Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Collider
par Dave Trumbore
L'équipe a parfaitement su appréhender l'univers de King et sa manière de raconter des histoires. Chaque personnage a suffisamment de temps d'antenne pour bénéficier d'une réelle introspection (...) Castle Rock est une série à ne pas manquer que ce soit pour les fans de Stephen King ou pour les fans de séries horrifiques.
La critique complète est disponible sur le site Collider
Entertainment weekly
par Kristen Baldwin
Bien que la plupart des personnages sont nouveaux (à l'exception du shérif), les fans de King ressentiront une évidente familiarité face à Castle Rock. Passer du temps devant cette série c'est comme revenir à la maison à bien des égards, avec tout ce qu'une telle visite peut comprendre d'excitation et de terreur.
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DailyMars
par Vincent Degrez
Adapter Stephen King pour la télévision, mais sans l’adapter vraiment, mais un peu quand même, mais sans le trahir… Il fallait des pros de la haute couture pour réussir ce tour de force. Castle Rock est leur créature de Frankenstein sérielle. Plutôt une réussite, même s’il faudra attendre la saison 2 pour confirmer.
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L'Express
par Igor Hansen-Love
Sur une échelle de 1 à 10, le niveau d'angoisse que suscite Castle Rock se situe entre 8 et 9. Autant dire que les scénaristes d'American Horror Story peuvent aller se rhabiller. La réussite tient avant tout à l'atmosphère glaçante de la ville, et, notamment, au respect de la grande loi de l'épouvante : la monstruosité est bien plus effrayante quand elle n'est jamais montrée. Diablement efficace.
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Le Monde
par Pierre Sérisier
La mise en perspective est ici intéressante car cette recomposition de l’univers de Stephen King obéit à la technique employée par l’auteur qui effectue fréquemment des références à ses propres écrits, tissant un réseau de liens qui augmentent encore la cohérence de l’ensemble de ce monde unique. Castle Rock est enfin l’occasion de s’attarder sur l’agonie des petites localités américaines, thème que l’on trouve également dans l’intrigante Sharp Objects avec Amy Adams de retour dans le village de son enfance, Wind Gap, dans le Missouri. C’est la fin d’un monde ancien qui ne pourra pas ressusciter et qu’on imagine plus raisonnable de laisser mourir pour faire place à un nouveau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La rédaction
Castle Rock affiche pourtant un petit air de déjà-vu pour les lecteurs du romancier, dans la mesure où ce nom est celui d’une ville, théâtre de très nombreux romans du King, comme Dead Zone, Cujo, ou la Part des ténèbres. Les fans s’amuseront donc à repérer les références à l’œuvre du maître, qui se situent également dans le casting, Sissy Spacek ayant par exemple incarné Carrie dans le film du même nom. Les autres frissonneront de toute façon à cette histoire macabre qui débute avec la disparition d’un enfant dans les années 1990 et se poursuit de nos jours avec l’apparition surprise d’un intrus dans une cellule a priori désaffectée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Julia Baudin
Certains puristes diront peut-être que l’on s’y perd. Ils se trompent. Il faut se laisser porter par le récit foisonnant, rester à hauteur des personnages, entrer dans les maisons sombres et prendre un verre au comptoir de l’unique bar poussiéreux. D’autres diront aussi que la série aurait pu être bien plus terrifiante. Son caractère mystérieux l’emporte, sublimé par une photographie magnifique et un casting luxueux. En tête, Sissy Spaceck, révélée au grand public il y a quarante-deux ans dans le rôle de la célèbre Carrie.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Première
par Charles Martin
Le moins qu'on puisse dire, c'est que les mystères glauques ne manquent pas dans cette nouvelle série à tiroirs, qui regorge d'énigmes et de questions plus intrigantes les unes que les autres. Un scénario puzzle déroulé de manière intelligente, et qui agrippe le téléspectateur pour ne plus le lâcher. On est pris au jeu des révélations, des secrets inavouables et de ce mal indicible qui sévit sur la Ville. Malgré quelques lenteurs, on prend le temps de découvrir des personnages consistants, aux relations fouillées, parfaitement incarnés par un casting efficace (Bill Skarsgard, déjà brillant dans le remake de Ca, crève l'écran en croquemitaine insondable).
