Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
6 critiques presse
Le Monde
par Pierre Sérisier
Saluée à juste titre par la critique, cette fiction est avant tout politique, un hymne au courage et à la nécessité de penser par soi-même.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Mélissa Chevreuil
Alors, certes, il serait sans doute exagéré de dire que la fiction révolutionne le genre. Mais ce n'est pas son intention et elle ne craint pas de se référer à ses aînés, usant avec habileté de clins d'œil aux grands classiques, de Steven Soderbergh (Ocean's Eleven) à Quentin Tarantino (Reservoir Dogs). (…) Mais si les inspirations sont principalement américaines, La casa de papel conserve son caractère proprement hispanique, ce dont on ne peut que se féliciter. (…) Avec ce casse à la sauce Dalí, on peut donc découvrir ce que l'Espagne fait actuellement de mieux côté sériel.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
La casa de papel est loin d'être la série du siècle. Dans la veine de Murder et de la saison 1 de Prison Break, elle bénéficie d'un rythme à l'efficacité redoutable, de quelques personnages attachants et d'un récit qui tient en haleine malgré ses rebondissements à gogos et ses twists insupportables. A défaut d'être une grande série, c'est déjà ça...
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Alexandre Buyukodabas
Dans une Espagne lessivée par les cures d'austérité, le dépouillement d'un espace symbole du pouvoir financier par des gangsters prolétaires rejoue le mythe de Robin des bois une tonalité post-crise financière. Et tant pis si l'argument est un brin populiste, et si les motivations des personnages ne sont pas forcément honorables, ce renversement fictionnel du pouvoir ne manque pas de panache.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Langlais
Difficile de savoir si La Casa de papel aurait été un tel phénomène sans Netflix. Mais son succès est certainement significatif de l’impact de la plateforme, capable de transformer en carton une œuvre efficace mais pas franchement… révolutionnaire (...) En contemplant le verre à moitié plein, on peut se réjouir de constater qu’une série européenne, venue d’un pays longtemps has been pour les sériephiles, se soit ainsi imposée (...) Cette histoire de braquage à rebondissements semble la recette idéale pour attirer les curieux et créer « le buzz », entre suspense, bons sentiments et esprit contestataire. Un divertissement malin, intrigant mais inégal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Maëlig Bois
La Casa de Papel se prend pour ce qu’elle n’est pas, et développe toute une imagerie classe et clinquante pour alimenter le charisme de personnages trop mal écrits pour offrir une constance dans ce domaine (...) C’est ce que la série passe son temps à faire : surligner sa nervosité, surligner son intelligence, surligner sa classe. Elle n’incarne pas ces traits de caractère, elle les reproduit à la surface. La Casa de Papelest finalement comme la plupart de ses personnages : que de la gueule, rien dans les tripes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
Saluée à juste titre par la critique, cette fiction est avant tout politique, un hymne au courage et à la nécessité de penser par soi-même.
Le Point
Alors, certes, il serait sans doute exagéré de dire que la fiction révolutionne le genre. Mais ce n'est pas son intention et elle ne craint pas de se référer à ses aînés, usant avec habileté de clins d'œil aux grands classiques, de Steven Soderbergh (Ocean's Eleven) à Quentin Tarantino (Reservoir Dogs). (…) Mais si les inspirations sont principalement américaines, La casa de papel conserve son caractère proprement hispanique, ce dont on ne peut que se féliciter. (…) Avec ce casse à la sauce Dalí, on peut donc découvrir ce que l'Espagne fait actuellement de mieux côté sériel.
Ecran Large
La casa de papel est loin d'être la série du siècle. Dans la veine de Murder et de la saison 1 de Prison Break, elle bénéficie d'un rythme à l'efficacité redoutable, de quelques personnages attachants et d'un récit qui tient en haleine malgré ses rebondissements à gogos et ses twists insupportables. A défaut d'être une grande série, c'est déjà ça...
Les Inrockuptibles
Dans une Espagne lessivée par les cures d'austérité, le dépouillement d'un espace symbole du pouvoir financier par des gangsters prolétaires rejoue le mythe de Robin des bois une tonalité post-crise financière. Et tant pis si l'argument est un brin populiste, et si les motivations des personnages ne sont pas forcément honorables, ce renversement fictionnel du pouvoir ne manque pas de panache.
Télérama
Difficile de savoir si La Casa de papel aurait été un tel phénomène sans Netflix. Mais son succès est certainement significatif de l’impact de la plateforme, capable de transformer en carton une œuvre efficace mais pas franchement… révolutionnaire (...) En contemplant le verre à moitié plein, on peut se réjouir de constater qu’une série européenne, venue d’un pays longtemps has been pour les sériephiles, se soit ainsi imposée (...) Cette histoire de braquage à rebondissements semble la recette idéale pour attirer les curieux et créer « le buzz », entre suspense, bons sentiments et esprit contestataire. Un divertissement malin, intrigant mais inégal.
aVoir-aLire.com
La Casa de Papel se prend pour ce qu’elle n’est pas, et développe toute une imagerie classe et clinquante pour alimenter le charisme de personnages trop mal écrits pour offrir une constance dans ce domaine (...) C’est ce que la série passe son temps à faire : surligner sa nervosité, surligner son intelligence, surligner sa classe. Elle n’incarne pas ces traits de caractère, elle les reproduit à la surface. La Casa de Papelest finalement comme la plupart de ses personnages : que de la gueule, rien dans les tripes.