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Maximemax527
13 abonnés
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Critique de la série
4,5
Publiée le 15 avril 2024
Après avoir lu le livre qui m'a passionné tant par son écriture légère et simple mais aussi quant a la manière chimérique dont le conte Rostov nous fait vivre le passage de "l'ancien monde au nouveau monde", je fus agréablement surpris de voir qu'une série en était née. Les 3 premiers épisodes sont juste parfait. Ewan McGregor incarne a merveille ce personnage d'une autre époque et rend hommage a l'auteur. L'hôtel Métropole est sa prison dorée où il va vivre "immobile" les plus fortes expérience de son existence et nous en offrir par la même, la chance de pouvoir les suivre J'invite tout le monde a lire le livre et a regarder cette série, une pépite de fraîcheur bien utile en ces temps troublés
Trop de longueurs sur les 4 premiers épisodes mais la suite est absolument sublime. Une histoire très émouvante dans laquelle, dès le 5ème épisode, on se laisse emporter. Une étoile de moins pour le choix d’une partie du casting créant un anachronisme inutile qui nous empêche de nous plonger pleinement dans l’histoire de la Russie de cette époque.
Oui, des esclaves ont été importés en Abkhazie, mais pas en Russie et surtout à Moscou et encore plus dans le contexte du livre et de l'Histoire. Et on parle du 17e siècle... Donc oui, c'est à nouveau un bel exemple de non sens.
Un triste gachis. Qu'est ce qui est plus triste? Un serie mediocre, ou une serie qui avait beaucoup d'atouts (acteurs, budgets, decors) mais va dans le mur avec un scenario invraisemblable sacrifié sur l'autel du revisionisme historique (desolé mais non, à moscou en 1920, les descendants d'esclaves étaient blancs et les serveurs français n'étaient pas algeriens). Ce ne sont que des exemples qui font qu'on n'arrive pas à se plonger dans l'Histoire.
Franchement je ne comprends pas cette note très moyenne pour cette série grandiose. D’une intelligence rare, la série développe un huis clos tout sauf ennuyeux. Les dialogues et le jeu des acteurs et spécialement d’Ewan Mac Gregor sont magnifiques. Á voir absolument !
La série est britannique, ça fait donc bizarre d'entendre des russes parler anglais, de même pour le casting très 'racisé'... Même si la serie s'inscrit dans une trame historique, rechercher le réalisme des personnages ou de l'intrigue serait décevant, il faut plus l'envisager comme un décor.
Mais 'A gentleman in Moscow' est une serie d'ambiance romanesque très attachante, qui brille d'abord grâce à son formidable interprète principal, Ewan McGregor. Les années passent pour l'acteur mais n'altèrent en rien son incroyable charme, ses yeux pétillants et son sourire d'enfant. Je retrouve chez son personnage la noblesse de coeur, l'intelligence aigue et la sagesse d'Obiwan, avec un mélange épatant de flegme et de malice. Toujours drôle et souriant dans les épreuves, plein d'humanité, l'ancien noble maniéré réussit à se faire apprécier même de l'agent chargé de sa surveillance. Son amante et âme soeur est joué par sa propre compagne à la ville, Mary Elizabeth Winstead, leur duo est exceptionnel.
Un comte russe est condamné à vivre à vie dans les combles d'un hôtel de luxe pendant la révolution russe. Il va s'attacher aux gens qui y passent ou y travaillent tandis que son univers s'effondre. Complètement improbable et parasité par la diversité qui fait que la série reflète plus le Londres de 2024 que le Moscou de 1918, l'histoire est habilement menée et provoque de belles émotions. On pleure, on rit, on est révolté par l'horreur de ce qu'est le communisme. Le dernier épisode sait mettre une tension extrême même si on aurait aimé une fin plus classique. Une série donc à voir en passant outre ce qui relève de l'impossible et de la soumission aux diktats de l'époque dans le choix des acteurs, par ailleurs très bons.
