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Un visiteur
Critique de la série
0,5
Publiée le 2 octobre 2021
Série pathétique ou les criminels sont tous des gens sympas alors que certains sont des assassins et les forces de l'ordre tous des salauds à l'exception d'une policière qui trahit son camp pour rejoindre les criminels ! Bref, cela s'adresse aux ados qui ont encore du mal à distinguer la différence entre le bien et le mal et les anti systèmes ... Moi je prefère montrer à mes enfants des films ou les forces de l'ordre ont le bon rôle
Cette série suscite bien des débats. Deux camps de critiques s'affrontent pour soit dire que cette série est la plus divertissante depuis longtemps soit c'est une vaste escroquerie peu crédible. Et si on oubliait simplement le débat? Simplement se laisser porter par ce scénario qui regorge d'imagination même s'il n'est pas réaliste. On s'identifie aux personnages avec facilité et on se surprend à vouloir devenir cambrioleur rien que pour avoir ces mêmes frissons. Une seule réserve...la pertinence de la saison 5 qui s'étire autour de la confrontation avec les forces de l'ordre...Une guerre qui se perd un peu en longueur et qui nous laisse sur notre faim. Bon allez, quand même...reconnaissons que nous nous sommes bien amusés avec cette série.
Un bide sur antenna 3 qui devient un phénomène mondial grâce à netflix. Merci Netflix d'avoir donné sa chance à cette série qui mérite d'être vue. Les deux premières parties sont tout simplement fantastiques. On se laisse prendre par l'action et les méchants deviennent gentils dans notre cœur. Tant et si bien que ces robins des bois en combinaison rouge sont devenus internationalement des symboles de révolte contre le système. La casa de papel dénonce le système dans lequel nous vivons. Le second braquage est tout aussi bien que le premier mais un peu trop long, à mon goût. Les choses auraient pu être plus concises. Les acteurs interprètent merveilleusement leurs personnage et sont pleins de charisme. Un tremplin pour des acteurs de talents comme Alvaro Morte, le professeur ou encore Ursula Corbero. Je vous invite à regarder les documentaires qui permettent de comprendre comment il a cru créer ce personnage qui malgré des difficultés d'expressions de ses sentiments, sait saisir les nôtres et toute notre empathie.
Les deux premières parties de la série étaient exceptionnellement bien écrites, et j'ai été conquis. Cependant, à partir de la troisième partie, tout part en vrille. Les incohérences et les invraisemblances se multiplient, le scénario semble avoir été écrit sans le moindre soin, sapant complètement le charme initial de la série. Chaque fois que les personnages se trouvent dans une situation difficile, un "Deus Ex Machina" intervient de façon miraculeuse pour les sortir d'affaire, ce qui devient répétitif et prévisible. La cinquième partie est un désastre monumental, au point où il est difficile de suivre tant l'ensemble est consternant. En résumé, la série est brillante, mais seulement jusqu'aux deux premières parties. Le reste mérite un zéro pointé.
Après une fin de la partie 4 intriguante, la 5ème partie reprend là tout s'est arrêté : spoiler: Alice Sierra face au Professeur . Quant à la banque, retournement de situation inattendu, le chaos démarre et les scènes d'actions s'enchaînent à n'en plus finir et justement c'est cela le plus gros défaut de ses 5 premiers épisodes. Les scénaristes ont tout misés sur les explosions, les tirs... et en ont carrément oubliés les dialogues. Les flashbacks de Berlin et son fils étaient hyper intéressants, la vie passée de Tokyo émouvante mais fascinante. Les autres personnages (Lisbonne, Denver, Rio...) étaient beaucoup trop absents, avec des fois des scènes pas vraiment utiles, qui n'apportent rien à eux mais aussi à l'histoire principale. Malgré ça, l'action était bien filmée, les chorégraphies de combats hallucinants, la performance des acteurs et actrices réelle et impressionnante et les effets spéciaux et visuels sont de magnifiques qualités.