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Télé 2 semaines
par La rédaction
Cette histoire aussi subtile qu'originale manie avec efficacité les flash-back pour résoudre une intrigue dense.
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indieWIRE
par Ben Travers
Intelligente, divertissante, profonde, remplie de personnages bien pensés; plusieurs couches dans les intrigues à déchiffrer, des références à repérer... que vouloir de plus d'une série adaptée des oeuvres de Stephen King ?Smart, fun scares; deeply felt, well-founded characters; layers of story to decipher, along with the references--what more could you want in a new piece of the Stephen King library? Smart, fun scares; deeply felt, well-founded characters; layers of story to decipher, along with the references--what more could you want in a new piece of the Stephen King library?
La critique complète est disponible sur le site indieWIRE
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Malgré d’indéniables qualités, cette série qui revisite l’imaginaire du romancier américain Stephen King comme une galaxie fictionnelle manque encore de relief.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TVLine
par Dave Nemetz
Les premiers épisodes sont un peu foutraques du point de vue des intrigues, en essayant de jongler avec de multiples histoires sur différentes timelines, la série a besoin de temps pour trouver son rythme (...) Mais plus on en apprend sur cette ville, plus l'histoire devient riche et captivante.
La critique complète est disponible sur le site TVLine
Télé 7 Jours
par Frédérick Rapilly
Atmosphère, atmosphère... Tout est question d'atmosphère, de climat, dans cette série supernaturelle, oppressante, dérivée de l'univers de Stephen King. Le rythme est lent, hypnotisant et crée l'équivalent d'une mélodie démoniaque qui a tout pour envoûter le téléspectateur. Et peut-être le décevoir au final. Attention, aussi maîtrisé que manipulateur !
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télé Loisirs
par Roxane Mansano
Intrigante, avec un soupçon d’angoisse et de psychologie, Castle Rock ravira les adeptes du maître de l’horreur. Ils y retrouveront les principaux ingrédients qui ont fait le succès de ses livres. Ne correspondant pas pour autant à un roman de Stephen King, la série a créée sa propre histoire en utilisant les codes et en plaçant certaines références liées à l’univers de l’auteur. (…) Malheureusement, nous regrettons tout de même la lenteur des épisodes, qui n’apportent finalement que peu de réponses au fur et à mesure que l’intrigue évolue.
La critique complète est disponible sur le site Télé Loisirs
Télérama
par Pierre Langlais
Cette anthologie, produite par J.J. Abrams et le romancier lui-même, imagine une intrigue inédite dans l’univers de ses romans. Un hommage habile, imparfait mais astucieusement troussé.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
The A.V. Club
par Erik Adams
Il faudrait que Castle Rock ait beaucoup plus de personnalité pour fonctionner, car les personnages qui y vivent n'en ont pas.
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The Hollywood Reporter
par Dan Fienberg
L'incapacité de l'histoire à nous embarquer devient particulièrement frustrante au bout de 4 épisodes, le 4e ayant toutefois le mérite de relancer l'intrigue jusqu'à la fin. De manière générale, cette série ne fait jamais peur, ni ne réussit à créer un véritable suspense, et je ne suis pas sûr de pouvoir pointer le genre auquel elle appartient.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Variety
par Daniel D'Addario
C'est du sinistre classique, nous répétant à longueur de temps combien on est censé être effrayés, sans parvenir à construire des personnages pour lesquels on a suffisamment de sympathie pour être saisis.
