Avis Un bail en enfer

Le teasing de la première saison ne m'avait rien dit mais je suis tombé presque par hasard sur un épisode de la deuxième et j'ai trouvé ça très bien. Ça ne renouvelle pas le genre, mais on découvre de nouvelles affaires qui n'ont pas été traitées 15 fois. Des affaires qui vont bien plus loin que des problèmes de colocation comme le laisse penser le pitch. On parle de meurtre et de harcèlement extrême. Le seul hic, et pas des moindres, dans la réalisation, est que l'épisode commence systématiquement par les dernières images et donc par un spoil. On sait tout de suite qui est mort et qui est l'assassin. Je trouve que ça retire beaucoup à l'intérêt des épisodes, qui sont pourtant très bien ficelés et n'auraient pas besoin de ce préambule. J'ai remarqué que j'avais manqué cette partie du premier épisode et c'est pour ça que je l'avais trouvé aussi bien, parce que je ne m'attendais pas du tout au dénouement. Un gros point noir, mais une bonne série de true crime quand même.

Je suis un grand fan des affaires criminelles et je dois avouer que c'était des histoires que je ne connaissais pas et très intéressantes. La première histoire met clairement l'eau a la bouche pour voir la suite. Bravo Netflix :)

Des histoires terrifiantes, richement documentées, mais d'intérêt inégal. "Un bail en enfer" vous emmène dans les tréfonds de l'âme humaine. Accrochez-vous.

Quatre "true crimes" bien ficelés mais d'un intérêt très inégal. Le premier ("Appelez-moi grand-mère") et le dernier ("Colocataire indésirable") sont à mon avis les plus réussis ou en tout cas les plus glaçants.

Bonne mini série docu Netflix sur des affaires criminelles pas très connues... La première affaire fait vraiment froid dans le dos... La dernière est intéressante car j'ai vécu à peu près la même chose avec une personne invasive... Bref pour ceux qui aiment les histoires réelles un peu glauques...

4 histoires dont 3 assez prenantes. La dernière révoltante (comme en France). Le style des documentaires, toujours soigné, aide à l'accroche. 3/5 !