Toute la lumière que nous ne pouvons voir : Critiques de la presse
Toute la lumière que nous ne pouvons voir
Critiques spectateurs
Critiques presse
Note moyenne
3,2
7 titres de presse
Ouest France
Télé 7 Jours
Le Parisien
Télé Loisirs
Téléstar
Télérama
Le Figaro Magazine
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Ouest France
par Anaïs Berno
On découvre une œuvre poignante et des personnages auxquels on s’attache très vite dans un récit choral maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Christophe Séfrin
Cette fresque humaine et humaniste ne peut laisser quiconque indifférent.
Le Parisien
par Stéphanie Guerrin
La mise en scène manque un peu d’élan en restant trop classique mais, malgré quelques clichés trop appuyés, le scénario est rythmé et plein de tension. On se laisse donc facilement prendre par ce divertissement de belle facture.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Juliette Heuzebroc
Si elle loupe le coche de la profondeur, l'écho de cette histoire avec l'actualité de ces dernières semaines en fait une fiction bienvenue avec un message optimiste sur la lumière et l'espoir qui sommeille en chacun de nous.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Téléstar
par Romain Nigita
Les reconstitutions de Paris et de Saint-Malo durant la guerre sont bluffantes, malgré le style souvent très académique de la mise en scène de Shawn Levy.
Télérama
par Michel Bezbakh
Quand Netflix adapte un best-seller sur l’histoire d’amour entre une petite fille aveugle et le seul nazi gentil de la Seconde Guerre mondiale, il ne faut pas s’attendre à La Ligne rouge ou à Voyage au bout de l’enfer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Figaro Magazine
par Constance Jamet
Hélas, la série de Netflix Toute la lumière que nous ne pouvons voir, tirée de l'ouvrage d'Anthony Doerr, s'avère une bouillabaisse indigeste qui replonge Saint-Malo dans une occupation de pacotille, dont les nazis, hystériques, semblent sortis d'une série B.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Ouest France
On découvre une œuvre poignante et des personnages auxquels on s’attache très vite dans un récit choral maîtrisé.
Télé 7 Jours
Cette fresque humaine et humaniste ne peut laisser quiconque indifférent.
Le Parisien
La mise en scène manque un peu d’élan en restant trop classique mais, malgré quelques clichés trop appuyés, le scénario est rythmé et plein de tension. On se laisse donc facilement prendre par ce divertissement de belle facture.
Télé Loisirs
Si elle loupe le coche de la profondeur, l'écho de cette histoire avec l'actualité de ces dernières semaines en fait une fiction bienvenue avec un message optimiste sur la lumière et l'espoir qui sommeille en chacun de nous.
Téléstar
Les reconstitutions de Paris et de Saint-Malo durant la guerre sont bluffantes, malgré le style souvent très académique de la mise en scène de Shawn Levy.
Télérama
Quand Netflix adapte un best-seller sur l’histoire d’amour entre une petite fille aveugle et le seul nazi gentil de la Seconde Guerre mondiale, il ne faut pas s’attendre à La Ligne rouge ou à Voyage au bout de l’enfer.
Le Figaro Magazine
Hélas, la série de Netflix Toute la lumière que nous ne pouvons voir, tirée de l'ouvrage d'Anthony Doerr, s'avère une bouillabaisse indigeste qui replonge Saint-Malo dans une occupation de pacotille, dont les nazis, hystériques, semblent sortis d'une série B.