Mon compte
    Conviction (2016)
    Critiques spectateurs
    Critiques presse
    Note moyenne
    3,6
    131 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Conviction (2016) ?

    10 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    1 critique
    3
    3 critiques
    2
    3 critiques
    1
    3 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Daratura
    Daratura

    61 abonnés 109 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 27 décembre 2016
    Série policière où l'on voit une équipe d'enquêteurs qui doivent déterrer d'anciennes affaires et prouver que le coupable est en fait innocent, en 5 jours. Et oui, ils vont faire en 5 jours ce que la justice a été incapable de faire pendant toute une procédure pénale, mais qu'ils sont trop fort! Et la façon dont ils résolvent les enquêtes, c'est complétement bancale et du grand n'importe quoi. On a donc droit ici à une série du format un épisode - une enquête, une série policière pure et dure qui est d'un ennui... Paradoxalement, le rythme est très très soutenu, ça n'arrête pas de parler, ça part dans tous les sens, on a droit à des discutions à rallonges et des scènes qui s'enchaînent trop rapidement. Un qui fini de parler, et hop, un autre qui entre dans la pièce et enchaîne... De plus, on essaye ici de faire prendre une dimension comique aux personnages, on a donc droit à des scènes et des répliques aux limites du n'importe quoi, c'est assez ridicule. De même pour l'émotion qu'on essaye de faire sortir des fois et Hayley Atwell qui joue ici la leader de l'équipe à qui on veut faire jouer la femme autoritaire et rebelle en la mettant dans des situations tout aussi ridicules, mais ça prend pas non plus... En fait rien ne prend, personnages pas charismatique, humour raté, enquêtes nullissimes et originalité zéro.
    frdric m.
    frdric m.

    20 abonnés 159 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    1,0
    Publiée le 29 mars 2022
    J'ai tenté car j'avais aimé le Marvel dans lequel elle jouait. Mais il ne suffit pas de faire de la fille d'un ex président une star du bureau en cold case pour intéresser le public. C'est mal conçu et c'est toujours les trois dernières minutes qu'il y a un retournement permettant de trouver le véritable coupable. A éviter
    MonPersonnagePrefereEstMortEncore
    MonPersonnagePrefereEstMortEncore

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 4 octobre 2016
    J'ai écouté la première hier. J'ai bien aimé l'actrice Hayley Atwell dans l'Agent Carter. Dans ce rôle-ci, elle joue encore les femmes fortes avec le même sens de l'observation que Sherlock Holmes. Le script de la série est fait d'une manière intelligente. J'ai un peu de difficulté à imaginer Hayley Atwell en droguée, et je ne croit pas trop à son jeu de fille un peu déchue. Cependant, quand elle joue les femmes forte, j'y crois bien davantage. spoiler: L'une des phrase qu'elle a dite qui m'a vraiment accroché: "Plutôt que de ne rien faire, je préfère être le loup qui surveille les renards du poulailler"
    Le côté où psychologiquement elle prend le bâton plutôt que de se sauver des coups m'attire beaucoup pour cette série. Pour tout le reste, l'intrigue de résolution des meurtres, c'est du déjà vu, il y a tellement d'émissions qui le font déjà. Tout de même un 4 étoiles pour l'histoire de fond des personnages principaux qui reviennent. Je m'attends à écouter la série entière.
    Adrien
    Adrien

    84 abonnés 399 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,5
    Publiée le 13 septembre 2017
    Une bonne série policière !!! Les intrigues sont bien menées, les acteurs sont bons surtout avec la prestation de Hayley Atwell dans le rôle principal, les décors sont bien faits et la musique est bien. Bien que n'étant pas un chef d'oeuvre, cette série est quand même regardable et les épisodes sont assez captivant. Dommage que la série a été annulé et qu'il n'y aura pas de saison 2.
    Gouchou
    Gouchou

    24 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 6 avril 2017
    Après l'annulation de Marvel Agent Carter, Hayley Atwell a retrouvé du travail et est devenue la nouvelle tête d'affiche de la nouvelle série Conviction diffusée sur ABC. Cette nouveauté était annoncée comme une petite pépite mais finalement le soufflé est retombé aussi vite qu'il est monté et la série a été annulée. Mais alors que reste-t-il de Conviction ?

