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Tombé en soirée sur Arte cette mini-série Berlin 56, a su captiver mon attention. Le cadre historique (aprés-guerre) en Allemagne. On y assiste aux péripéties d'une riche famille allemande. La condition féministe de l'époque est abordé mais aussi des thémes comme l'homosexualité, la place des femmes dans la socièté...
J'ai adoré les décors (pleins de coccinelles ww), série qui swingue... Bref un bon moment !
J'ai adoré les décors (pleins de coccinelles ww), série qui swingue... Bref un bon moment !
Excellente série sur le Berlin et l'époque des années 55/60. Tout est de haute facture : la photo, les reconstitutions, le montage, les acteurs, les musiques. On est sous l'émotion partagée des héroines de cette famille face aux conventions, aux contraintes et au passé de l'Allemagne...Une réussite totale que les réalisateurs français devraient bien essayer d'imiter mais j'en doute.....
ffred
On est rarement déçu par les séries d’Arte. Sur des conseils bien avisés je me suis lancé dans celle-ci. Une saga familiale, les drames et les joies d’une mère et ses trois filles, dans le Berlin d’après-guerre. Sous des allures légères, parfois frivoles, se cache un fond beaucoup plus sérieux, du traumatisme de la guerre au nazisme et à l’antisémitisme en passant par la guerre froide et la condition des femmes et des homosexuels à l’époque. En trois saisons, sur trois périodes différentes, 1956, 59 et 63, on rit et on pleure avec la famille Schöllack. La reconstitution historique est belle, l’interprétation impeccable. Le tout est finement écrit, avec un certain tact et une belle sensibilité. Tous les personnages sont attachants, on les aime pour leurs qualités mais aussi et surtout pour leurs défauts. Le plus intéressant est sans nul doute celui de Monica, la rebelle, merveilleusement interprété par la belle Sonja Gerhardt. Plus politique et féministe qu’il n’y parait, Berlin est une série tout aussi pétillante et rafraichissante que sombre et profonde. Une saison 4, couvrant les années 68/69, serait en projet. Et c’est tant mieux car tout ce petit monde me manque déjà…Une très belle surprise.
Sublime mini série d'Arte, qui relève définitivement le niveau des diffusions de fiction à la télévision française. Tout y est traité : le conflit générationnel entre des parents qui n'assument pas leurs erreurs et des enfants qui tentent de s'échapper du carcan de la culpabilité, de la place de la femme, mais aussi de celle des hommes, qui sont tout aussi perdus, si ce n'est plus... Rien de manichéen dans ce petit bijou, où l'humanité est décrite dans toute son ampleur avec beaucoup de finesse. J'ai été plus que ravie d'apprendre qu'une suite avait été commandée. A voir absolument!
Il s’agit d'une super minisérie allemande que j'ai découverte par hasard lors d'un voyage long-courrier, il y a deux ans. Elle est composée de 6 épisodes de 45 min que j'avais vus d'une traite (il y a du temps à passer dans un vol de 7h!). C’est une sorte de saga familiale (féminine) dans les années 50 et surtout dans l'Allemagne post 2ème guerre mondiale. Elle décrit l'émancipation de trois soeurs aux caractères et désirs différents, et de leur mère professeur de danse, rigide et obsédée par une seule idée, les marier ! Les rôles des hommes qui les entourent sont tout sauf secondaires et l'on assiste à une vraie grande histoire avec des personnages aussi complexes que touchants. La deuxième saison KUDAMM 59 (BERLIN 59) passe actuellement sur ARTE le jeudi. Même si j'ai trouvé cette 2ème saison un peu nunuche par rapport à la première, j'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Monika, Helga, Eva & Joachim (cette fois-ci bien au chaud sur mon canapé 😊). On aimerait bien assister à des productions françaises de la même envergure sur nos chaînes ! En attendant, RDV ce soir sur ARTE !
Regardée d'une traite, j'ai adoré cette série : la difficulté d'être jeune en 56, un peu plus de 10 ans après la 2nde guerre, pour une Allemagne encore coupée en 2, où l'on suit une famille qui a une école de danse et de bonne conduite, avec Monika en jeune soeur perdue. Une période difficile pour une jeunesse qui doit se construire sur les ruines du nazisme, avec des parents potentiellement nazis, l'arrivée de cette musique "de nègres [sic]"
Vraiment captivé
Vraiment captivé
J'y suis allée sur le bout des pieds me disant que ca aller être larmoyant, mal jouer et avec un scénario très lourd. Eh bien je suis ravie de m'être plantée en beauté avec mes à priori, une très belle surprise une fois que l'on se laisse emporter par l'histoire. Les personnages sont attachants, chacun à leurs manière, l'histoire originale et le fond historique est traité de manière naturelle. Le nombre d'épisode et leurs "découpages" très bien gérer. J'ai beaucoup aimé !
Difficile d'adhérer aux personnages qui sont vraiment présentés de manière outrancière, en particulier , la mère très désagréable avec sa benjamine Monica, dont la seule préoccupation semble être de caser ses trois filles. La seconde partie quoique plus réaliste ne suffit pas à rendre l'histoire palpitante. L'atmosphère reste assez pesante avec les relents de nazisme.
