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4,1
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Votre avis sur La Casa de Papel ?
5
446 critiques
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338 critiques
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239 critiques
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211 critiques
1
168 critiques
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voilà une série sympathique à suivre.
Saison 1 : démarrage de ce braquage avec une équipe mené par un maestrio.
Bon, plusieurs épisodes laissent à désirer, pour une équipe de pro, ils sont souvent à la ramasse.
Mais la série se regarde aisément avec un intérêt certain.
Saison 1 : démarrage de ce braquage avec une équipe mené par un maestrio.
Bon, plusieurs épisodes laissent à désirer, pour une équipe de pro, ils sont souvent à la ramasse.
Mais la série se regarde aisément avec un intérêt certain.
Il aura fallu 5 saisons de suspens, d'originalités, de mécaniques d'horlogerie espagnole (aussi efficace qu'un couteau suisse), de pétarades (particulièrement dans cette saison 5), pour arriver à bout d'une prise d'otage de spectateur qui en a vu de toutes les couleurs. Entre génie et improbabilités énormes, le scénario des 4 premières saisons est à l'image de cette dernière: passionnément et incroyablement invraisemblable. La pilule suppositoire est énorme, mais le suspens et l'éveil du spectateur restent intacts de bout en bout. Il y a dans cette "Casa de Papel" un vrai foutage de g***** sur la vraisemblance des faits qui nous sont racontés, et ce final de la saison 5 est clairement dans l'ADN de la série. Mais l'abondance nourrit la boulimie, la gourmandise est exquise et la dépendance tenace. On n'oubliera pas ses personnages iconiques, les morts héroïques, et tout cet or qui brille avant tout qu'il nous rend riche. Car cette série épate et aveugle comme les lingots,
spoiler:
et elle vous dira que ce n'est que psychologique....
, nous rendant victime consentante de la roublardise exquise à laquelle nous sommes soumis.
, nous rendant victime consentante de la roublardise exquise à laquelle nous sommes soumis.
C'est une bonne série et la saison 5 m'a beaucoup improsionné. Vraiment la casa est la meilleur série de tout les temps
Deux saisons (2017 à 2021, soit 48 épisodes). Série terminée.
Le double braquage de la Fabrique nationale de la monnaie puis de la Banque d’Espagne par une bande de malfrats totalement ingénieux. Sans parler d’une belle escroquerie, cette série espagnole a bénéficié d’un énorme engouement auprès du public qui peut sembler usurpé. Si l’histoire possède un brin de folie avec ces différents personnages tous plus attachants les uns que les autres, elle contient plusieurs facilités scénaristiques qui garantissent des rebondissements inattendus mais peu crédibles. On regrettera également le faible développement psychologique des protagonistes ainsi que le goût prononcé pour les fusillades surréalistes. Néanmoins, l’intrigue structurée avec de nombreux flashbacks présente un rythme musclé rendant le récit captivant, voire addictif. Les péripéties de ces Robins des Bois des temps modernes, accompagnées d’une image sans complaisance des autorités policières, relèvent pourtant d’une morale douteuse. Bref, une série qui exploite au mieux les ficelles du film d’action mais dont on peut dire « tout ça pour ça ! ».
Le double braquage de la Fabrique nationale de la monnaie puis de la Banque d’Espagne par une bande de malfrats totalement ingénieux. Sans parler d’une belle escroquerie, cette série espagnole a bénéficié d’un énorme engouement auprès du public qui peut sembler usurpé. Si l’histoire possède un brin de folie avec ces différents personnages tous plus attachants les uns que les autres, elle contient plusieurs facilités scénaristiques qui garantissent des rebondissements inattendus mais peu crédibles. On regrettera également le faible développement psychologique des protagonistes ainsi que le goût prononcé pour les fusillades surréalistes. Néanmoins, l’intrigue structurée avec de nombreux flashbacks présente un rythme musclé rendant le récit captivant, voire addictif. Les péripéties de ces Robins des Bois des temps modernes, accompagnées d’une image sans complaisance des autorités policières, relèvent pourtant d’une morale douteuse. Bref, une série qui exploite au mieux les ficelles du film d’action mais dont on peut dire « tout ça pour ça ! ».
Une bonne saison qui aurait pu être faite en 6 épisodes au lieu de 8 si on nous évitait le blabla inutile de certaines scènes dont on peut s'en passer royalement.
Sinon j'ai aimé l'intrigue et les situations dévouées par le génie de notre cher professeur.
Sinon j'ai aimé l'intrigue et les situations dévouées par le génie de notre cher professeur.