    Au terme de 13 épisodes ABC a décidé de mettre fin à son nouveau TV show. Une décision un peu brutal car Conviction avait du potentiel pour aller plus loin à condition de faire quelques changements drastiques. A la croisée des chemins entre Scandal et The Good Wife, la série portée par Hayley Atwell n'était pas dépourvue d'un certain charme. Il s'agissait de raconter les déboires d'une unité spécialisée dans la réouverture de dossiers de prisonniers qui auraient été accusés à tort. A la tête de cette unité, un personnage sulfureux, Hayes Morrison la fille d'un ancien président des Etats Unis, piégée en possession de cocaïne. Pour se sortir de ce mauvais pas Hayes Morrison décide de conclure un contrat avec le procureur de New York en occupant la direction de cette nouvelle unité. Entourée par une équipe de professionnelle aux parcours tortueux Hayes devient celle qui répare les erreurs du système judiciaire américain.

    Il est vrai que Conviction possédait un certain nombre de défauts à commencer par l'histoire d'amour entre l’héroïne et le procureur qui était véritablement plate et sans subtilité. Quant aux autres personnages, trop de pathos et de mélodrame les ont réduit au statut de cliché. Pourtant, derrière tous ces problèmes, Conviction avait également des qualités. A commencer par la remise en cause du système judiciaire américain, ainsi que la reprise de thèmes de société. Dans un épisode, il est question de brutalité policière envers la population afro américaine. Un autre traitait du terrorisme et de la relation entre le système judiciaire américain et la population de religion musulmane. Des sujets actuels qui avaient le mérite d'être traités dans cette nouvelle série.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    113 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    3,0
    Publiée le 14 septembre 2017
    La série, bien que relativement efficace, tient surtout (et peut-être uniquement) grâce à Hayley Atwell en laquelle les producteurs ont trouvé une égérie sculpturale et impertinente. On retrouve également Eddie Cahill en-dehors des experts, dans un rôle politique qui lui va bien. Enfin fini le flic irlandais irascible qui ne réfléchit pas et fonce dans le tas. La série a également comme intérêt d'amner le projecteur sur les erreurs judiciaires nombreuses et les condamnations à mort d'innocents, à une époque où la population US désapprouve de plus en plus la peine capitale et où les gouverneurs la mettent de moins en moins en pratique. Un coup de pouce supplémentaire ou simplement surfer sur la vague ?
    FouineTV
    FouineTV

    3 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 11 octobre 2017
    J'ai l'impression d'être sévère parce que cette série est un bon divertissement. On pourrait se dire qu'il y a une part d'originalité dans le ré-examen d'enquête judiciaire, pour vérifier ou non, la culpabilité d'un emprisonné; mais voilà, on se retrouve avec un schéma classique un épisode = une enquête.
    Encore une série avec un rythme à l'américaine, tout est résolu vite : ils ont 5 jours ( seulement ) pour résoudre ce qui a pris des mois et même plus, d'enquête. Et en plus il n'y a pas que moi qui le dis, Hayes Morrison en personne dans plusieurs épisodes.
    Les enquêtes ne sont pas incohérentes, mais manque de surprise car pour chaque épisode on sait ce qu'il en sera de la culpabilité des accusés spoiler: ( ils sont toujours innocents, hormis l'affaire du trio de Prospect Park, où un des 3 jeunes est véritablement coupable de viol et dans l'épisode de "La famille parfaite" si je ne me trompe pas, où le prisonnier était complice de meurtre )
    . Dès lors, les enquêtes perdent un peu de leur intérêt et on ne se met plus à douter de la parole des condamnés spoiler: ( même si il reste à savoir qui est le véritable coupable, mais autant faire la série au moment des meurtres )
    .
    Par ailleurs, ils arrivent à faire assez souvent leur reconstitution sur le lieu du meurtre en l'absence des propriétaires ( alors que pour la famille des victimes les véritables coupables sont en prison ), ça m'a curieusement interpellé. Mais le travail de l'image sur les reconstitutions, mélangeant celle de nos enquêteurs, avec les personnes pouvant être impliquées à l'époque, est sympa et nécessite cet accès facilité aux scènes de crime.
    _
    _
    Concernant l'ambiance, il y a finalement un peu de suspens, un peu d'humour ( présent dans les premiers épisodes et derniers épisodes, à cause de l'évolution de Hayes Morrison ). Quand les enquêtes traitent de sujets faisant débats actuellement comme avec la peine de mort, il y n'y a en fait pas de débat, de réflexion ( on a pas l'argument des gens qui sont pour, peut être parce qu'il n'y en a pas ). On a des épisodes qui parle des discriminations policières envers les personnes de peau noire, du terrorisme et des problèmes d'amalgame; mais encore une fois, on a pas de réflexion profonde ( à imputer au rythme de la série ), même si la série n'a pas cette prétention je trouve ça dommage.
    On a même pas d'explications sur la recevabilité des informations recueillies même si parfois c'est évoqué, le problème, encore une fois, c'est que le rythme des épisodes est soutenu.
    _
    _
    Dans l'ensemble le jeu des acteurs n'est pas mauvais.
    Le personnage de Hayes Morrison sort du lot par son anticonformisme, mais devient de plus en plus sérieuse au fil des épisodes ( perdant de son ironie qui servait d'humour à la série ). Elle aurait pu être un antihéros et être une Gregory House au féminin, mais finalement reste un héros qui veut aider les gens. Les autres personnages, même si ils ont une histoire, ont une histoire pour avoir une histoire; seule le personnage de Maxine Bohen a une personnalité intéressante. Dans l'ensemble on essaye de nous faire croire que chaque personnage a une opinion propre, mais c'est finalement celle de Morrison qui ressort, et quand bien même ils ont leur avis, au cours de l’enquête il peut arriver qu'il change. Il n'y a donc pas de vraies tensions dans l'équipe spoiler: ( même pas entre Wallace et Morrison contrairement à ce qu'on essaye de nous faire croire au début, et pas non plus entre Morrison et Sam Spencer qui a balancé la raison de sa mutation aux journalistes parce qu'elle lui a piqué son poste )
    .
    Mile Nium
    Mile Nium

