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3,9
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Votre avis sur Thirteen : 13 ans en captivité ?
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Un vrai petit chef-d'oeuvre anglais de la télévision ! Thirteen est une série captivante, mystérieuse et non conventionnelle à tout point de vue. A travers sa photographie froide et opaque, et sa mise en scène lente et lancinante, la série nous fait ressentir toutes les blessures du personnage ainsi que sa difficulté à renaître et à tout réapprendre après de longues années de séquestration. L'actrice principale est juste exceptionnelle, elle se donne corps et âme pour son personnage. Seul bémol : le final, pas abouti.
elriad
une fois de plus, les anglais démontrent toute leur maîtrise en matière de série avec ce "thirteen" d'une émotion intense sans jamais tomber dans le voyeurisme, le mauvais goût et les facilités scénaristiques. Comme toujours les personnages sont juste et fouillés avec une dimension psychologique des protagonistes qu'ils savent si bien exploiter. Une réussite absolue !
Une très bonne surprise pour cette série (avec unique saison) de seulement 5 épisodes... j'ai acccroché dès le départ et vu l'intégrale en deux jours !
je vous conseille, c'est plein de rebondissements et vraiment très prenant ! (Les Anglais savent vraiment y faire en matière de séries télé originales)
Les acteurs au TOP !
je vous conseille, c'est plein de rebondissements et vraiment très prenant ! (Les Anglais savent vraiment y faire en matière de séries télé originales)
Les acteurs au TOP !
Excellente série anglaise de la même veine que Broadchurch, en mieux peut-être ! Priorité à la psychologie des personnages, victimes et proches, même si l'action ne fait pas défaut. Contrairement à d'autres critiques, l'épisode final n'est pas du tout bâclé, l'essentiel étant dit, le spectateur ne doit pas être considéré comme un débile : il est capable de comprendre ! Excellent jeu d'actrice de l'héroïne qui rend très bien le côté "fêlé" que sa captivité n'a pas manqué de provoquer chez elle. Tout semble crédible, ce qui est plutôt rare dans les séries télé en général, peu d'invraisemblances et on n'est pas tombé dans un copié-collé de l'affaire Kampusch même si des similitudes ne peuvent être évitées ! A voir !
Une très belle mini-série. Vu les deux premiers épisodes lors de Séries Mania saison 7, mon coup de coeur a été conforté avec la suite. Jodie Comer est incroyable dans le rôle d'Ivy Moxam ! On se sent dès les premières minutes concerné par cette jeune fille qui a perdu 13 ans de sa vue séquestrée ! Comment rattraper ce temps-là et avancer sereinement dans une vie nouvelle où les repères du passé ne sont plus les mêmes ? Plus qu'une enquête policière, Thirteen s'intéresse à la psychologie de ses personnages et c'est là, la force de cette mini-série bouleversante.
Merveilleuse série, interprétée avec une justesse enivrante, l'actrice principale nous transperce par un jeu qui nous ébranle.
à voir absolument, c'est pour tout les goûts, la seule crainte que j'ai c'est que cette série tombe dans l'oublie, ce serait vraiment triste.
à voir absolument, c'est pour tout les goûts, la seule crainte que j'ai c'est que cette série tombe dans l'oublie, ce serait vraiment triste.
Nouvelle série sur le thème de la disparition, l’originalité de Thirteen sera de placer les téléspectateurs du côté de la victime, tout en lui conservant ses secrets avec notamment le lien qu’elle aurait pu créer avec son ravisseur durant sa captivité.
Encore une fois, les Anglais nous bluffent par leur professionnalisme à créer des fictions qui nous entrainent loin. J'avais trouvé la première saison de Broadchurch mémorable. Ici, dans un registre différent, avec une histoire librement inspirée de l'affaire Natasha Kampush qui avait défrayé la chronique en Autriche, on est happé jusqu'au dénouement final totalement décoiffant. Un must. Bravo ! On en redemande.
Une excellente série policière. Une bonne fiction britannique. Brillant, intelligent, efficace et stupéfiant.
tixou0
Cette mini-série (5 épisodes) britannique réussit à mettre en perspective une affaire à la Natascha Kampusch, autour du fameux "syndrome de Stockholm", voire à la "supplémenter", ou pas.... (cf. les nombreuses "zones d'ombre" de ce sinistre fait divers autrichien) - la principale variable étant la cavale du ravisseur (quand Wolfgang Přiklopil s'est, lui, suicidé très peu de temps après l'évasion de NK). La fiction bénéficie d'une dramaturgie maîtrisée, et de bons interprètes, "Ivy" en tête. Seul l'épilogue est un peu bâclé - d'où une notation en "Bien", seulement, pour moi.
Sweet Ivy
Encore une série qui se termine et c’est une petite mort. On saute dans le vide de la vie, sans tragédie, sans suspense, ni frisson mais la belle vie , alors… C’est le « syndrome de Stockholm » la série nous kidnappe pour nous rendre dépendant.
« Thirteen » fait bien le boulot, Yvi nous trouble pour mieux nous trimballer pendant 5 épisodes.
