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Ana B.
29 abonnés
18 critiques
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Critique de la série
3,5
Publiée le 22 janvier 2020
Intrigant, dérangeant, Ares fonctionne vraiment bien. Le rythme est assez soutenue pour qu'on en veille tout de suite plus. La fin est satisfaisante mais aurait sans doute mérité d'être un poil plus développée. En tout c'as l'idée est sympa, la pression fonctionne. Un bon moment a passer même si on reste un peu sur sa faim au bout du compte.
Énormément de potentiel, fe bons acteurs, une bonne ambiance, une histoire au départ audacieuse mais qu'est-ce que ca part en nimporte quoi ! La serie nous tient en haleine tout du long, jusqu'à l'apogée, moment où, normalement, toute l'histoire devait prendre sens, mais non, on comprend rien, ni le pourquoi ni le comment. Je met une note très basse, une soirée de gâcher.
L'idée etait très prometteuse, la bande annonce donnait réellement envie, et le fait que l'action se passe à Amsterdam, et que la série soit Hollandaise, changeait carrement des habituelles series US..... Mais voilà, tout s'enchaine trop vite, le scénario se révèle trop facile, ce qui fait qu'on ne se plonge jamais dans cette serie.... Oui, on tient jusqu'au bout pour connaitre le dénouement, mais chaque épisode est brouillon et assez incompréhensible. Dommage, car les acteurs ne sont pas mauvais, et les décors et costumes sont magnifiques.... Il faut en rester là, et ne pas faire une deuxième saison, car elle sera (déjà) de trop....
Dans cette série, tout fait penser à la Franc Maçonnerie satanique, le logo de l'institution, les cérémonies, les rituels, les sacrifices humains; également le processus d’adhésion par cooptation poussiéreuse et loufoque qui nécessite de la part des jeunes recrues du courage et un peu d'humiliation. L'élite est essentiellement blanche et riche sauf l'héroïne qui est métisse noire et pauvrette. Dés son arrivée, des meurtres, suicides et hallucinations s'enchainent. Est elle là par choix et avide de reconnaissance ou bien sélectionnée pour un but bien précis...bref le début est certes encourageant mais la série s'enfonce vers une fin spoiler: qui se termine en revanche raciale abracadabrante.
Quelle déception ! Série extrêmement prometteuse, les images sont très belles, l'ambiance géniale, l'intrigue vous tient pendant toute la série.... alors ce qui aurait-il pu être un chef d'œuvre part complètement en eau de boudin !! La fin est totalement ratée, incompréhensible, car pendant tous les épisodes on surfe sur le surnaturel pour se retrouver dans rien...... très très déçu
Série difficile à cerner avec des personnages d'un genre de secte machiavélique. Ce n'est pas très compréhensible comme série avec une nébulosité et une folie permanente.
Un seul regret concernant cette série grotesque : avoir perdu les 120 minutes de mon existence correspondant à la visualisation des 4 premiers épisodes. Le plus odieux dans tout cela, c'est d'avoir fait main basse, sans vergogne aucune, sur "Eyes wide shut" du maître Kubrik, en préemptant ce chef d'oeuvre pour ne produire qu'un boulgi-boulga satanico-abscons, sans queue ni tête. Une véritable profanation de sépulture. Que nos amis Hollandais persistent dans ce qu'ils font de mieux, les tulipes, la bière, le Gouda, le... non rien, mais qu'ils abandonnent définitivement la réalisation de séries, sur Netflix ou ailleurs. Quant à vous, chers collègues séries addicts : fuyez ! Fuyez tous !
Un univers très attirant, de belles images et de bons acteurs. Une intrigue intéressante que beaucoup ne semble pas avoir compris.... spoiler: l’héroïne se retrouve confrontée à sa propre cupidité, le démon qui l'a infecté la pousse à vomir toute forme de culpabilité et renier sa morale. Elle va donc alterner les phases de comportements cupides puis de prise de conscience de ses actes. On est face à un dilemme interne: doit elle ou non réussir quitte à renier sa morale.
Finalement l’héroïne retrouve une part d'humanité en se retenant de vomir. Elle redevient maîtresse de ses actes et peut faire ses propres choix sans être sous l'influence du démon. Elle choisie de son plein grès de commettre le pire des péchés: tuer. Quand vient l'heure du vomi de la culpabilité, elle décide de le retenir en elle.