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 11 juin 2022
    Séduite par les premiers épisodes, j'ai commencé à décrocher au bout du 4ème que j'ai trouvé bien trop moralisateur et pas assez nuancé quant au traitement de questions comme le handicap ou le racisme.Dans le 4ème épisode, la façon d'aborder la question de l'autisme profond spoiler: à travers les réactions d'une mère malmenée accusée de meurtre
    est d'un irréalisme hallucinant. On voit toute la perversité d'un système de pensée qui prétend "libérer" les femmes mais qui enferme en réalité les mères dans une posture de sainte dénuée de toute ambivalence. spoiler: Quand elle appelle son fils qui lui tape allègrement dessus "Mon merveilleux petit garçon", quel message croyez-vous que cela passe aux familles à bout qui peuvent parfois craquer physiquement ? A aucun moment, le positionnement de la mère, qui sacrifie toute sa famille pour gérer son fils n'est questionné. C'est pourtant parce qu'elle n'a pas pris en considération ce que vivait sa fille cadette que cette-dernière en vient à commettre l'irréparable. Le questionnement accusateur de Sam lors du premier entretien en prison est juste scandaleux quand on sait un tant soit peu ce qu'implique le fait de gérer quotidiennement des personnes atteintes de ce type de trouble. Bref, j'ai trouvé toute l'approche à vomir.
    Dans le 6ème épisode , heureusement que le personnage de Maxine, femme noire, ancienne policière et toxico, permet d'apporter un peu de complexité à la vision simpliste et moralisatrice des choses. L'idée de population blanche, riche et forcément favorisée (termes répétés plusieurs fois au cours des affaires de la série) commence à me lasser sérieusement. On nage en plein wokisme et je me détourne systématiquement de ce type de série. A mon sens, elles ne font qu'alimenter les clivages au lieu de faire comprendre à tous.tes que quelle que soit la couleur de peau de quelqu'un, tout le monde a sa part d'ombre et de lumière, que personne n'est un.e saint.e ou un.e démon sauf de rares exceptions. Les communautés humaines sont complexes mais cela ne semble pas intéresser les scénaristes de la plupart des séries nord-américaines ou françaises d'ailleurs.Certaines répliques sont franchement choquantes, notamment par exemple, quand spoiler: Tess confond deux personnes afro-américaines qui se ressemblent effectivement beaucoup (c'est un fait quand on voit les photos). Elle demande alors :"Est-ce que ça veut dire que je suis raciste?" .Son partenaire (latino et homosexuel donc forcément gentil et du bon côté) lui répond alors "Non, ça veut dire que t'es blanche". Vous imaginez ce genre de réplique inversée ?
    Dans cet océan de politiquement correct, on a droit à 2 situations un peu anticonformistes cependant : spoiler: un couple de jeunes ados qui tue la mère de l'un d'eux (mais on insiste bien sur le fait que l'un est blanc, riche et privilégié et l'autre latino, pauvre et manipulé par le premier donc pas responsable hein . . . forcément). Et un micro passage où une personne afro-américaine parle de la délinquance afro-américaine de son quartier qui lui pourrit la vie, sans plus de réflexion d'ailleurs, Cela relève donc autant de la caricature que le reste, Ce qui me fait dire que cette sortie au premier abord surprenante n'a été posée là que pour faire pousser des cris d'orfraie à Maxine afin de bien marquer la condamnation morale de rigueur
    . Concernant le personnage principal de Conviction, il est lassant. Original au début, son comportement de gosse de riche égocentrique notamment avec ses proches finit par nuire à tout son aspect positif : l'intelligence, l'intuition d'une personnalité atypique. Les autres personnages, à part Maxine, sont lisses et convenus. Concernant les intrigues, à partir du 3ème épisode, j'en devinais la fin la majorité du temps.Je rejoins d'autres commentaires qui critiquent le fait que dans la majorité des dossiers traités, les personnes se révélaient innocentes.Heu . . .ça donne un taux d'erreurs judiciaires qui laisse perplexe ainsi qu'une image peu flatteuse du travail des policiers de terrain.Ils.elles ne sont pas tous.tes des abrutis.ies il me semble. Maxine est d'ailleurs un bel exemple de professionnalisme. J'imagine que si l'héroîne et son équipe avaient repris des dossiers de personnes réellement coupables, cela aurait moins fait rêver et surtout, moins entretenus les idées toutes prêtes qu'on nous martèle dans cette série ou d'autres d'ailleurs. Bref, tout cela est un vrai gâchis d'une série qui avait du potentiel. A quand une série courageuse, qui adopte des points de vue VRAIMENT originaux ne flattant pas le politiquement correct à longueur de temps et qui ne réduit pas les êtres humains à un seul critère (couleur de peau, origine, orientation sexuelle, handicap ou pas etc . . .) ?
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    1,5
    Publiée le 20 septembre 2017
    Série vraiment très moyenne qui utilise les mêmes ficelles que les autres séries d'enquêtes qu'on nous diffuse ad nauseam. Le seul point original est la personnages principale Hayes Morrison et son caractère particulier bien que pas suffisamment mis en avant. Quitte à faire dans les personnages excessifs autant le faire à fond comme ce fut le cas du Dr House parce que là ses excès retombent aussi vite qu'un soufflet.

