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Cent Vingt Mad
3 abonnés
26 critiques
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5,0
Publiée le 23 juin 2024
spoiler: Avec l'arrivée de la nazi et toutes les intrigues sont bien ficelé (spoiler: petite longueur avec le frère de Kimiko ) mais dans L ensemble pour l instant. Pour l instant C est la meilleur saison.
Quel soufflet ! Dès les premiers épisodes de cette seconde saison, l'ennui et la répétition plombent tout. Pour finir, comment des super-héros aussi puissants, vénaux, menteurs peuvent continuer à faire semblant ? Cela ne tient plus debout. On en vient juste à se demander de quoi ils ont peur vu qu'ils sont "invincibles" ? Lorsqu'on se pose la question, tout le narratif s'effondre et la série devient juste nulle.
Tout aussi fun et décomplexée que la première saison, cette saison 2 de The Boys est, une nouvelle fois, une belle réussite. C'est drôle, bien rythmé, irrévérencieux et toujours aussi sympathique à suivre. De plus, cette saison 2 met en place des choses fort attrayantes pour la saison 3 qui s'annonce encore plus explosive.
Une 2eme saison légèrement en dessous de la première, la faute à un rythme moins soutenu, donnant lieu à des épisodes légèrement moins aboutis. Ca reste trash, dégueu et irrévérencieux comme on aime et s'inscrit donc parfaitement dans la continuité.
Après le succès de la première saison, cette deuxième salve d’épisode est tout aussi à la hauteur. Plus rythmée, plus barrée et toujours aussi trash, cette saison 2 ne cesse de nous surprendre à travers ses huit nouveaux épisodes. Avec l’arrivée du nouveau personnage Stormfront (Aya Cash), l’intrigue prend une tournure intéressante et pose la question du totalitarisme. Cette nouvelle saison voit aussi le développement plus en profondeur des personnages, notamment sur les liens familiaux, qui étaient jusque-là, très peu mis en avant. Un petit bémol pour The Deep (Chace Crawford) et A-Train (Jessie T. Usher) moins présents dans cette saison. Du côté de la réalisation, la série excelle toujours autant par ses costumes, décors et effets spéciaux ainsi que son casting plus que fabuleux (mention spéciale à Anthony Starr pour le rôle du Protecteur). Le final, très plaisant, laisse pleins de questions en suspens dont on a hâte de trouver les réponses dans la prochaine saison. - 17,5/20 Critique sur The Boys (saison 2) Vue du 26.09 au 11.10.2020 sur Amazon Prime Video
La stéréotype de la série qui part en live dès la saison 2: du gore inutile, des facilités scénaristiques à gogo, des longueurs démentielles, des scènes inutiles, des persos gâchés... Bref, je n'irai pas plus loin.
Sur bien des aspects, cette saison 2 est encore meilleure que la première. Alors que la saison 1 avait manifestement un peu oublié de développer ses personnages (surtout les secondaires) mais les premiers épisodes de cette 2e saison rattrapent le coup. Cela donne des premiers épisodes proche de l'ennui, sauver par l'humour en particulier avec The Deep/L'Homme poisson. Et forcément quand les moments plus émouvants arrivent, ils nous touchent plus grâce à ce lien que l'on créé avec les personnages, positif comme négatif. La fin est en ce sens bien plus marquante que la précédente. De nouvelles thématiques sont abordés, pas avec beaucoup de subtilité cela dit. Une saison 2 qui ne fait pas redite et avance encore dans son récit.
Un peu moins bien que la première saison. Assez ennuyeux jusqu’au troisième épisode, cela s'améliore ensuite pas mal pour monter crescendo et finir sur des épisodes haletants. Une saison 3 est annoncée, je pense que j’en serai finalement.
La saison 2 met davantage l'accent sur la psychologie des Supers, leurs travers et la façon dont tous interagissent entre eux pour mettre la zizanie en cette phase 2. L'éclate comme toujours.
Alors autant la saison 1 était vraiment subversive et jouissive, autant la saison 2 rentre dans le rang et adopte les travers du genre. Bref les personnages deviennent moins ambigus, le discours politique reste consensuel et puis des nazis vraiment? Y’a pas plus cliché ? La fin de la saison retrouve néanmoins l’esprit d’origine.
toujours aussi bien on passe de nazis super héros .aux manipulations du gouvernement américains qui pour plaire aux électeurs seraient prêts à accepter n'importe quoi. une véritable allégorie de la société actuelle avec des acteurs dont on ressent le plaisir de jouer dans cette serie
Bien moins efficace et jouissif que la Saison 1, je le suis vraiment ennuyé, entre dialogue soporifique et sans intérêt, et histoire sans queue "ni tête " la série n'avance plus, et le scénario complètement débile . Bref une déception .
Malgré une première saison plutôt décevante, j’ai donné une nouvelle chance au show Amazon.
Et comme pour l’année dernière, le show est maitrisé à fond dans les scènes d’actions, les confrontations, scènes de tentions, mais n’arrive pas à faire de même dans les scènes plus dramatiques, centrées sur la famille, le passé des protagonistes, leurs peurs, leurs espoirs, leurs doutes.
Comme beaucoup de séries américain,es The Boys bénéficie d’un casting de fou, mais en raison d’un trop grand nombre d’acteurs et d’actrices, rend le suivi du show pour chaque personnage partielle et survolé.
Le cas de Stormfront (Aya Cash), est à l’image du traitement des protagonistes : en dehors de la première scène de bagarre pourchassant le terroriste philippin, et la confrontation finale, elle se contente de quelques dialogues et de rares scènes intimes avec Homelander.
Je suis déçu du traitement du personnage de Lamplighter, Shawn Ashmore, découvert dans les X-Men, livre une performance médiocre, et vide de sens vu la fin de son perso.
J’ai aussi ce sentiment pour la Reine Maeve (Dominique McElligott), Kimiko (Karen Fukuhara) et même le sympathique The Deep (Chace Crawford).
Si suivre les déambulations de ce petit groupe de résistants aux superhéros est fun et jouissif dans les scènes matures et amorales à souhait.
Cependant, il reste ce sentiment permanent que le show survol le potentiel de l’histoire, en donnant une importance démesurée à des questions d’actualités de manière peu subtile, ou reprenant la mise en scène pour le coup des films de Paul Verhoeven (Robocop, Starship Troopers).