Alors oui, on est à peu près tous d'accord, les deux premières saisons se suffisent à elles-mêmes. D'ailleurs, aux quelques personnes qui me disent ne pas l'avoir encore regardée, je conseille de s'arrêter à la fin de la saison 2. Ces deux saisons-là sont géniales et ont provoqué un engouement général mérité.
Cependant, et puisqu'ils ont décidés de faire des suites, parlons-en. Je suis étonnée dans commentaires super négatifs. Ils ne faut tout de même pas exagérer, ça se laisse bien, très bien même, regarder ! Beaucoup d'action, du suspens, de l'émotion et même si certaines personnages sont caricaturaux, voire improbables, ils apportent aussi un peu de piment nécessaire pour tenir sur la durée.
Pour ceux qui n'ont pas compris de revoir des personnages morts, je conseille de chercher sur google la définition de flash-back, cela pourra les aider. D'autant que c'est un procédé régulièrement utilisé dans les séries pour continuer à faire vivre des personnages appréciés du public... Je suis ironique, mais certains commentaires m'ont vraiment amusée.
Cependant, et puisqu'ils ont décidés de faire des suites, parlons-en. Je suis étonnée dans commentaires super négatifs. Ils ne faut tout de même pas exagérer, ça se laisse bien, très bien même, regarder ! Beaucoup d'action, du suspens, de l'émotion et même si certaines personnages sont caricaturaux, voire improbables, ils apportent aussi un peu de piment nécessaire pour tenir sur la durée.
Pour ceux qui n'ont pas compris de revoir des personnages morts, je conseille de chercher sur google la définition de flash-back, cela pourra les aider. D'autant que c'est un procédé régulièrement utilisé dans les séries pour continuer à faire vivre des personnages appréciés du public... Je suis ironique, mais certains commentaires m'ont vraiment amusée.
Pas très crédible, souvent tiré par les cheveux et même previsible. On voit bien la touche woke Netflix quand cette dernière a acquis les droits de la série.
C'est un bon divertissement mais la grandeure de son succes reste un mystere.
C'est un bon divertissement mais la grandeure de son succes reste un mystere.
Très bonne première saison qui nous donne envie de voir la deuxième ! Cette série a plein de personnages intéressants, complexes, je pense notamment à Berlin ou Nairobi. Il y a de l'action et du suspense, vraiment très bien !
Une bonne série original Netflix qui a eu des hauts et des bas.
L'histoire n'est certes pas la plus original mais il y a ce petit plus : l'équipe ne va branquer n'importe quelle banque, elle va braquer la maison de la monnaie, ce qui rend ce braquage intéressant et complexe.
Les deux premières saisons sont fantastiques, on y retrouve toute sorte de personnalité (du narcissique un peu fou au papa ours qui ferait tout pour son fils). Le personnage du professeur est juste dingue il a réussi à prédire presque chaque action, contre attaque de la police et sa romance avec Raquel est bien. Même les otages sont très bien développés, notamment Arturo Romàn qui est si bien fait qu'on finit à notre tour à le détester. Les trois saisons suivantes ne sont pas aussi bien mais elles ne sont pas des navets pour autant.
Le développement des personnages n'est pas aussi bien mais il y a quelques nouveaux personnages intéressant comme Palerme qui est à la fois insupportable et attachant.
Cependant d'autre personnages sont vraiment inutiles comme Pampelonne qui n'a aucun développement, on ne sait même pas comment il s'est retrouvé là ou bien Manille qui ne sert pas à grand chose. Les anciens braqueurs sont revenus et c'est une bonne chose pour certains comme pour Helsinki qui se accordé beaucoup plus de temps d'écran que dans les deux premières saisons mais pour d'autre on voit qu'ils ne savait plus trop quoi en faire comme pour Stockholm.
La fin est nul.
L'histoire n'est certes pas la plus original mais il y a ce petit plus : l'équipe ne va branquer n'importe quelle banque, elle va braquer la maison de la monnaie, ce qui rend ce braquage intéressant et complexe.
Les deux premières saisons sont fantastiques, on y retrouve toute sorte de personnalité (du narcissique un peu fou au papa ours qui ferait tout pour son fils). Le personnage du professeur est juste dingue il a réussi à prédire presque chaque action, contre attaque de la police et sa romance avec Raquel est bien. Même les otages sont très bien développés, notamment Arturo Romàn qui est si bien fait qu'on finit à notre tour à le détester. Les trois saisons suivantes ne sont pas aussi bien mais elles ne sont pas des navets pour autant.
Le développement des personnages n'est pas aussi bien mais il y a quelques nouveaux personnages intéressant comme Palerme qui est à la fois insupportable et attachant.
