Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
Critique de la saison 2
4,5
Publiée le 19 décembre 2023
Julian Fellowes poursuit son étude de la bourgeoisie new-yorkaise des années 1800 avec une excellente seconde saison. Riches en intrigues et rebondissements, cette seconde saison de "The Gilded Age" devrez à nouveau conquérir les fans du programme et les aficionados des belles séries d'époques en costumes. Le délicieux trio d'actrices réunies : Louise Jacobson, Carrie Coon, et Christine Baranski font des merveilles en particulier Baranski qui s'impose ici comme la nouvelle Maggie Smith de la télévision. On attends la suite.
Après une première saison assez moyenne, la série "The Gilded Age" fait son retour avec une nouvelle saison sur HBO. Toujours aussi minutieuse avec ses décors somptueux et ses costumes élaborés, la série nous replonge au cœur de son époque historique de l’âge doré. Avec un développement plus approfondi des personnages, des alliances et trahisons inattendues ainsi que des révélations croustillantes, cette saison, qui se révèle un peu plus réussie que la précédente, donne plus d’intérêt aux téléspectateurs de s’accrocher à chaque épisode. En résumé, la saison 2 de "The Gilded Age" maintient la qualité et l'élégance visuelle de la série. En se révélant plus divertissante, elle promet une suite intéressante surtout après le twist de fin de saison. - 13,5/20 Critique sur The Gilded Age (saison 2) Vue du 13.11 au 25.12.2023 sur le Pass Warner
« The Gilded Age » n’est pas sans rappeler « Downton Abbey » du même réalisateur Julian Fellowes. Sa saison 2 ne déroge pas à la règle. On pourra donc reprocher le côté « amourettes », «midinette » et « soap » de « The Gilded Age », mais soyons vraiment indulgents, parfois nous avons tous nos plaisirs coupables. La retranscription en termes de décors de cette époque la fin du 19ème siècle à New York, époque trop peu abordée, est pour le moins toujours époustouflante. Le spectateur s’en trouve totalement immergé.
Une dédicace spéciale à Carrie Coon, actrice trop méconnue mais que l’on a pu retrouver dans «The Leftovers », « The Sinner », « Fargo », écrasante de beauté et de justesse de jeu dans son rôle de femme ambitieuse souhaitant trouver sa place dans l’aristocratie New Yorkaise.
Au-delà des intrigues romantiques qui est le cœur de « The Gilded Age », on retrouve les grandes problématiques naissantes de l’époque, comme la revendication des droits des travailleurs se confrontant à un capitalisme pur et dur, et la naissante du Met. Aussi, ce que l’on peut découvrir, ce sont les secrets de la construction du pont de Brooklyn, finalisée par une femme, ce qui n’était pas une mince affaire au regard du contexte de l’époque.
La saison 2 confirme que « The Gilded Age », dans son genre, est une vraie pépite.
Il aura donc fallut près de 6 ans à Julian Fellowes pour nous proposer une nouvelle création d'envergure. Bien sûre que depuis la fin à la télévision de "Downton Abbey" le petit monsieur oscarisé n'a pas perdu son temps. On a eu droit de sa part au pire (le décevant "The English Game") comme au meilleur (l'excellent "Belgravia"). Mais réellement on sentait que lord Fellowes était fatigué et se repose pas mal sur ses laurier.
Après 4 épisodes il est clair que "The Gilded Age" signe le grand retour triomphant d'un des plus grands scénaristes à l'heure actuelle. La série repose sur le même principe que "Downton Abbey" (classe aristocrates et riches) mais cette fois à l'échelle d'une ville. On y suit ainsi même plus la rivalité entre les anciens et les nouveaux riches de New York qu'autre chose. Les personnages sont pas mal écrit et les acteurs se donnent à fond pour qu'on accroche. Avec en mention spéciale : Christine Baranski impériale dans son rôle, Carrie Moon magistrale, Louisa Jacobson véritable révélation ou le jeune Harry Richardson impeccable.
Que ce soit la reconstitution historique ou la réalisation on plonge vraiment dans l'ambiance de cette série. Peut être un peu trop sage et trop lisse. Mais il est clair que cette fiction a un gros potentiel et pourrait elle aussi s'imposer comme une référence. Julian Fellowes y retrouve le flegme anglais qui fait la saveur de ses créations antécédentes avec l'humour noir et acerbe de "Gosford Park" qui fait mouche à chaque scène.
Pas tellement convaincu au départ j'ai plus qu'était séduit par cette nouvelle saga grandiose. Si vous avez adorer "Downton Abbey" vous allez rafoler de "The Gilded Age".
