituel de scénariste) se place dans le top ten des meilleures séries de la plateforme.
Superbe série unique dans son genre à voir absolument pour le jeu majestueux de l'actrice principale
Oui ça se laisse regarder
Oui l'actrice principale jour bien
Mais un film aurait suffit pas besoin de 7 heures d'épisodes pour si peu creuser les relations humaines qui auraient pu être intéressante avec sa mère adoptive
On survole sa pseudo addiction aux drogues et alcool ...
On voit arriver la fin au bout du 2 même épisode
Et le côté pro Americain toujours Supérieur au Russe ca lasse
Et puis le jeu de la dame alors que le film parle d'échec......
Oui l'actrice principale jour bien
Mais un film aurait suffit pas besoin de 7 heures d'épisodes pour si peu creuser les relations humaines qui auraient pu être intéressante avec sa mère adoptive
On survole sa pseudo addiction aux drogues et alcool ...
On voit arriver la fin au bout du 2 même épisode
Et le côté pro Americain toujours Supérieur au Russe ca lasse
Et puis le jeu de la dame alors que le film parle d'échec......
Une série captivante, bien réalisée, des acteurs charismatiques avec une retranscription réussie des années 60. La mise en scène des parties d' échec est passionnante.
Différents sujets sont abordés comme la guerre froide, le communisme, l'émancipation féminine, l'égalité des sexe.
Une très belle réussite qui vaut bien 5 étoiles.
Merci pour ce bon moment.
Différents sujets sont abordés comme la guerre froide, le communisme, l'émancipation féminine, l'égalité des sexe.
Une très belle réussite qui vaut bien 5 étoiles.
Merci pour ce bon moment.
Je me suis régalée à suivre les aventures de la meilleure joueuse d'échec du monde ! Un film humain qui décrit de façon subtile les dérives de l'être humain. Une belle mini série.
Je n'arrive pas à mettre moins. Une mini-série juste idéalement réalisée! Les décors, l'ambiance, les acteurs, le scénario qui pourtant aurait pu nous entraîner dans des longueurs et des ratés tant le sujet des échecs peut paraître banal quand on est pas fan. Et pourtant on est emballé du début jusqu'à la fin. On veut passer à l'épisode d'après et ce, systématiquement. Très belle initiative la scène d'ouverture qui ne demande qu'à être développée. Sacrée surprise !! Et quel esthétisme.
La mise en scène est soignée et élégante, le récit prenant et le personnage passionnant mais on regrette un manque cruel de mixité et un peu plus d'explications pour les néophytes des échecs.