Cependant d'autre personnages sont vraiment inutiles comme Pampelonne qui n'a aucun développement, on ne sait même pas comment il s'est retrouvé là ou bien Manille qui ne sert pas à grand chose. Les anciens braqueurs sont revenus et c'est une bonne chose pour certains comme pour Helsinki qui se accordé beaucoup plus de temps d'écran que dans les deux premières saisons mais pour d'autre on voit qu'ils ne savait plus trop quoi en faire comme pour Stockholm.
La fin est nul.
La première saison est apparue comme un ovni au scénario bien ficelé et novateur. Cette saison 5 est très loin d'être du même acabit. C'est devenu un nanar de série z. Il n'existe plus aucun fil conducteur dans l'histoire. Le jeu des acteurs est médiocre. Ça défouraille de toute part à l'arme lourde à la "expendables" . C'est ridicule, irréaliste et à la limite du comique.
Fuyez cette saison, vous gagnerez bien du temps !!!
Fuyez cette saison, vous gagnerez bien du temps !!!
Alors que j'avais aimé la dernière saison mais que je l'avais trouvé un cran en dessous des autres car elle en faisaient trop sur la rébellion féministe, l'homosexualité entre Berlin et Palerme, la transgenre..., cette saison repart clairement à la hausse.
Beaucoup moins de blabla, beaucoup plus explosif. Du coup, certes il y a beaucoup moins de scène où les protagonistes surprennent tout le monde en exécutant un plan préalablement préparé avec le professeur. A vrai dire il n'y a que la scène où Benjamin se fait passer pour un éleveur de chèvre pour récupérer Marseille (c'est d'ailleurs l'un des épisodes les plus réussis). En revanche, cette demi-saison est riche en action et en fusillade avec une bande son qui accompagne toujours parfaitement ces scènes d'action.
J'ai toujours autant apprécié le personnage du colonel Tamayo; celui de Marseille est plus présent alors qu'il ne faisait que de la figuration jusque la et le personnage d'Alicia devient de plus en plus intéressant. Quant aux nouveaux personnages, j'ai beaucoup aimé celui de Sagasta et son acolyte féminine Arteche, joué par la boxeuse Jennifer Miranda.
J'ai aussi beaucoup apprécié le dernier épisode sur le fait de vivre plusieurs vies et évidemment versé ma petite larme à la fin.
Par ailleurs, alors qu'Alex Pina avait déclarer s'être inspiré du personnage de Mathilda dans "Léon" pour créer celui de Tokyo, il rend ici un hommage plus appuyé au film de Luc Besson, notamment lorsque Tokyo observe les flics accrochée au plafond comme une araignée et que Berlin demande à son frère "Elle s'est accrochée au plafond comme une araignée. Qui d'autre fait ça?", nous laissant bien sur penser à Jean Reno lorsque les flics du SWAT investissent son appartement. Mais surtout, l'hommage est évident à la fin où le méchant se penche sur le corps de Tokyo pour la narguer et que cette dernière ouvre sa main pour lui montrer les goupilles de grenade qu'elle a sur elle et explose avec lui, comme Jean Reno avec Gary Oldman.
Enfin, pas mal de questions restent en suspens pour la suite: Le fils de Berlin qui semble convoité Tatiana, les relations entre Denver, Monica et Manille, le personnage d'Alicia s'est elle vraiment ranger du coté du professeur? Vivement la suite.
Beaucoup moins de blabla, beaucoup plus explosif. Du coup, certes il y a beaucoup moins de scène où les protagonistes surprennent tout le monde en exécutant un plan préalablement préparé avec le professeur. A vrai dire il n'y a que la scène où Benjamin se fait passer pour un éleveur de chèvre pour récupérer Marseille (c'est d'ailleurs l'un des épisodes les plus réussis). En revanche, cette demi-saison est riche en action et en fusillade avec une bande son qui accompagne toujours parfaitement ces scènes d'action.
J'ai toujours autant apprécié le personnage du colonel Tamayo; celui de Marseille est plus présent alors qu'il ne faisait que de la figuration jusque la et le personnage d'Alicia devient de plus en plus intéressant. Quant aux nouveaux personnages, j'ai beaucoup aimé celui de Sagasta et son acolyte féminine Arteche, joué par la boxeuse Jennifer Miranda.
J'ai aussi beaucoup apprécié le dernier épisode sur le fait de vivre plusieurs vies et évidemment versé ma petite larme à la fin.
Par ailleurs, alors qu'Alex Pina avait déclarer s'être inspiré du personnage de Mathilda dans "Léon" pour créer celui de Tokyo, il rend ici un hommage plus appuyé au film de Luc Besson, notamment lorsque Tokyo observe les flics accrochée au plafond comme une araignée et que Berlin demande à son frère "Elle s'est accrochée au plafond comme une araignée. Qui d'autre fait ça?", nous laissant bien sur penser à Jean Reno lorsque les flics du SWAT investissent son appartement. Mais surtout, l'hommage est évident à la fin où le méchant se penche sur le corps de Tokyo pour la narguer et que cette dernière ouvre sa main pour lui montrer les goupilles de grenade qu'elle a sur elle et explose avec lui, comme Jean Reno avec Gary Oldman.