La critique complète est disponible sur le site Variety
L'Obs
par Guillaume Loison
Problème : comment se passer de King lorsqu’il s’agit de reconfigurer les éléments clés de son œuvre ? C’est sur cette équation que bute Castle rock, série littéralement fantomatique, confondant maniérisme et contrefaçon, effets de signature et clichés. Là où J.J. Abrams avait trouvé avec son épisode de Star Wars (Le réveil de la force), matière à honorer George Lucas sans le copier, il se trouve contraint de singer systématiquement King, comme un mauvais imitateur, ou un bon élève sans personnalité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Collider
L'équipe a parfaitement su appréhender l'univers de King et sa manière de raconter des histoires. Chaque personnage a suffisamment de temps d'antenne pour bénéficier d'une réelle introspection (...) Castle Rock est une série à ne pas manquer que ce soit pour les fans de Stephen King ou pour les fans de séries horrifiques.
Entertainment weekly
Bien que la plupart des personnages sont nouveaux (à l'exception du shérif), les fans de King ressentiront une évidente familiarité face à Castle Rock. Passer du temps devant cette série c'est comme revenir à la maison à bien des égards, avec tout ce qu'une telle visite peut comprendre d'excitation et de terreur.
DailyMars
Adapter Stephen King pour la télévision, mais sans l’adapter vraiment, mais un peu quand même, mais sans le trahir… Il fallait des pros de la haute couture pour réussir ce tour de force. Castle Rock est leur créature de Frankenstein sérielle. Plutôt une réussite, même s’il faudra attendre la saison 2 pour confirmer.
L'Express
Sur une échelle de 1 à 10, le niveau d'angoisse que suscite Castle Rock se situe entre 8 et 9. Autant dire que les scénaristes d'American Horror Story peuvent aller se rhabiller. La réussite tient avant tout à l'atmosphère glaçante de la ville, et, notamment, au respect de la grande loi de l'épouvante : la monstruosité est bien plus effrayante quand elle n'est jamais montrée. Diablement efficace.
Le Monde
La mise en perspective est ici intéressante car cette recomposition de l’univers de Stephen King obéit à la technique employée par l’auteur qui effectue fréquemment des références à ses propres écrits, tissant un réseau de liens qui augmentent encore la cohérence de l’ensemble de ce monde unique. Castle Rock est enfin l’occasion de s’attarder sur l’agonie des petites localités américaines, thème que l’on trouve également dans l’intrigante Sharp Objects avec Amy Adams de retour dans le village de son enfance, Wind Gap, dans le Missouri. C’est la fin d’un monde ancien qui ne pourra pas ressusciter et qu’on imagine plus raisonnable de laisser mourir pour faire place à un nouveau.
Le Parisien
Castle Rock affiche pourtant un petit air de déjà-vu pour les lecteurs du romancier, dans la mesure où ce nom est celui d’une ville, théâtre de très nombreux romans du King, comme Dead Zone, Cujo, ou la Part des ténèbres. Les fans s’amuseront donc à repérer les références à l’œuvre du maître, qui se situent également dans le casting, Sissy Spacek ayant par exemple incarné Carrie dans le film du même nom. Les autres frissonneront de toute façon à cette histoire macabre qui débute avec la disparition d’un enfant dans les années 1990 et se poursuit de nos jours avec l’apparition surprise d’un intrus dans une cellule a priori désaffectée.
Ouest France
Certains puristes diront peut-être que l’on s’y perd. Ils se trompent. Il faut se laisser porter par le récit foisonnant, rester à hauteur des personnages, entrer dans les maisons sombres et prendre un verre au comptoir de l’unique bar poussiéreux. D’autres diront aussi que la série aurait pu être bien plus terrifiante. Son caractère mystérieux l’emporte, sublimé par une photographie magnifique et un casting luxueux. En tête, Sissy Spaceck, révélée au grand public il y a quarante-deux ans dans le rôle de la célèbre Carrie.