Évidemment que la série n'est excellente que dans ses deux premières parties conçues pour fonctionner sans suite, cependant, les trois saisons suivantes ne sont pas inintéressantes pour autant. La saison 3 est rythmée et parvient à captiver, les nouveaux personnages sont intéressants, la saison 4 souffre, à l'inverse, d'énormes longueurs, d'un certain vide scénaristique et de musiques qui ne sont que des plagiats d'Interstellar et Chappie. La dernière saison laissait craindre le pire, j'ai été surpris. La musique est cette fois vraiment originale et excellente de bout en bout, on retrouve un rythme emballant et l'envie de voir où le récit va nous emmener. Toutefois, beaucoup de personnages sont placés en retrait ou deviennent inutiles vu qu'il n'y a plus rien à dire ou développer sur eux, il y a, en outre, un contenu woke assommant avec des répliques qui viennent gâcher brusquement une scène ou un dialogue, vraiment dommage et pénible. Heureusement, le final grandiose et ingénieux vient gommer tous les défauts de cette partie 5 et même des précédentes. Les nombreux flashbacks avec Berlin trouvent ici (enfin !) leur force et leur sens et la conclusion du casse, que l'on pouvait croire terriblement basique, irréaliste au possible et purement idéologique, est ici pertinente et inattendue. On quitte ces personnages avec émotion, même si l'aventure est considérablement inégale et va piocher dans les grands classiques du cinéma pour raconter quelque chose quand il n'y a plus rien à raconter, c'était un long, très long, trop long braquage, mais la forte caractérisation des personnages, le rythme et la musique font que l'on en vient à pardonner les défauts au final et dire "Gracias à todos" pour l'expérience. Le château de cartes a bien failli s'écrouler, mais il aura tenu bon jusqu'au bout !
Série surcoté, 1 ère saison intéressante, la série aurait du s’arrêter là. Suite à une hype auprès des adolescents, les acteurs ont trop forcé sur leur personnage. Tokyo surjoue beaucoup, la série tourne en rond, beaucoup de chose/ prévisible, tout ce passe toujours bien à la fin. La saison 5 commence et aucun progrès, les personnages n’évoluent pas, trop de scènes inutile. Sur chaque scène Tokyo nous parlent de ces envies de sexe. Lorsque tu regarde GOMORRA (ou prison break)tu ne peux plus donner de la crédibilité à ce genre de série. Pour ce qui ne connaissent pas je vous la conseille c’est un chef d’œuvre rempli de rebondissements, chèques personnages evolue constamment, contrairement à cette série médiocre. Bon courage pour finir la saison 5
Il y'a encore une fois bien des raisons de levé les yeux vers le ciel ! Oui, franchement il y'a des fois ou l'on se demande comment tout ce petit monde s'en sort à force de gratter à toutes les gamelles. Pour autant je me suis encore enfilé les cinq épisodes d'une traite. Et oui, tout un paradoxe.
Il faut dire que je l'aime bien cette série. Avec toute sa couche en cargaison. Elle a tout pour se rendre sympa aussi. Une histoire plaisante, des personnages bourrins mais attachants et une envie folle de tout fracassé qui en ce qui me concerne me sers de défouloir idéal.
spoiler: J'avais déjà reproché lors du dernier acte la mort précipité de Nairobi et une nouvelle fois c'est au tour de son personnage féminin le plus fort de tirer sa révérence. Il y'a du style, toutefois. Encore une fois c'est brutal, virulent et extrêmement touchant. Tokyo est la voix mais aussi le cœur de l'histoire et la voir partir comme cela marque un tournant. Après comme on peu le voir avec Berlin, la mort n'arrête pas tout ... Certains protagonistes ont par contre depuis un moment usé la corde et peine à se réinventé. La encore, le manque d'épaisseur du scénario qui se contentent de grande ligne manque de saveur.
Si j'apprécie La Casa de Papel je crois en revanche qu'une fin devient obligatoire. On se répète et c'est cool, mais jusqu'à quand ?
Saison 1 : Pas loin d’être la claque qu’on m’avait annoncée. Les épisodes s’enchaînent, c’est assez addictif, jusqu’à un certain point où finalement, j’ai commencé à me lasser. Le professeur est beaucoup trop fort, ce qui m’a fait perdre un peu le fil. Certains personnages sont vraiment cool (Tokyo notamment). D’ailleurs, ce principe des surnoms est excellent. A suivre !
Suite et fin de la série. Saison 5 : la saga s'achève avec un peu de déception, un peu de mélancolie, un peu de joie. La saison 5 montre la fin du braquage avec des séquences encore folles et parfois dramatiques. Bref : une fin de série avec son lot de questions sans réponse mais qu'il fut intéressant de suivre Casa De Papel. Une série à recommander à tous.
Fin du premier chapitre avec cette saison 2. Saison 1 : le braquage se poursuite avec de nombreuses péripéties pour les braqueurs. Le professeur est toujours aussi balèze pour déjouer les pièges et les imprévus même si tout ne pourra se passer comme prévu. La saison 2 s'achève parfaitement et la série aurait pu s'en arrêter là ! Bref : belle réussite l'ensemble des saisons 1 et 2.
Suite de la série. Saison 3 : alors qu'on pouvait imaginer une nouvelle équipe de braqueurs pour ce nouveau chapitre, nous retrouvons les mêmes qui vont cette fois braquer la réserve d'or d'Espagne... pour libérer l'un des leurs captifs du gouvernement... Bon... idée bizarre... néanmoins, les nouveaux personnages sont au top. Mention spéciale à l'actrice incarnant Nairobi... magnifique ! Bref : une série toujours passionnante.