Elle refuse de se détacher du poids de son meurtre et de ce fait le revendique comme sien, c'est une façon de s'affranchir du pouvoir libérateur du démon. Elle se positionne en égal et devient à son tour démon. Imprégné du pouvoir de bael (tombe dans le puits) elle laisse aller sa noirceur et choisi de décimer cette société élitiste pourrie et inhumaine.
Ce choix répond au second dilemme de l'intrigue qui est de savoir si il vaut mieux soutenir cette société secrète qui protège le monde du démon beal ou si il est préférable de suivre le Beal et de se rebeller contre cette organisation inhumaine. L’héroïne choisie de tuer tout le monde sauf son père surement par esprit de vengeance contre ceux qui l'ont pousser à commettre tous ses meurtres. Mais, le spectateur est libre de se positionner en faveur d'un des deux camps.
C'est loin de la banalité des scénarios hollywoodien, c'est pas non plus aussi complexe et tordu qu'un film d'auteur. Faites un effort.
spoiler: Les présidents qui se sont suicidés, vivaient grâce au pouvoir libérateur du démon (vomi de la culpabilité). Libéré par Jacob de l'emprise du démon, ils n'ont pas été capable d'assumer le poids de leur actes (trop humain). Contrairement à l’héroïne (devenue inhumaine).
J'aurais bien aimé qu'il développe plus le monde satanique et qu'il introduise plus de notions comme la légende du puits sans fond par exemple et encore bien d'autre légende du monde des enfers. Je trouve dommage qu'on reste centré surspoiler: la figure du Bael, qui n'est d'ailleurs pas si développer que ca non plus.
Une bande d’annonce très prometteuse, qui donne envie de regarder cette série. Plus on avance dans l’histoire, plus on a envie de regarder la suite. Un début vraiment bien scénario, un scénario qui tient la route. Mais la fin ? Une incompréhension totale.. vraiment déçu.. le dénouement est incompréhensible.
La série néerlandaise Ares pouvait plaire par son histoire attrayante, mais l'univers trop complexe et l'ambiance angoissante de la série nous ont plus troublé que séduit au cours des huit épisodes. Même si les épisodes peuvent tenir en haleine, il est rare de ne pas tomber dans une incompréhension totale, seuls les plus intrépides pourront donner un sens à la série. - 6/20 Critique sur Ares (saison 1) Vue du 17 au 20.01.2020 sur Netflix
La série néerlandaise Ares pouvait plaire par son histoire attrayante, mais l'univers trop complexe et l'ambiance angoissante de la série nous ont plus troublé que séduit au cours des huit épisodes. Même si les épisodes peuvent tenir en haleine, il est rare de ne pas tomber dans une incompréhension totale, seuls les plus intrépides pourront donner un sens à la série. - 6/20 Critique sur Ares (série) Vue du 17 au 20.01.2020 sur Netflix
A part le côté esthétique , la série reste pleine d'incohérences : Des meurtres sans le moins policier , une maman qui fait découvrir un tatouage sur le bras que sa fille de 18 ans n'a jamais vu ... Bref tout un monde ésotérique et obscur pour découler sur une fin du type white bashing. Une série qui s'inscrit dans ce que l'on pourrait appeler de l'ethno-masochisme de bas étage. Une perte de temps.
ça bouffe à tous les râteliers pour ratisser large en terme de public (Sexe, Épouvante, Théorie du complot... ). Les dialogues sont d'une platitude navrante. Le personnage principal passe d'un caractère affirmé à celui d'une personne très malléable et ce, en un claquement de doigts. Rien de consistant et encore moins de constructif, À fuir
Cette série est assez bien rythmée et donne le ton direct. Certes,un peu à la "eyes wide shut " mais qui nous entraîne avec ses courts épisodes à la regarder en 2 parties. Les décors,le côté sombre et énigmatique nous donnent envie d'en voir plus. Rosa au rôle principal est partagée entre ses propres demons et ceux de cette secte bobo gor.. En bref,j'en suis au 6 ème épisode c'est pas fou ok maos cette serie se laisse regarder facilement.