Première
Le moins qu'on puisse dire, c'est que les mystères glauques ne manquent pas dans cette nouvelle série à tiroirs, qui regorge d'énigmes et de questions plus intrigantes les unes que les autres. Un scénario puzzle déroulé de manière intelligente, et qui agrippe le téléspectateur pour ne plus le lâcher. On est pris au jeu des révélations, des secrets inavouables et de ce mal indicible qui sévit sur la Ville. Malgré quelques lenteurs, on prend le temps de découvrir des personnages consistants, aux relations fouillées, parfaitement incarnés par un casting efficace (Bill Skarsgard, déjà brillant dans le remake de Ca, crève l'écran en croquemitaine insondable).
Télé 2 semaines
Cette histoire aussi subtile qu'originale manie avec efficacité les flash-back pour résoudre une intrigue dense.
indieWIRE
Intelligente, divertissante, profonde, remplie de personnages bien pensés; plusieurs couches dans les intrigues à déchiffrer, des références à repérer... que vouloir de plus d'une série adaptée des oeuvres de Stephen King ?Smart, fun scares; deeply felt, well-founded characters; layers of story to decipher, along with the references--what more could you want in a new piece of the Stephen King library? Smart, fun scares; deeply felt, well-founded characters; layers of story to decipher, along with the references--what more could you want in a new piece of the Stephen King library?
Les Inrockuptibles
Malgré d’indéniables qualités, cette série qui revisite l’imaginaire du romancier américain Stephen King comme une galaxie fictionnelle manque encore de relief.
TVLine
Les premiers épisodes sont un peu foutraques du point de vue des intrigues, en essayant de jongler avec de multiples histoires sur différentes timelines, la série a besoin de temps pour trouver son rythme (...) Mais plus on en apprend sur cette ville, plus l'histoire devient riche et captivante.
Télé 7 Jours
Atmosphère, atmosphère... Tout est question d'atmosphère, de climat, dans cette série supernaturelle, oppressante, dérivée de l'univers de Stephen King. Le rythme est lent, hypnotisant et crée l'équivalent d'une mélodie démoniaque qui a tout pour envoûter le téléspectateur. Et peut-être le décevoir au final. Attention, aussi maîtrisé que manipulateur !
Télé Loisirs
Intrigante, avec un soupçon d’angoisse et de psychologie, Castle Rock ravira les adeptes du maître de l’horreur. Ils y retrouveront les principaux ingrédients qui ont fait le succès de ses livres. Ne correspondant pas pour autant à un roman de Stephen King, la série a créée sa propre histoire en utilisant les codes et en plaçant certaines références liées à l’univers de l’auteur. (…) Malheureusement, nous regrettons tout de même la lenteur des épisodes, qui n’apportent finalement que peu de réponses au fur et à mesure que l’intrigue évolue.
Télérama
Cette anthologie, produite par J.J. Abrams et le romancier lui-même, imagine une intrigue inédite dans l’univers de ses romans. Un hommage habile, imparfait mais astucieusement troussé.
The A.V. Club
Il faudrait que Castle Rock ait beaucoup plus de personnalité pour fonctionner, car les personnages qui y vivent n'en ont pas.
The Hollywood Reporter
L'incapacité de l'histoire à nous embarquer devient particulièrement frustrante au bout de 4 épisodes, le 4e ayant toutefois le mérite de relancer l'intrigue jusqu'à la fin. De manière générale, cette série ne fait jamais peur, ni ne réussit à créer un véritable suspense, et je ne suis pas sûr de pouvoir pointer le genre auquel elle appartient.
Variety
C'est du sinistre classique, nous répétant à longueur de temps combien on est censé être effrayés, sans parvenir à construire des personnages pour lesquels on a suffisamment de sympathie pour être saisis.
L'Obs
Problème : comment se passer de King lorsqu’il s’agit de reconfigurer les éléments clés de son œuvre ? C’est sur cette équation que bute Castle rock, série littéralement fantomatique, confondant maniérisme et contrefaçon, effets de signature et clichés. Là où J.J. Abrams avait trouvé avec son épisode de Star Wars (Le réveil de la force), matière à honorer George Lucas sans le copier, il se trouve contraint de singer systématiquement King, comme un mauvais imitateur, ou un bon élève sans personnalité.