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Ja Z
55 abonnés
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Critique de la série
1,5
Publiée le 15 juin 2024
Je ne comprends pas comment on peut aimer cette série, tout sonne faux et cet intérêt pour les super héros voir super petite fille hyper balèze c'est n'importe quoi. Beaucoup de scène immonde et pas intéressante, le scénario n'est pas terrible dans son ensemble j'y adhère pas du tout, l'acteur principal a été magnifique dans la série Banshee, je m'arrête là.
Les trois premières saisons étaient "plutôt" sympas.
Ayant vu la quatrième saison, je ne sais pas pourquoi mais j'ai eu physiquement la nausée. Tout est gratuit, méchant, affreusement violent, ça n'a plus aucun sens. Le wokisme encore une fois est partout et c'est un florilège d'insultes envers les spectateurs.
Alors par où commencer... j'ai découvert The Boys suite aux recommandations répétés d'amis me décrivant cette série comme l'une des meilleures du cinéma actuel, mais il n'en résulte qu'une terrible déception !!!! Commençons par ce qui saute aux, que dis-je qui agresse les yeux, cette série ne sait pas filmer. Les plans sont tous plus hideux les uns que les autres, notamment de par l'obsession du réalisateur à user de plans séquences ou scène vomissante de cut, peut-être dans l'objectif de cacher son non-talent en donnant l'illusion de savoir faire un basique champ/contre-champ. Quand aux personnages, je ne préfère pas m'étendre sur l'héroïne cliché du féminisme actuelle et du cliché du protagoniste qui cherche à se venger suite à la perte de sa femme par x personnage oubliable à souhait et juste détestable. Les acteurs sont quand à eux tout autant oubliable que leurs prestations. Et pour finir, le dessert : LE SCENARIO !!! Il est tout aussi bancal que les derniers points, mais il est sensé être le point fort de cette dont le seul a été, pour moi, de tout simplement réussi à me faire découvrir une façon illimité de créer de l'ennui avec des épisodes bien trop long et prévisible. Je ne vous recommande pas cette série, à part si vous désirez tester les effets d'un avc sans pour autant avoir à aller à l'hôpital.
Quel dommage, un sans faute jusqu'à la saison 3 mais avec la saison 4 on resent la pression qui a été faite par le wokisme.. Jusqu'à la saison 3 il n'y avait pas frontières entre les bons et les méchants, chacun pouvait se faire son avis et naturellement personne n'était du côté du protecteur mais avec cette saison 4 tellement tourné sur le wokisme on préfère se mettre du côté de vault et du protecteur tellement les boys tournent a la caricature, même si Bucher reste dans son personnage il en devient fébrile et presque insignifiant.. Quel dommage du faut que la production ait sûrement subi de pressions pour ne plus laisser le spectateur se faire son propre avis obtenir au final un scénario dirigé alors que jusqu'a la saison 3 resté ambigu poussant le spectateur à la réflexion.. En bref the boys est un chef d'œuvre jusqu'à la saison 3 !
Mais où est passé la finesse de la saison 1 ? Les personnages deviennent de plus en plus lourd et caricaturaux. Le message politique à peine dissimulé nuit gravement au déroulement du scénario. Sans même parler du manichéisme gras de l'histoire qui rompt totalement avec la saison 1 Bref vivement qu'on en finisse
J'ai détesté cette saison , beaucoup trop de politique et de prise de position sans grande utilité .. Le scénario est lent et là série devient celle qu'elle dénonçait .
Je baisse ma note à cause de la saison 4 qui est épouvantable. On d’ennui ferme. Le personnage de Butcher est a la fois une caricature de lui même poussé à l’extrême et complétement inutile dans l'histoire, sans parler de sa voix VF (la même que Brad Pitt) qui donne la nausée dans le sur-surjeu de la suffisance. Tout ce qu'il reste ce sont les scènes Trash, le reste c'est à dormir debout, je défie quiconque de intéresser à l'intrigue.
J'ai mangé la première saison en un rien de temps, bien faite, surprenante avec de très bons acteurs. Puis au fur et à mesure cette série perd de son charme tant l'histoire tourne en rond… A chaque fois la même chose, retournement et puis "ben non" on retourne à un point de départ. Cette série tourne en boucle et c'est dommage vu son potentiel certain!
Sans parler des scènes de sexes complétement inappropriée, mal venue et à répétition, elles n'ont aucun intérêt!
4 saisons, je suis sevré, je n'irai pas plus loin!
Comme pour la saison précédente, les mésaventures des Boys et les évènements impliquant les Super reflètent avec beaucoup de justesse la réalité de la société américaine, la polarisation de la société entre deux blocs, la haine banalisée, les idées les plus radicales et complotistes trouvant dans les médias des relais de diffusion, et la violence politique, la réalité ayant rejoint la fiction avec la tentative d’assassinat de Trump…
Eric Kripe est showrunner et scénariste engagé, et n’a pas la « main qui tremble » lorsqu’il s’agit de pointer du doigts les excès de la société, les limites de la démocratie, les dérives médiatiques (on a quand même une chanson pour enfants incitant à dénoncer ses propres parents « woke »).
Les pérégrinations des boys sont toujours aussi violentes, gore, sanglantes, avec des combats, des personnages complètement tordus et délirant (voir la folie S-M de Tek Knight) et l’absence de toute limite morale chez chacun des personnages.