Âpres, une première saison ou les personnages que l’on decouvrait, se mettait en place, on voit sur la seconde, l’évolution de New York, des luttes pour être la première famille entre les nouveaux et anciens,et plusieurs autres histoires qui rendent cette saison bien plus intéressante que la première bien que tirant de plus en plus par moments sur Downton Abbey.
Vous aviez adoré Downton Abbey réjouissez-vous de la grande série en perspective (j’ai vu le 1er épisode) Ce qui faisait le sel de Downton (en plus dès histoires d’amour) c’était le changement d’une époque de la grande noblesse anglaise sans le sou et des industriels qui eux en avaient, mais aussi de la révolution industrielle et des petits mains. Dans cette série on touche exactement aux mêmes sujets sauf que cela se passe à New York. Là aussi il y a une noblesse (les descendant du Mayflower) et les nouveau riches (industriels qui réussissent) au milieu de ce monde, des intrigues, des secrets, des amours qui seront impossibles, une envie du petit peuple monter dans la hiérarchie sociale. Les acteurs et plus particulièrement les actrices sont merveilleuses.
Cette série est somptueuse et élégante que ce soit dans son écriture, sa réalisation, sa photographie, etc. Les décors et les costumes sont vraiment magnifiques. Quant aux acteurs ils sont tous excellents. J'adore Christine Baranski (qui joue Agnès) c' est une actrice vraiment talentueuse et la dynamique qu' elle met en place avec le jeu de Cynthia Nixon qui joue sa sœur Ada à l' écran est agréable à voir. Leur personnage bien qu' empêtrés dans les conventions de leur statut social et parfois leur snobisme surtout celui d' Agnès, sont bienveillants, amicaux, tolérant aussi et c est ambiguë parfois, elles sont tolérantes quant il est question de la question raciale ( les interactions entre Agnès et Peggy sont intéressantes) beaucoup moins lorsqu il est question du statut social (Agnès qui refuse que sa nièce fréquente Tom ' d' un statut inférieur ', Agnès qui refuse les Russell, nouveaux riches, extrêmement riches même mais nouveau riche donc pas issue des veilles Famille qui constitue la Haute société de NY. C 'est d' ailleurs pour cette raison qu' ils peinent malgré leur fortune à se faire accepter) Cette série est intéressante et ce qui surprenant n' est pas ennuyeuse à regarder. Il est question des us et coutumes de la Haute société newyorkaise du 19ème siècle, de discrimination mais pas celle habituellement traitée dans les films et les série. Et comme Dowton Abbey le personnel de maison, leur quotidien est mis en avant mais pas aussi bien détaillé. Mais cela n'enlève rien au charme de cette série. Je conseille à 100%
Excellente série du même auteur que Downton Abbey que j'avais adoré et qui reprend un peu les mêmes schémas mais avec une intrigue originale sur le partage du pouvoir entre grandes familles et des parvenus. Très bien fait, dialogues fins, acteurs impeccables je recommande chaudement en version originale bien sûr
Par le créateur de la série à succès "Downton Abbey", Julian Fellowes signe ici une nouvelle série de drama historique. Très similaire au show britannique des années 2010, la production d’HBO se déroulant dans le Gilded Age de la fin des années 1880 à New York ne se révèle pas si convaincante qu’elle en a l’air. Entre une intrigue décousue, une guéguerre de haute bourgeoisie ridicule et des personnages sans grand intérêt, la série qu’on pensait dans la veine des shows dernière génération comme "Gossip Girl" et "La Chronique des Bridgerton" est finalement assez décevante. Malgré quelques thématiques intéressantes, "The Gilded Age" manque de nous satisfaire dans le fond, mais fonctionne cependant très bien sur la forme grâce à une richesse de décors et costumes particulièrement réussis. - 11/20 Critique sur The Gilded Age (saison 1) Vue du 28.01 au 23.03.2022 sur OCS
L'intrigue de ce Downtown Abbey New Yorkais est un peu convenue mais la reconstitution et les costumes sont absolument fastueux ( à part la main street, un peu artificielle,). Peut-être même plus qu'ils ne le furent en réalité. Un beau livre d'images.
Déjà le sixième épisode, on s'accroche en baillant mais décidément ça ne prend pas... Tout sonne faux et traîne en longueur, grosse déception d'un grand fan de Downton Abbey.
Un Downton Abbey version New York, la même insistance sur les us et coutumes de la haute société, sans oublier les différents échelons des gens de maison. Un air de déjà vu, mais du très bon
C'est un Downton abbey _bis_ : Le scénario, les accents, les décors en intérieur et même les musiques... Par contre les décors extérieurs créés par ordinateur sont grossiers. Une pâle copie de l'original.