"A Gentleman in Moscow" est une mini-série percutante portée par un Ewan McGregor magistral dans le rôle d’un aristocrate assigné à résidence dans un hôtel de Moscou pendant la révolution bolchévique. Avec des décors somptueux, le huis clos qui nous est proposé réussit à créer un contraste fascinant entre le luxe et la situation désespérée du personnage. Malgré un rythme parfois lent, les huit épisodes parviennent à maintenir un intérêt constant, d’une part avec sa fausse légèreté et d’autre part avec son côté parfois poétique et ses moments d’émotion riche en intensité. Avec son charme, ses personnages attachants et l'interprétation formidable de McGregor, la série nous offre un récit historique à la fois captivant et touchant. - 14,5/20 Critique sur A Gentleman in Moscow (saison 1) Vue du 31.05 au 20.06.2024 sur CANAL+
"A Gentleman in Moscow" est une mini-série percutante portée par un Ewan McGregor magistral dans le rôle d’un aristocrate assigné à résidence dans un hôtel de Moscou pendant la révolution bolchévique. Avec des décors somptueux, le huis clos qui nous est proposé réussit à créer un contraste fascinant entre le luxe et la situation désespérée du personnage. Malgré un rythme parfois lent, les huit épisodes parviennent à maintenir un intérêt constant, d’une part avec sa fausse légèreté et d’autre part avec son côté parfois poétique et ses moments d’émotion riche en intensité. Avec son charme, ses personnages attachants et l'interprétation formidable de McGregor, la série nous offre un récit historique à la fois captivant et touchant. - 14,5/20 Critique sur A Gentleman in Moscow (série) Vue du 31.05 au 20.06.2024 sur CANAL+
Hélas hélas... une certaine idéologie a mis ses grosses pattes sur le casting... brisant toute vraisemblance. Dommage car l'histoire est tout de même belle et Ewan MC Gregor est génial. Le comble est que l'histoire relatée peut être vue comme une dénonciation-à tout le moins une réflexion critique- sur les idéologies qui veulent à tout prix supprimer le passé... tout ça réalisé sous l'égide du révisionnisme et de la cancel culture, c'est un peu fort...
Cette série adopte un point de vue original. Le héros, va vivre la cruauté et la déliquescence de l’union soviétique à travers le prisme d’un hôtel de luxe, vitrine pour le monde occidental, au sein duquel il est assigné à vie à résidence. Les drames sont ainsi atténués mais bien réels. Cela confère à l’ensemble un charme tout à fait inattendu dans un contexte aussi dur. L’histoire réussit le tour de force de maintenir le fragile équilibre entre une réalité souvent sordide et la délicatesse et l’émotion de ceux qui la vivent. Une très élégante série qui masque les drames et le désespoir sous un voile de légèreté où l’humour se teinte toujours d’une dérision polie. Les acteurs sont au diapason de la série tout de finesse et d’élégance. Une belle surprise.
Un chef d’œuvre qui échapperas aux mufles youtubé. Dialogues subtils et gracieux, musiques discrètes, décors réalistes et aucuns acteurs n’en fait trop...
Pas mal fait et assez agréable à regarder Évidement des paysans russes du début.du XXeme noirs, ainsi que des membres du parti ou des domestiques de l’hôtel nuit gravement à la compréhension et surtout al la crédibilité de l’intrigue
Magnifique série, très poétique. Le huit-clos, les dialogues et la musique se conjuguent pour offrir une expérience visuelle et émotionnelle unique. La tension et l'émotion sont palpables à chaque épisode
Evidemment, certaines scènes ne sont pas forcément réalistes et ne représentent pas l'époque sombre qu'était l'URSS à cette période. Ces libertés artistiques peuvent surprendre les puristes de l'histoire, mais elles n'enlèvent rien la beauté de la série. En revanche, de nombreuses autres scènes permettent très bien de s'imaginer la dureté et la cruauté que devait exiger le régime communiste. La tension palpable, les relations humaines conflictuelles, et la lutte pour la survie dans un environnement oppressif sont autant d'éléments qui nous plongent au cœur de cette époque trouble.
En somme, cette série offre une vision nuancée et profondément humaine d'une période historique complexe. Elle m'a d'ailleurs fortement rappelé le film Grand Budapest Hotel.