    Les autres personnages sont soit sans personnalité soit dans le cliché et ne relève pas le niveau de la série.

    Les enquêtes, malgré les changements de sujet, laissent apparaître après quelques épisodes à une certaine répétitivité. Peu de surprise. Les enquêtes sont résolus en vitesse grand V avec une facilité déconcertante. Bref inintéressantes.

    Enfin, comme beaucoup de série US, tout les problèmes de sociétés sont abordés avec une dose de moralisation qu'on aurait pu se passer car on est quand même à la limite d'une propagande "bien-pensantes". Après c'est un avis personnel mais je regarde une série pour me changer les idées pas pour qu'on me renvoie à mon quotidien.

    Bref ne perdez pas votre temps, passez votre chemin.

    PS: je ne comprends pas pourquoi TF1 passe cette série en première partie de soirée alors que Frequency qui est diffusé juste après explose Conviction en qualité et originalité. Mais bon c'est TF1 ...
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 8 septembre 2017
    C'est une série qui fait passer le temps si on en a à perdre. C'est loin d'être un chef d'oeuvre, le scénario est bancale et mal amené, les thèmes des épisodes sont vus et revus, presque tous les personnages condamnés le sont à tort ( spoiler: à part le pauvre gamin homosexuel qui a participé malgré lui pendant que son amant, le gosse de riche, tue sa mère sans état d'ame #cliché
    ), et pire encore, le personnage principal joué par Hayley Atwell est franchement insupportable en plus d'être le cliché de la gosse de riche en période de rébellion qui se drogue et provoque à tout va. Son duo malsain avec le personnage d'Eddie Cahill, un avocat corrompu et arriviste qui veut se lancer en politique, prend toute la place et ne laisse pas la possibilité aux autres personnages, bien qu'également très clichés, de se développer. Ainsi, les personnages de Merrin Dungey, Manny Montana, Emily Kinney restent cantonnés à des rôles subalternes. Bien que le latino sorti de prison et d'un gang ainsi que la jolie et gentille blonde major de promo soient extrêmement clichés, le personnage de Maxine, ex policière et femme noire, aurait pu déboucher sur des réflexions sur le sexisme et le racisme au sein de la police américaine. En bref une série bourrée de cliché qui avait pourtant une base prometteuse : le combat contre le système judiciaire corrompu
    Back to Top