Avis Castle Rock - Page 2

hormis quelques fulgurances réussies comme "shining", je n'ai jamais été fan de Stephen King. Et je suis pourtant un lecteur compulsif de romans à suspense. Cette fois encore, malgré une ambiance anxiogène réussie et une photo travaillée, on tombe dans les travers de ce qui caractérise l'écrivain qui à force de vouloir en faire trop, finit par livrer un gloubiboulga confus et surtout fumeux. Pas pour moi.

J'ai accroché au début , très mystérieux , les scènes et le scénario sont accrocheur .
Ensuite on de perd du présent au passé et ça s'éternise en longueur.
J'ai abandonné au dernier épisode de la saison 1 sans vouloir regarder la suite .
Dommage de n'être pas rester dans la lancée du début .

Assez déçu de la première saison, la deuxième a été une bonne surprise malgré un début un peu brouillon au niveau du scénario.
Certains personnages sont vraiment bien écrits et les acteurs sont au niveau (pas seulement l'excellent Tim Robbins).
Je dois quand même avouer que je m'attendais à d'avantage de spectacle au niveau des effets et de la photographie ainsi que des musiques.

j'ai vu les 2 saisons et tous les episodes sur quelques jours ,je n'ai pas perdu le fil mais je suis deçu car l'intrigue est tres lente et cette histoire trop compliquée .Les acteur sont pourtant bons selon moi .

Complétement ratée, ça part dans tous les sens, les mystères s'empilent de façon complétement anarchique sans la moindre résolution, les références à l'univers de King n'apportent rien et alourdissent le récit. spoiler: Le visage démoniaque que voit Henry avant de tuer le kid
. spoiler: Certains personnages, les acheteurs de la maison de Lacy ou Jackie Torrance, un personnage ne servent ment à rien.
Bref, déception. Les notes attribuées en moyenne sont complètement fausses!

Malheureusement, à part l'incessant baratin religieux qui meuble cette série, je n'y ai rien trouvé d'intéressant.Les dialogues ne retiennent pas l'attention.Peut convenir a ceux qui aiment le rythme hyper lent car l'intrigue met trop de temps à se mettre en place.

Trop lent et pas d idée directive. Cela part dans tous les sens. Franchement j ai eu du mal a la finir😪. Un film de 2h aurais été suffisant. Pitié stop. Le seul point fort sont les personnages qui jouent bien.

Fan de Stephen King depuis des décennies, je m'attendais à franchement mieux de la part d'une série dont la bande annonce laissait présager un Castle Rock hanté par les sujets de prédilection et les personnages phares du maître de l'horreur. Le scénario plutôt convenu et sans surprise déçoit ( spoiler: cette histoire de monde parallèle a franchement déjà été vu et revu des dizaines de fois
), on tourne en rond pour combler la durée des épisodes, les quelques allusions aux personnages des romans de King (jusque dans les enseignes des magasins...) tombent la plupart du temps comme des cheveux sur la soupe, le matraquage religieux finit par agacer et la fin est franchement décevante, ne donnant pas du tout envie de regarder la saison 2. Sissi Spacek, phénoménale dans certains épisodes, Bill Skarsgård, encore plus malaisant que dans "Ça", et l'amusante Mélanie Lynskey sauvent tout de même les meubles, l'interprétation du personnage principal par Andre Holland frisant l'erreur de casting. Une série qui méritait un bien meilleur traitement si les scénaristes avaient su plonger la petite ville du Maine dans le véritable univers de Stephen King dont les adaptations cinématographiques ne parviennent décidément pas à convaincre (la pitoyable "Tour sombre" en tête des ratages de l'année dernière), à quelques très rares exceptions. Castle Rock offrait une occasion de rendre hommage à son talent sans avoir à adapter une œuvre existante. C'est (presque) raté.

J.J Abrams et Stephen King aux manœuvres, on pouvait s'attendre à quelque chose d'hors norme, toute l'ambiance des romans de SK a été fidèlement retranscrite, on nous tient en haleine, on s'attend à un truc énorme ....et au fur et à mesure que les épisodes passent, on commence à se douter que ça va pas le faire....et ça ne le fait pas du tout!! Scénario moisi, ultra daubesque, totalement à côté de la plaque et les auteurs ont bien du mal à justifier l'ultra nullité de ce qu'ils ont pondu en affirmant laisser l'initiative aux spectateurs de clôturer l'histoire selon leur inspiration...!! Archi nul. Temps perdu

Une série qui est lente à se développer. Le début intrigue - un peu - mais je dois dire que jusqu'au dernier épisode, je n'ai rien compris. C'est une catastrophe, les évènements partent dans tous les sens et les quelques potentialités dans cette série ont été mal exploitées.
J'ai perdu mon temps.