J’ai bien aimé le choix des nouveaux personnages : Susan Heyward incarne avec génie Sister Sage, l’intelligence incarnée, mais capable d’être bébête quand son cerveau a pris un coup.
Valorie Curry, grande habituée aux séries superhéroïques avec The Tick (2017), joue ici l’incarnation des conspirationnistes qui parle à « l’Amérique profonde », tentant de donner un sens à la vie de losers blancs et en colère, qui sentent le monde leur échapper.
Nous avons même droit à un personnage à part joué par le grand Jeffrey Dean Morgan, lié au passé de Butcher.
Les auteurs arrivent à mélanger un divertissement adulte et déjanté, avec une critique acerbe de la politique américaine.
Reste par moments quelques facilités scénaristique qui arrivent comme un cheveux sur la soupe (la révélation sur Kessler, avec le même twist que pourspoiler: l’excellent Fenêtre Secrète – 2004 ).
Une série audacieuse, originale, qui sait se démarquer de la concurrence tout en livrant un message politique qui n’a rien de lisse, simpliste ou moraliste.
La nouvelle saison de The Boys marque un cruel essoufflement. Déjà que les trames avaient tendance à nous ramener au point de départ après des arcs narratifs déments, celle-ci ne décolle pas : les Boys sont un cabinet de pleurnichards qui se croisent et n'ont plus de plans concrets, les 7 ne le sont plus et cherchent des nouvelles têtes, et le trash qui était la marque de fabrique est devenu prévisible voire un gimmick. J'en veux a certaines scènes écœurantes qui n'apportent rien. Le spin off Gen V supplante aisément cette saison.
La fin de la saison dernière annonçait du politiquement détestable et des contestataires en place au fond de l'hémicycle pour un nouvel ordre en marche. On y est avec cette saison quatre qui instaure un nouveau modèle. Complotistes et souffreteux s'affrontent avec beaucoup moins d'élan que précédemment mais avec une saison pivot qui réorganise l'ensemble.
La saison 4 de “The Boys” continue de bousculer les codes du genre super-héroïque en plongeant encore plus profondément dans la satire politique et sociale. Ces nouveaux épisodes s’articulent autour de nouveaux enjeux, avec des tensions grandissantes entre un Protecteur complètement incontrôlable et ses opposants les Boys. L’interprétation d’Antony Starr reste l'un des points forts de la série, mélangeant menace et fragilité avec brio pour son personnage du Protecteur. Une des autres réussites de cette saison est son exploration de thèmes toujours plus actuels, comme l’impact des réseaux sociaux et la manipulation de l’information. Tandis que du côté de l'action, les scènes de combat sont encore plus intenses et violentes cessant de nous surprendre. Globalement, la série reste à la hauteur et propose encore une fois une saison spectaculaire, on espère maintenant que la dernière saura conclure la série en apothéose. - 16/20 Critique sur The Boys (saison 4) Vue du 15.06 au 20.07.2024 sur Prime Video
Franchement je rédige jamais d'avis mais la... La série a tellement bien commencé avec saison 1 et 2, la 3e commence à sentir le sapin et la 4e c'est l'enfer. Heureusement que Homelander et Butcher sauvent la mise parce que les autres c'est la catastrophe : - La romance entre Kimiko et et le frenchie dont tout le monde se tape en parallèle de l'histoire principale avec l'intrigue sur le fait qu'il soit homo est en total décalage - Kimiko qui se plaint H24 d'être une super héros et qui 2 secondes après avoir perdu ses pouvoirs se réinjecte du V direct derrière - Stella toujours dans le mélo drame avec Hughie et Marvin qui deviennent tous des fragiles qui se remettent en question sur chaque scène Pesant, lourd et long.
la pire saison de la série elle reste cependant qualitative et divertissante mais je vois des défauts: la satire qui critique l'extrême droite et pleins d'autres choses tels que la captilalisme Marvel est toujours présente mais tourne un peu en rond tout comme certains personnages.Aussi je trouve que la série fait parfois du trash pour du trash sans grand intérêt. Mais c'est toujours qualitatif bien joué bien écrit bien réalisé bons effets spéciaux certains nouveaux personnages sont très bon tels que sage. Homelander est toujours aussi excellent et Anthony starr est parfait dans son rôle. Je pense que c'est le calme avant la tempête pour la saison 5 qui va clôturer cette série et tout faire péter je l'espère. en conclusion ca reste une bonne saison très divertissante avec de grande qualités mais qui tourne en rond sur certains aspects
Ayant découvert cette série par hasard, ce fut une très grande surprise. J'ai accroché dès les premiers épisodes. La série a l'audace de transformer les héros qu'on connait tous en véritables pourritures. J'ai trouvé les personnage très pertinent notamment l'Homelander qui est parfaitement incarné par Anthony Starr où la série arrive à le rendre horrible mais on peut également avoir de la compassion et de la pitié pour le personnage. La violence et la sexualité de la série sont totalement assumées par la série. Ce que j'ai beaucoup aimé, c'est le fait que la série se détache des comics et se permet de changer l'histoire et les personnages. Pour conclure, je vous recommande vraiment cette série si vous voulez une satire des univers de super héros que nous connaissons tous