Comment épuiser le filon à tout prix. Après une baisse sensible de niveau dans la saison4, on a cette fois affaire à une véritable escroquerie : 5 épisodes, un début laborieux, un milieu foutraque sans aucune espèce de crédibilité et une fin...bah non, pas de fin, on nous laisse en plan, stupéfait de voir la saison se finit aussi vite.
Étant fan des films de braquages... la casa me retourne le ventre. Vraiment dommage, que les réalisateur partent dans tout les sens . La base c'est quand même comment sortir l'argent non ? En 5 épisodes ils n'en parlent pratiquement pas. Ils se concentrent sur des flash-back sur flash-back... Cela devient ridicule, je ne parle même pas des scènes illogique et ringarde ! Le spoiler: professeur est devenu sage femme en 3 minutes, arthuro avec une balle dans la cuisse cavale et tire au lance flamme .... l'autre qui arrache un pilone sur les épaules de son pote... c'est ridicule !
Call of Duty version espagnol. Aucun intérêt. Le scenario est déjà très léger. Sacrifier une équipe pour sauver Rio... Bref passons. Mais là, dans les faits, ça n'a ni queue ni tête. Ça tire de partout pendant 5 épisodes et les seuls moments intéressants sont les flashbacks avec Berlin. D'ailleurs, les mecs se sont bien rendu compte qu'ils avaient peut être fait mourir le seul personnage intéressant puisque 4 saisons après sa mort, il est toujours là. Enfin bref, entre la saison une et cinq, le chute est vertigineuse...
Incohérences, non-sens, faux raccords... le braquage du siècle tourne au fiasco. Les flashbacks sont comme un mauvais Roller Coster qui retourne l'estomac dans tous les sens sans procurer la moindre sensation. La réussite de la 1ère saison a donné lieu à une production ne voyant que les dollars pour chaque saison de plus, tout en oubliant que cette série était faite que pour l'unique saison prévue au départ. Finalement l'unique braquage réussi dans cette saison 5 (puis aussi la 4 et la 3 etc) c'est qu'on a encore envie de regarder et d'y croire alors que même un film récent de Luc Besson est plus plaisant à regarder.
Que dire de cette série qui se base son charme uniquement sur le suspens et qui ne garde aucune surprise. Tout est prévisible et il y a une facilité dans le scénario. Elle aurait dû s'arrêter après la saison 2 ou 3. spoiler: La mort de Tokyo, la libération du professeur pour aider à l'accouchement, c'était vraiment une facile façon de faire. La série reste suivable mais sans génie.
Je m'y attendais, en général ce n'est jamais bien bon de prolonger indéfiniment une série, l'essoufflement guette tout le monde, scénaristes, réalisateurs, acteurs et spectateurs. C'est le cas ici : j'ai regardé hier soir le 1er épisode de la saison 5 et je n'y comprends strictement rien ! Ai-je loupé quelque chose ? Et on revoit Berlin, je croyais qu'il était mort. Je trouve le démarrage de cette nouvelle saison bien confus, ce n'est pas gagné que je regarde la suite
Après une fin de la partie 4 intriguante, la 5ème partie reprend là tout s'est arrêté : spoiler: Alice Sierra face au Professeur . Quant à la banque, retournement de situation inattendu, le chaos démarre et les scènes d'actions s'enchaînent à n'en plus finir et justement c'est cela le plus gros défaut de ses 5 premiers épisodes. Les scénaristes ont tout misés sur les explosions, les tirs... et en ont carrément oubliés les dialogues. Les flashbacks de Berlin et son fils étaient hyper intéressants, la vie passée de Tokyo émouvante mais fascinante. Les autres personnages (Lisbonne, Denver, Rio...) étaient beaucoup trop absents, avec des fois des scènes pas vraiment utiles, qui n'apportent rien à eux mais aussi à l'histoire principale. Malgré ça, l'action était bien filmée, les chorégraphies de combats hallucinants, la performance des acteurs et actrices réelle et impressionnante et les effets spéciaux et visuels sont de magnifiques qualités.
Il y'a encore une fois bien des raisons de levé les yeux vers le ciel ! Oui, franchement il y'a des fois ou l'on se demande comment tout ce petit monde s'en sort à force de gratter à toutes les gamelles. Pour autant je me suis encore enfilé les cinq épisodes d'une traite. Et oui, tout un paradoxe.
Il faut dire que je l'aime bien cette série. Avec toute sa couche en cargaison. Elle a tout pour se rendre sympa aussi. Une histoire plaisante, des personnages bourrins mais attachants et une envie folle de tout fracassé qui en ce qui me concerne me sers de défouloir idéal.
spoiler: J'avais déjà reproché lors du dernier acte la mort précipité de Nairobi et une nouvelle fois c'est au tour de son personnage féminin le plus fort de tirer sa révérence. Il y'a du style, toutefois. Encore une fois c'est brutal, virulent et extrêmement touchant. Tokyo est la voix mais aussi le cœur de l'histoire et la voir partir comme cela marque un tournant. Après comme on peu le voir avec Berlin, la mort n'arrête pas tout ... Certains protagonistes ont par contre depuis un moment usé la corde et peine à se réinventé. La encore, le manque d'épaisseur du scénario qui se contentent de grande ligne manque de saveur.