Je me suis accroché jusqu'à la fin.
Je regarderais la saison deux mais si ça ne change pas la série n'iras pas bien loin.
Pas terrible dans l'ensemble on s'ennuie.

L'art de faire perdre son temps ...*

Saison 1

Épisode 8 (10 annoncés) Enfin un peu d'action, mais toujours aussi inutilement et ridiculement alambiqué ... Si on attend des réponses, ça reste une réelle souffrance.
Quand on dit aux gens : "C'est une série Netflix", ils répondent : - "C'est de la m..." Quand on dit aux gens : "C'est produit par Stephen King et J. J. Abrams", ils crient au génie ...
Bon, l’atmosphère est appréciable, et il y a un semblant de suspens, mais qui ne mène à rien pour le moment, ça fait donc un peu long ...
Apprécier la série pour ses références, même si on se fait ch... à en mourir; c'est quand même discutable, non ?
Ceci dit, au final, plus ça va, et plus les notes baissent ici et là, et à raison.
Les gens ne sont pas non plus tous dupes face à ce foutage de gueule manifeste.

Suite - Épisode 9 : Lourd, lourd, ... Très lourd même. Comment donner la moindre note positive à cette série qui n'a pas d'autre intention que faire tourner les gens en bourrique et donner cours à des interprétations débiles dont tristement beaucoup sont friands.
Neuf épisodes pour arriver à ça ???

Épisode 10 - Final, et abrégé de la saison :

Vous vouliez un peu de suspens, une certaine atmosphère ?
- vous serez servis.
Des réponses claires et précises ?
- vous n'en aurez pas.
Ennui, langueur, morosité ?
- difficile de faire mieux.

Et surtout :

*L'art de faire perdre son temps est ici à son paroxysme.
...

Saison 2

Du mieux comparé à la première qui était un réel supplice.
Les premiers épisodes laissent espérer quelque chose de moins confus et surtout, quelque chose qui aboutit.
La façon de faire reste quoi qu'il en soit la même, scènes coupées au moment d'une réponse ou d'un instant crucial et surtout encore et toujours cette langueur irritante.
Même les scènes d'actions semblent éternellement longues ...
Le fait que la plupart des personnages soient torturés ou dérangés amplifie la lourdeur ambiante, les flashbacks mal présentés ne faisant qu'alourdir encore le tout.
L'épisode "origines" aurait pu être vraiment intéressant si le fondement même de l'histoire avait été possible. Un beau gâchis.
Un point positif est que l'histoire va quelque part.
Quelques moments d'action, donc, et leurs lot d'hémoglobine servent vaguement de distraction dans un ensemble très, très long.

La distribution est correcte.
La musique parfois franchement exagérée.

Beaucoup de courage finalement sera requis pour supporter le fastidieux, la lourdeur, voir l'inutile de cette histoire.

Au bout de trois épisodes toujours pas d'histoire.... l'ambiance est sympa, c'est propre. Les personnages ça va, mais ça sans encore un scénario qui tient en deux lignes et où on en fait une série de plusieurs saisons pour rien...

Si malgré un pilot plus qu'intéressant j'ai eu qq doutes après l'épisode 4, qui montrait une série souffrant de mollesse et ne sachant pas où elle allait, les derniers épisodes (le 5 et le 7 en particulier) m'ont vite convaincu que Castle Rock était une série qui méritait au moins encore un peu de patience de ma part, tant les clés de l'intrigues sont dispersées ça et là au fur et à mesure, sans que jamais la série ne évoile tout son potentiel d'un coup.
Il est encore trop tôt pour dire si Castle Rock tient du génie ou de la pure fumisterie voguant sur un regain d'intérêt pour l'univers de Stephen King. Mais l'ambiance si particulière imposée par les Show runner, le talent des acteurs (Bill Skarsgard vole quasiment la vedette à chaque scène où il est présent), ainsi que l'écriture et la prestation de la sublime Sissy Spacek dans l'épisode 7 m'ont convaincu d'attendre jusqu'au final season.
Pour l'instant c'est un 3.5/5 pour moi, qui je l'espère pourra aller tâter le 4/5 d'ici les prochains épisodes.

