Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Première
par Charles Martin
Un drama adolescent, politique et mystérieux, incarné par une excellente distribution.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critictoo
par Ilona
Bien que hautement perfectible dans son écriture, [la série] s’impose grâce à son propos pertinent et à ses personnages attachants comme étant l’une des meilleures séries à destination des jeunes adultes de Netflix.
La critique complète est disponible sur le site Critictoo
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
[L]a série de Netflix qui frôlait la débandade instaure une intrigue centrale (presque) passionnante avec ses enjeux politiques, sociaux et judiciaires.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
Parfois loufoque, voire un peu bête, la série a toutefois une véritable ambition thématique, une distribution talentueuse, des épisodes bien remplis et un mystère central qui vous donne envie de rester tout le long des 10 épisodes de la première saison, même si vous savez très bien que les réponses seront moins intéressantes que les questions elles-mêmes.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
The Society n'est pas spécialement fraîche et elle est souvent maladroite à bien des égards. Mais elle est occasionnellement intelligente et fine, et plus l'histoire progresse, plus elle maîtrise la tension et les dillemmes moraux auxquels les personnages sont confrontés. Avec cela, la distribution est inégale mais solide.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Le Parisien
par La rédaction
Le premier épisode de The Society est poussif et pose le cadre de la série de manière un peu brutale. L’intrigue, très librement inspirée du classique littéraire Sa Majesté des mouches de William Golding, s’améliore ensuite au fil des différents volets.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Pierre Langlais
[C]e qui aurait pu être une catastrophe s’avère au final un drame ado honorable, qui a le bon goût de laisser à la marge son côté fantastique déjà vu pour exploiter ses jeunes héros.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Boston Herald
par Mark A. Perigard
Pour la défense du créateur Chris Keyser, la série joue parfaitement avec les attentes. Les relations entre les personnages sont bien explorées et parfois à travers des combinaisons surprenantes. Mais malheureusement, la série manque de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Boston Herald
Première
Un drama adolescent, politique et mystérieux, incarné par une excellente distribution.
Critictoo
Bien que hautement perfectible dans son écriture, [la série] s’impose grâce à son propos pertinent et à ses personnages attachants comme étant l’une des meilleures séries à destination des jeunes adultes de Netflix.
Ecran Large
[L]a série de Netflix qui frôlait la débandade instaure une intrigue centrale (presque) passionnante avec ses enjeux politiques, sociaux et judiciaires.
Los Angeles Times
Parfois loufoque, voire un peu bête, la série a toutefois une véritable ambition thématique, une distribution talentueuse, des épisodes bien remplis et un mystère central qui vous donne envie de rester tout le long des 10 épisodes de la première saison, même si vous savez très bien que les réponses seront moins intéressantes que les questions elles-mêmes.
The Hollywood Reporter
The Society n'est pas spécialement fraîche et elle est souvent maladroite à bien des égards. Mais elle est occasionnellement intelligente et fine, et plus l'histoire progresse, plus elle maîtrise la tension et les dillemmes moraux auxquels les personnages sont confrontés. Avec cela, la distribution est inégale mais solide.
Le Parisien
Le premier épisode de The Society est poussif et pose le cadre de la série de manière un peu brutale. L’intrigue, très librement inspirée du classique littéraire Sa Majesté des mouches de William Golding, s’améliore ensuite au fil des différents volets.
Télérama
[C]e qui aurait pu être une catastrophe s’avère au final un drame ado honorable, qui a le bon goût de laisser à la marge son côté fantastique déjà vu pour exploiter ses jeunes héros.
Boston Herald
Pour la défense du créateur Chris Keyser, la série joue parfaitement avec les attentes. Les relations entre les personnages sont bien explorées et parfois à travers des combinaisons surprenantes. Mais malheureusement, la série manque de rythme.