Berlin 56 est une bonne mini série qui dresse le portrait de trois sœurs dans le Berlin Ouest d'après guerre en plein boom du Rock et de la rébellion.
Un portrait en quelque épisodes intéressants à découvrir pour son contexte historique Allemand, ces différents thèmes abordés : la féminité, l’homosexualité... d'une part et par ses personnages attachants éprouvant de l’émotion, de la mélancolie dans leurs rôles ajoutant aussi des décors et costumes d'époques très soignés.
Une série qui s'ouvre et se mêle à divers genres du drame en passant par la romance et mais son aussi un côté comédie musicale, on assiste ici nous spectateurs à une génération glamour, prestigieuse et aussi nostalgique.
Seul petit bémol à cette série élégante, c'est qu'elle comporte seulement 6 épisodes on l'on à tendance à affirmer ici que la série ne s’intéresse pas d'avantages à chaque personnages et au sujet.
Reste à voir si Berlin 59 la suite de cette série et qui sera diffusé prochainement en France sur Arte apportera des détails complémentaires à cette série captivante
Un portrait en quelque épisodes intéressants à découvrir pour son contexte historique Allemand, ces différents thèmes abordés : la féminité, l’homosexualité... d'une part et par ses personnages attachants éprouvant de l’émotion, de la mélancolie dans leurs rôles ajoutant aussi des décors et costumes d'époques très soignés.
Une série qui s'ouvre et se mêle à divers genres du drame en passant par la romance et mais son aussi un côté comédie musicale, on assiste ici nous spectateurs à une génération glamour, prestigieuse et aussi nostalgique.
Seul petit bémol à cette série élégante, c'est qu'elle comporte seulement 6 épisodes on l'on à tendance à affirmer ici que la série ne s’intéresse pas d'avantages à chaque personnages et au sujet.
Reste à voir si Berlin 59 la suite de cette série et qui sera diffusé prochainement en France sur Arte apportera des détails complémentaires à cette série captivante
Une série très intéressante du point de vue sociétal. Les rôles féminins sont tous extrêmement bien campés par les actrices. Mention spéciale à la mère Schöllack. Les hommes aussi ont tous des profils intéressants.
L'atmosphère de l'époque est bien rendue à travers des destins particuliers, entre autre celui d'un homosexuel, d'une femme au foyer, d'une femme ternie par l'ambition, ou encore d'une jeune femme en quête d'émancipation. On s'attache aux personnages et on a envie de danser le rock and roll !
J'ai adoré l'histoire, la musique, et les décors qui nous font vraiment replonger dans les années 50.
Berlin 56, c’est l’histoire d’une famille prise dans les tourments de l’histoire des années d’après-guerre, là où un élan libertaire et émancipateur porté par la nouvelle génération se heurte, non sans violence, aux valeurs traditionnelles et patriarcales qui n’ont eu de cesse de se renforcer sous le troisième Reich dont l’ombre opaque ne cesse d’hanter les esprits en silence.
On avale sans difficulté les épisodes de cette série haut en couleur qui a pour principal atout une restitution historique soignée avec un décor et des costumes d’époque, une ambiance sonore qui comblera admirateurs et nostalgiques de Chuck Berry et de ses compères et enfin une formidable énergie communiquée à travers le rock’n roll et les multiples sauts périlleux qui l’accompagnent. Pour ce qui est des personnages et de leur évolution elle reste cohérente et relève de nombreuses thématiques aussi universelles que complexe : le conflit générationnel, l’homosexualité, la relation père-fils, les distorsions familiales… La tension émotionnelle est merveilleusement bien restituée par la performance des acteurs qui rendent leurs personnages respectifs aussi vivants qu’attachants.
Je serais tenté de critiquer le nombre restreint d’épisodes qui, inévitablement, fait que certains sujets sont survolés alors qu’ils mériteraient me semble-t-il qu’on leur accorde un peu plus de place. Néanmoins, la concision et la relative brièveté des épisodes n’enlèvent rien à cette mini-série fascinante.
On avale sans difficulté les épisodes de cette série haut en couleur qui a pour principal atout une restitution historique soignée avec un décor et des costumes d’époque, une ambiance sonore qui comblera admirateurs et nostalgiques de Chuck Berry et de ses compères et enfin une formidable énergie communiquée à travers le rock’n roll et les multiples sauts périlleux qui l’accompagnent. Pour ce qui est des personnages et de leur évolution elle reste cohérente et relève de nombreuses thématiques aussi universelles que complexe : le conflit générationnel, l’homosexualité, la relation père-fils, les distorsions familiales… La tension émotionnelle est merveilleusement bien restituée par la performance des acteurs qui rendent leurs personnages respectifs aussi vivants qu’attachants.
Je serais tenté de critiquer le nombre restreint d’épisodes qui, inévitablement, fait que certains sujets sont survolés alors qu’ils mériteraient me semble-t-il qu’on leur accorde un peu plus de place. Néanmoins, la concision et la relative brièveté des épisodes n’enlèvent rien à cette mini-série fascinante.
j adoore cette série...pauvres femmes...que de chemin parcouru quand même ! Et respect à elles pour leur audace et leur soif de liberté. J ai passé un super moment devant série !
EXELENT top une perle niveau cascade papelard jouissif c est la bonne surprise de l annee un kif total