Si j'apprécie La Casa de Papel je crois en revanche qu'une fin devient obligatoire. On se répète et c'est cool, mais jusqu'à quand ?
Suite et fin de la série. Saison 5 : la saga s'achève avec un peu de déception, un peu de mélancolie, un peu de joie. La saison 5 montre la fin du braquage avec des séquences encore folles et parfois dramatiques. Bref : une fin de série avec son lot de questions sans réponse mais qu'il fut intéressant de suivre Casa De Papel. Une série à recommander à tous.
Il aura fallu 5 saisons de suspens, d'originalités, de mécaniques d'horlogerie espagnole (aussi efficace qu'un couteau suisse), de pétarades (particulièrement dans cette saison 5), pour arriver à bout d'une prise d'otage de spectateur qui en a vu de toutes les couleurs. Entre génie et improbabilités énormes, le scénario des 4 premières saisons est à l'image de cette dernière: passionnément et incroyablement invraisemblable. La pilule suppositoire est énorme, mais le suspens et l'éveil du spectateur restent intacts de bout en bout. Il y a dans cette "Casa de Papel" un vrai foutage de g***** sur la vraisemblance des faits qui nous sont racontés, et ce final de la saison 5 est clairement dans l'ADN de la série. Mais l'abondance nourrit la boulimie, la gourmandise est exquise et la dépendance tenace. On n'oubliera pas ses personnages iconiques, les morts héroïques, et tout cet or qui brille avant tout qu'il nous rend riche. Car cette série épate et aveugle comme les lingots, spoiler: et elle vous dira que ce n'est que psychologique.... , nous rendant victime consentante de la roublardise exquise à laquelle nous sommes soumis.
La première saison est apparue comme un ovni au scénario bien ficelé et novateur. Cette saison 5 est très loin d'être du même acabit. C'est devenu un nanar de série z. Il n'existe plus aucun fil conducteur dans l'histoire. Le jeu des acteurs est médiocre. Ça défouraille de toute part à l'arme lourde à la "expendables" . C'est ridicule, irréaliste et à la limite du comique. Fuyez cette saison, vous gagnerez bien du temps !!!
Alors que j'avais aimé la dernière saison mais que je l'avais trouvé un cran en dessous des autres car elle en faisaient trop sur la rébellion féministe, l'homosexualité entre Berlin et Palerme, la transgenre..., cette saison repart clairement à la hausse.
Beaucoup moins de blabla, beaucoup plus explosif. Du coup, certes il y a beaucoup moins de scène où les protagonistes surprennent tout le monde en exécutant un plan préalablement préparé avec le professeur. A vrai dire il n'y a que la scène où Benjamin se fait passer pour un éleveur de chèvre pour récupérer Marseille (c'est d'ailleurs l'un des épisodes les plus réussis). En revanche, cette demi-saison est riche en action et en fusillade avec une bande son qui accompagne toujours parfaitement ces scènes d'action.
J'ai toujours autant apprécié le personnage du colonel Tamayo; celui de Marseille est plus présent alors qu'il ne faisait que de la figuration jusque la et le personnage d'Alicia devient de plus en plus intéressant. Quant aux nouveaux personnages, j'ai beaucoup aimé celui de Sagasta et son acolyte féminine Arteche, joué par la boxeuse Jennifer Miranda.
J'ai aussi beaucoup apprécié le dernier épisode sur le fait de vivre plusieurs vies et évidemment versé ma petite larme à la fin.
Par ailleurs, alors qu'Alex Pina avait déclarer s'être inspiré du personnage de Mathilda dans "Léon" pour créer celui de Tokyo, il rend ici un hommage plus appuyé au film de Luc Besson, notamment lorsque Tokyo observe les flics accrochée au plafond comme une araignée et que Berlin demande à son frère "Elle s'est accrochée au plafond comme une araignée. Qui d'autre fait ça?", nous laissant bien sur penser à Jean Reno lorsque les flics du SWAT investissent son appartement. Mais surtout, l'hommage est évident à la fin où le méchant se penche sur le corps de Tokyo pour la narguer et que cette dernière ouvre sa main pour lui montrer les goupilles de grenade qu'elle a sur elle et explose avec lui, comme Jean Reno avec Gary Oldman.
Enfin, pas mal de questions restent en suspens pour la suite: Le fils de Berlin qui semble convoité Tatiana, les relations entre Denver, Monica et Manille, le personnage d'Alicia s'est elle vraiment ranger du coté du professeur? Vivement la suite.
Netflix a gâché La Casa de Papel, c’est pathétique, y’a pas d’autre mot. Ça aurait pu être une série mémorable jusqu’a ce que Netflix fasse du Netflix en la transformant en vache à lait qu’ils ont exploitée jusqu’à la fin. Ça n’a aucun sens, c’est vide, on perd l'essence même de ce qu'était la série à ses débuts, on passe de braqueurs gentils à des tueurs en série acclamés par la population. Les deux premières saisons étaient rafraichissantes et originales, les 3 dernières sont ridicules.