Série assez atypique qui n'a pas trop d'équivalent dans le style. Car tout tourne autour du personnage central de Nadia qui est un personnage très dynamique, n'ayant pas sa langue dans sa poche mais un peu garçon manqué par son coté dévergondé, souvent impoli et antipathique. Et pourtant, on fini par s'y habituer et lui trouver un coté bien sympathique. Ce qui lui arrive et fait l'histoire de la série est a son image : complètement imprévu, incroyable et déroutant. Par 2 fois, dans les 2 saisons, elle va être victime de déplacement temporel. La saison 1 est sous forme d'une boucle qui se répète tant qu'une mission qu'elle doit découvrir n'est pas accomplie. La saison 2 est beaucoup plus compliqué avec un métro qui l'envoi dans le passé de sa famille et où, là aussi, il faut rétablir l'ordre. Bon, impossible à raconter davantage mais la saison 1 est bien plus linéaire, mystérieuse et captivante. Chaque épisode apporte quelques éclaircissements et des pistes de solution. Cette saison 1 est de loin la meilleure et ma préférée. La saison 2 a du gros potentiel sur l'idée de départ. Mais très vite, les scénaristes en rajoute de trop et à force de surcouches sur des surcouches, l'histoire devient bien trop complexe et difficile à digérer. C'est mon reproche de la saison 2 : pourquoi une histoire si tordue ? D'autant plus que j'ai apprécié moyennement toute la partie psychologie sur les rapports entre la mère et la fille. Mais bon, la série a gardé son style et c'est toujours surprenant. Au final : la saison 1 est à voir, je recommande. Je vous laisse juge pour la saison 2.
Non seulement j'ai bien aimé le thème (les boucles spatio temporelles de type Un jour sans fin, Edge of Tomorrow...), non seulement ça tient la cadence d'une série (évidemment en évitant le revivre la même journée de la même façon) mais l'actrice principale est fascinante : ni vraiment séduisante ni moche, presque vulgaire mais fun, elle irradie l'écran de sa personnalité. Quant à la 2e saison, elle a la bonne idée de partir sur un autre concept même si l'histoire se perd un peu dans le dernier épisode.
Ça commence plutôt bien, c'est pas mal au début puisque qu'on veut savoir le pourquoi du comment. Et puis au fur et à mesure des épisodes on a l'impression de perdre son temps. Après la première saison j'avais déjà envie d'arrêter, mais je le suis dit qu'en continuant, en forçant un peu le niveau et l'intrigue serait au rendez-vous. mais non ! Je me suis forcé à aller jusqu'au bout de la deuxième saison, et résultat, j'ai le sentiment d'avoir perdu mon temps. Passer votre chemin, cette série ne vaut pas le coup.
Une superbe idée qui est totalement plombée par le personnage principal incarné par Natasha Lyonne. Cette "héroïne" est tout simplement détestable, désagréable et antipathique et là c'est tout de même embêtant car l'ensemble de la série est centrée sur elle. Au bout d'un moment on n'en peut vraiment plus de la voir grommeler, s'énerver, s'agacer etc...
Natasha Lyonne interprete ici un personnage assez étrange : Natasha Lyonne. Des allures masculines, l'attitude, et la façon de parler, ce personnage est assez malaisant à regarder et à écouter.
Le pitch principal est génial : revivre la meme journée encore et encore. Il est toujours agréable de voir les trouvailles des scénaristes dans un registre qui a déjà été rincé jusqu’à la moelle.
Cependant, si l'ambiance ne vous plait pas, si les personnages vous agace, vous n'allez pas apprécié cette série, qui semble etre un pur produit New Yorkais, avec ses idéologies d'ultra gauche.
Trois ans de préparation et un retour en bonne et due forme. Cette seconde saison explore le temps et la famille avec de belles idées créatives. Agréable, enjoué et une actrice au top.
D’“Orange Is The New Black” à “Russian Doll”, dont la saison 2 est disponible actuellement, les personnages interprétés par l’actrice à la voix éraillée et à l’humour tranchant se nourrissent de sa vie cabossée. Avec sa tignasse rousse et sa démarche courbée comme si elle cherchait des mégots sur le trottoir, Natasha Lyonne revient hanter notre salon avec la saison 2 de Russian Doll (Poupée russe), la série où le temps nous joue des tours. Contrairement à la première saison, Nadia, son personnage, ne revit pas sans cesse la même journée : une rame de métro la ramène cette fois-ci quarante ans en arrière, dans le corps de sa mère, enceinte d’elle-même. Une vraie histoire de poupées russes, qui va lui permettre — ou pas — de réparer de profondes blessures familiales.
Bonne saison 1 : la mort à la répétition comme le film "un jour sans fin" bien exploité par cette saison 1 avec quelque longueurs quand même..heureusement que chaque épisode ne dure que 30mn...les acteurs sont bon et on passe un bon moment
Excellente saison 2: cette fois on passe par un métro nyais ligne 6 verte qui voyage dans le temps années 80, années 60, la guerre froide , les nazis tout y passe...intéressant concept et pris avec beaucoup de tact par la réalisatrice actrice Natasha Lyonne. Sa mère aussi joue par l'incomparable Chloé Sévigny est excellente à son habitude..a découvrir..un confus toutefois au niveau de l'histoire
Excellente série ! L'actrice principale est formidable et l'enchaînement des scènes est vraiment prenant. Dès le premier épisode, nous avons l'impression d'être happé par le Jour de la marmotte en plus saignant ... C'est drôle, politiquement incorrect, très bien écrit et intelligent. La deuxième saison est aussi bonne, voir même meilleure que la première.
Dans cette seconde saison de Poupée Russe, Natasha Lyonne nous plonge dans la recherche de son passé. Cependant, elle cherche surtout à comprendre ce qu'elle est et d'où elle vient. Il est vrai que l'on peut se perdre parfois entre certains allées et venues, et les liens entre les personnages peuvent être parfois difficilement analysable de surcroît. Mais ne vous laissez pas avoir. Un second visionnage sera parfois nécessaire pour mieux comprendre. Mais une fois que les liens sont compris : toute la beauté des plans, du scénario, de la poésie utilisée et accompagné par le très bon jeux des acteurs... tout se révèlent. Amateur de psychologie, de poésie et de cinéma, courez voir (et revoir) cette saison 2.
Impossible à regarder je fais une fixation sur l’actrice principale : quand elle fume on a l’impression qu’elle mâche sa cigarette !!! Rien que pour ça je n’ai regardé que 15 minutes
Hyper surprise de la qualité de Poupée Russe! Saison 1 bien rythmée avec une ambiance qui devient de plus en plus glauque. J'enchaine sur la deuxième saison de suite