Enfin, pas mal de questions restent en suspens pour la suite: Le fils de Berlin qui semble convoité Tatiana, les relations entre Denver, Monica et Manille, le personnage d'Alicia s'est elle vraiment ranger du coté du professeur? Vivement la suite.
Ayant entendu beaucoup parler de cette série, et ne rechignant pas de temps à autre à me vautrer dans les délices d'une série ou d'un film grand public à la popularité élevée, comme on se délecte de temps à autre d'un immonde Big Mac, je me suis enfin décidé à visionner ce succès Netflix, prêt à accueillir le flot de dopamine qui vient en général avec ce genre de plaisir coupable.
Malheureusement le saint neuro-transmetteur me bouda malgré l'ingestion pénible des dix premiers épisodes. Acteurs nullissimes et personnages caricaturaux, scénario se voulant original mais ne l'étant absolument pas. J'attendais à tout moment des révélations fracassantes sur le "plan", ne venant jamais. Ah mais le plan c'est juste bien qu'ils vont imprimer des billets directement dans la banque, oulala comme c'est surprenant et original.... (pas de spoiler alert à celui qui s'aventurerait sur cette critique, je viens de vous sauver de votre temps, votre bien le plus précieux). Ensuite, rien... Impossible de comprendre ce qui a suscité l'engouement pour cette série. Elle ne dégage rien, ne suscite que le néant.
En général, on arrive quand même à saisir l'essence de ce qui fait la grande popularité d'une oeuvre. Même Twilight on a beau ne pas aimer, on peut comprendre le pourquoi du comment des jeunes filles en fleur viennent hurler Edouaaaard à la vue de Robert Pattinson (excellent acteur avec un choix de films épatant par ailleurs). Mais pour La Casa de Papel, la logique de son succès m'échappe. Il n'y a absolument rien à retenir de cette série plate, sans âme et sans intelligence. Parfois une pâquerette pousse au milieu d'une bouse, ici ce n'est pas le cas. Evitez de marcher dedans, au moins vous n'aurez pas à laver vos chaussures en rentrant de promenade.
Malheureusement le saint neuro-transmetteur me bouda malgré l'ingestion pénible des dix premiers épisodes. Acteurs nullissimes et personnages caricaturaux, scénario se voulant original mais ne l'étant absolument pas. J'attendais à tout moment des révélations fracassantes sur le "plan", ne venant jamais. Ah mais le plan c'est juste bien qu'ils vont imprimer des billets directement dans la banque, oulala comme c'est surprenant et original.... (pas de spoiler alert à celui qui s'aventurerait sur cette critique, je viens de vous sauver de votre temps, votre bien le plus précieux). Ensuite, rien... Impossible de comprendre ce qui a suscité l'engouement pour cette série. Elle ne dégage rien, ne suscite que le néant.
En général, on arrive quand même à saisir l'essence de ce qui fait la grande popularité d'une oeuvre. Même Twilight on a beau ne pas aimer, on peut comprendre le pourquoi du comment des jeunes filles en fleur viennent hurler Edouaaaard à la vue de Robert Pattinson (excellent acteur avec un choix de films épatant par ailleurs). Mais pour La Casa de Papel, la logique de son succès m'échappe. Il n'y a absolument rien à retenir de cette série plate, sans âme et sans intelligence. Parfois une pâquerette pousse au milieu d'une bouse, ici ce n'est pas le cas. Evitez de marcher dedans, au moins vous n'aurez pas à laver vos chaussures en rentrant de promenade.
Cette série est un vrai chef d'œuvre. Très bien écrit et le final est "Ouffissime" et se termine en beauté.
Incohérences en masse, des méchants très méchants et des gentils très gentils (mais un peu cons... genre, ils laissent trainer systématiquement une Kalash près des otages)... un type blessé à e devenir quasi paraplégique remonte en rappel en rappel une façade d'immeuble dans les 30 minutes qui suivent. Le mec qui a perdu la femme qu'il aime dans des circonstances dramatiques, fait la fête 5 minutes plus tard parce qu'il a gagné le jackpot. Tout est grotesquement caricatural et un scenar qui ne tient pas la route, une rallonge avec un deuxième braquage qui prouve que si la saison 1 est un raté, y'avait moyen de faire pire.
Surcoté, les acteurs jouent vraiment très mal, le scénario est complètement décousu avec de réelles incohérences.