En tant que grande fan de Stephen King, je me devais de regarder cette série. Ce n’était pas une nouvelle adaptation comme il y en a des dizaines chaque année, mais une histoire originale reprenant une ville, Castle Rock, et son histoire, créée au fil des romans de Stephen King. (Pour les plus novices, à Castle Rock se sont notamment déroulées les intrigues de « Cujo », « Bazaar », « Dead Zone » ou encore « Le Corps ».)
Alors, est-ce que cette série est fidèle à ce qu’écrit le « maître de l’horreur » ?

En fait, je vais vous le dire tout de suite : pas tellement. Je n’ai pas ressenti le côté « Kingesque » de l’œuvre, en tout cas rarement, et pas toujours dans les points positifs. (Parce que Stephen King aussi a des défauts. Si si, je vous jure.)
Par exemple, l’un des points que lui reproche souvent, c’est que ses histoires mettent parfois beaucoup, BEAUCOUP de temps à décoller (Oui « Sac d’os » et « Insomnie », c’est vous que je regarde !).
Et ici, c’est carrément le cas.
Au début, comme pour toute nouvelle histoire, on est intrigués, surpris, on veut savoir ce qu’il se passe dans cette ville maudite, qui est ce fameux « Kid », ce qu’il s’est réellement passé lorsque Henry Deaver était enfant… Alors on attend. Et on attend. Et on attend. Et au bout de cinq épisodes, on se dit que c’est un peu long tout de même, et ça ne va pas en s’arrangeant. Il ne se passe vraiment pas grand-chose, et le pire, c’est que quand on a des réponses, elles sont décevantes… Du moins pour moi.
On nous balance tout à la figure en un épisode, et c’est – je trouve – franchement trop tiré par les cheveux. C’est pour moi le plus gros défaut de « Castle Rock » : son histoire inconsistante et qui traîne en longueur.
Et malheureusement, ça ne fait pas peur, mais alors PAS DU TOUT, mais bon… On va se faire l’avocat du diable et dire que ce n’était pas le but premier de la série. Même si on nous la vend comme une série d’horreur. Ahem.

Un autre point négatif, c’est que les personnages sont totalement oubliables, et ça, ça s’éloigne carrément de ce qu’a pu écrire Stephen King : les personnages sont son point fort, c’en est ici presque une trahison.
Si l’on excepte le personnage de Ruth (interprété par Sissy Spacek) et qui est vraiment a-do-rable, les autres ne sont vraiment pas intéressants.
Henry (Andre Holland) est sympathique, mais n’a pas vraiment de charisme, le « Kid » (Bill Skarsgård) aurait pu être intéressant mais on en apprend trop peu sur lui… Non, si l’histoire de la série ne m’a pas plu, ce ne sont pas non plus ses personnages qui l’ont sauvée.
Quant aux références faites aux romans du King, elles sont peu utiles, et parfois carrément forcées (N’est-ce pas, Jackie TORRANCE ? Ou encore toi, le Saint-Bernard qui déboule de nulle part juste pour nous faire penser à Cujo alors que Cujo a vécu il y a des dizaines d’années ?).

Bon, on peut croire que je vomis sur la série, mais il y a quand même quelques – rares – points que j’ai trouvé intéressants… Le problème c’est qu’ils étaient généralement accompagnés de nombreux défauts.
Quelques exemples pour être plus claire : côté technique, je n’ai pas grand-chose à dire, les acteurs jouent bien… MAIS leurs personnages ne sont pas intéressants.
L’épisode 7, consacré au personnage de Ruth, est un petit bijou de montage et d’émotion… MAIS l’épisode n’apporte pas grand-chose à l’histoire.
Le pouvoir qu’a le Kid sur les gens est vraiment cool et donne lieu à des scènes géniales… MAIS ça n’est vraiment pas assez exploité. Il est capable de détruire la ville à lui tout seul, de semer le chaos, mais vu qu’on ne suit que les personnages principaux, on ne voit pas les conséquences de ce pouvoir sur la ville entière, juste des bribes. (Et pour une série qui a pour titre le NOM de ladite ville, c’est dommage.

Bon, j’aurais encore beaucoup de choses à dire sur « Castle Rock », mais ce ne serait que des détails qui rallongeraient un peu plus l’article, et je suis sûre que vous avez bien mieux à faire que de me lire pendant des heures. (C’est difficile d’écrire une chronique sur une série, je m’en rends bien compte maintenant !)
En définitive, Castle Rock est plutôt un gros « MEH » pour moi : la série a quelques qualités indéniables, mais elles n’ont à mon sens pas été correctement exploitées.