Après 13 ans de captivité, Ivy Moxam échappe à son ravisseur, ce dernier la laisse sans surveillance et la police ne retrouve que la jeune fille perdue.
Désorientée elle retrouve sa famille mais tout a changé, une vie en suspend pendant plus de dix au fond d’une cave. Alors, même si sa mère s’efforce de la protéger, le mouvement de la vie la rattrape. Une enquête se met en place dirigée par l’inspecteur Elliott Carne et sa co-équipière Lisa Merchant.
Ils vont, tout au long de la série, compatir, s’interroger et s’étonner du mystère »Ivy ».
Par vengeance son ravisseur enlève une petite fille de 10 ans Phiby et la vie de cette dernière dépend de la collaboration d’Ivy. La jeune fille est fragilisée et perturbée. On finit par douter de sa fiabilité, tente-t-elle de protéger son bourreau ?
Jodie Comer prend le rôle avec un soupçon de fêlure qui lui donne tout de la victime dévastée, elle dévore l’écran. On veut savoir mais elle a toujours une longueur d’avance pour mieux nous perdre.
Richard Rankin, l’inspecteur Elliott Carne, est touché en plein coeur par la détresse de la jeune femme. Valene Kane, Lisa Merchant est plus pragmatique et plus distante. Ces deux équipiers s’aiment pourtant, sans encore le savoir vraiment.
Les Britishs ont le sens du réalisme et donne à l’histoire une image particulière, le rythme de la série se fait plus lent, plus inquiétant, plus humain aussi.
Marnie Dickens nous présente une mini-série qui se veut authentique et troublante. La fin est percutante mais sans le côté fleur bleue du « Happy-end ». Le tout est seulement teinté d’espoir et de liberté.
Encore une série qui se termine et c’est une petite mort. On saute dans le vide de la vie, sans tragédie, sans suspense, ni frisson mais la belle vie , alors… C’est le « syndrome de Stockholm » la série nous kidnappe pour nous rendre dépendant.
« Thirteen » fait bien le boulot, Yvi nous trouble pour mieux nous trimballer pendant 5 épisodes.
Après 13 ans de captivité, Ivy Moxam échappe à son ravisseur, ce dernier la laisse sans surveillance et la police ne retrouve que la jeune fille perdue.
Désorientée elle retrouve sa famille mais tout a changé, une vie en suspend pendant plus de dix au fond d’une cave. Alors, même si sa mère s’efforce de la protéger, le mouvement de la vie la rattrape. Une enquête se met en place dirigée par l’inspecteur Elliott Carne et sa co-équipière Lisa Merchant.
Ils vont, tout au long de la série, compatir, s’interroger et s’étonner du mystère »Ivy ».
Par vengeance son ravisseur enlève une petite fille de 10 ans Phiby et la vie de cette dernière dépend de la collaboration d’Ivy. La jeune fille est fragilisée et perturbée. On finit par douter de sa fiabilité, tente-t-elle de protéger son bourreau ?
Jodie Comer prend le rôle avec un soupçon de fêlure qui lui donne tout de la victime dévastée, elle dévore l’écran. On veut savoir mais elle a toujours une longueur d’avance pour mieux nous perdre.
Richard Rankin, l’inspecteur Elliott Carne, est touché en plein coeur par la détresse de la jeune femme. Valene Kane, Lisa Merchant est plus pragmatique et plus distante. Ces deux équipiers s’aiment pourtant, sans encore le savoir vraiment.
Les Britishs ont le sens du réalisme et donne à l’histoire une image particulière, le rythme de la série se fait plus lent, plus inquiétant, plus humain aussi.
Marnie Dickens nous présente une mini-série qui se veut authentique et troublante. La fin est percutante mais sans le côté fleur bleue du « Happy-end ». Le tout est seulement teinté d’espoir et de liberté.
Série intéressante mais une fin trop baclée, et je suis très déçue. Les acteurs sont plutôt bons et auraient mérité un épisode supplémentaire. Ma note aurait été de 4/5....
Cette série est un véritable bijou et l'actrice principale est complètement bluffante de naturel. Le scénario est relativement simple mais tout est si bien interprété, monté, cadré et mis en scène que le résultat et d'une perfection absolue. Contrairement à d'autres j'ai apprécié particulièrement la fin.
spoiler:
Je ne vois d'ailleurs pas comment cela aurait pu finir autrement : Une fois qu'elle est sortie de sa prison et que son bourreau est mort, l'histoire est complètement terminée. N'importe quelle suite à ce fait là serait complètement inutile.
Un grand coup de chapeau aux auteurs et acteurs.
Un grand coup de chapeau aux auteurs et acteurs.
Quel manque de talent, tant au niveau scénario que de la prestation de Jodie Comer. Trop de clichés, c'est fatigant à voir.Série féministe.5 épisodes de daube.
Une ambiance se crée dès le début, une actrice qui arrive à rendre de la fragilité et de lémotion...tout est en place et ça fonctionne plutôt bien.
Mais la saison est très ( trop ? ) courte, et je trouve la fin bâclée et relativement inintéressante .
Mais la saison est très ( trop ? ) courte, et je trouve la fin bâclée et relativement inintéressante .