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4,2
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Votre avis sur Les Shtisel : une famille à Jérusalem ?
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Excellente série. Dépaysant pour qui n'est pas familiarisé avec ce judaïsme orthodoxe. Et c'est justement un des attraits que de découvrir une autre manière de se comporter et d'interagir avec les membres de sa famille. Ce qui fait la qualité des épisodes, ce sont surtout les dialogues savoureux ainsi que certaines mises en situation.
spoiler:
Par exemple, l'épisode de la grand mère qui découvre la télévision dans sa maison de retraite.
. Cela existe et la confrontation de ces deux mondes, les « sionistes » qui gouvernent et les religieux qui vivent en Israël, constitue justement l'une des thématiques abordées. On retrouve avec plaisir la jeune actrice Shira Haas qui joue le rôle important de Ruchama. D'adolescente dans cette série, elle deviendra jeune épousée dans la série Unorthodox, comme un prolongement de cette culture hassidim.
. Cela existe et la confrontation de ces deux mondes, les « sionistes » qui gouvernent et les religieux qui vivent en Israël, constitue justement l'une des thématiques abordées. On retrouve avec plaisir la jeune actrice Shira Haas qui joue le rôle important de Ruchama. D'adolescente dans cette série, elle deviendra jeune épousée dans la série Unorthodox, comme un prolongement de cette culture hassidim.
elriad
Parfois drôle, souvent émouvante, cette série israélienne qui nous plonge au cœur d'une famille juive orthodoxe est parfaitement réussie, abordant un tas de sujet religieux comme sociétaux. Le spectateur suit le parcours et les états d'âme de cette fratrie dirigée d'une main de fer par un patriarche aussi rigide que castrateur. Dotée d'une très belle écriture de dialogues qui font mouche, de personnalités tantôt attachantes, tantôt agaçantes, parfaitement campées, le série prend le temps de s’intéresser à ses personnages et nous entraîne pour notre plus grand plaisir dans cette fresque familiale maîtrisée et réussie.
Les israéliens savent décidément faire de bonnes séries.
Les israéliens savent décidément faire de bonnes séries.
Encore meilleure comme saison avec de la variété dans le mode de relation homme/femme. Seulement, le côté dramatique domine plus que dans la première saison. On s'aperçoit que l'application du judaïsme ultra orthodoxe a des répercussions très importantes dans les choix de vie et que pour les individus, il y a beaucoup de renoncement à faire.
j'ai adoré cette série sur les juifs orthodoxes . les acteurs sont très bien, l'histoire est superbe, j'avais envie de connaître la suite à chaque épisode. Je regrette qu'il n'y ait pas beaucoup de série sur Israël. C'est un pays que j'ai toujours voulu visiter... je l'espère après la crise sanitaire...
Cette saison tourne autour du fils Akiva et de la volonté de son père de le marier. Seulement, c'est toute une affaire car les désirs du fils ne sont pas forcément ceux du père. Il y a aussi tout ce qui arrive aux autres membres de la famille et c'est savoureux, que ce soit l'arrière grand mère de 88 ans ou la fille aînée, l'humour est léger, sur les travers humains comme l'envie, la peur de décevoir, l'ambition, le désir de paraître. Rien n'est forcé et cette comédie est vraiment originale.
Il faut être honnête.C'est intéressant sur le plan documentaire .(On apprend le mode de vie des haredim).Mais franchement ,c'est interminable,il ne se passe pas grand chose.Les acteurs sont très bons ,dommage qu'il n'y ait quasiment pas de scénario.Sans commune mesure avec Unorthodox qui vous prenait aux tripes.
Ce qui apparaît dans cette saison, c'est le poids de ce que pensent les autres membres de la communauté sur les choix du quotidien. Il s'agit surtout de faire « comme si », de ne pas laisser paraître la réalité quand elle n'est pas conforme aux règles judaïques. Le comique de situations revient alors sur le devant de la scène comme avec l'épisode de la voiture achetée. La saison se termine un peu curieusement et on imagine bien une suite à cette histoire familiale.
À part le côté documentaire, c'est très lent et agaçant. Au moins un mérite : ouvrir les yeux sur ce que sont les religions, comment elles brisent des existences, des relations sociales et amoureuses ; tout cela au nom d'un dieu de pacotille idolatré par des réactionnaires et ignorants. Cette petite série je l'espère, aura au moins peut-être eu le mérite d'ouvrir les yeux à certains car OUI, malheureusement, les religions sont la gangrène de l'humanité et ne conduise qu'à la servitude, le communautarisme et l'intolérance (même envers les animaux conçus par ces prétendus dieux)... J'imagine que le casting est "du crû " et je précise que c'est pour ma grand-mère qui regarde les "feux de l'amour " que je me la suis tapé avec elle...
Au delà de la révélation sociologique d'une communauté hors norme, cette série est passionnante du premier au dernier épisode. Les personnages attachants dont servis par des acteurs d'une justesse impeccable et le ou les scenaristes ont su nous tenir en haleine. Cette série mérite une diffusion bien plus étendue que sur une plate-forme tant elle nous fait sortir des niaiseries Netflixiennes habituelles. Un chef d'œuvre
A priori austère par son univers cette série se révèle profondément humaine.
Rien de révolutionnaire dans son scenario ou sa réalisation mais des émotions, du rire, de l'empathie au sein d'une communauté qu'on connait finalement très mal.
Rien de révolutionnaire dans son scenario ou sa réalisation mais des émotions, du rire, de l'empathie au sein d'une communauté qu'on connait finalement très mal.
Les Shtisel n'est certainement pas l’œuvre la plus mise en avant sur Netflix, ni celle dont le thème - le quotidien d'une famille juive ultra-orthodoxe à Jérusalem - n'est à priori le plus accrocheur.
C'est motivé par la présence au générique de Shira Haas, époustouflante dans "Unorthodox", que je me suis lancé par hasard ... sans pouvoir décrocher tout au long des trois saisons.
L'empathie pour les personnages, extrêmement attachants, se fait quasiment instantanément,on adhère totalement à leurs joies et leurs peines et on plonge dans l'ambiance de cette communauté religieuse méconnue, aux aspirations (notamment amoureuses) pourtant semblables à celles de n'importe quel autre humain.
Le charme de leur langue aux consonances étrangères à nos oreilles saura accentuer le plaisir de suivre les chroniques de ces Shtisel, Weiss et autres Tonik.
Une série israélienne souvent émouvante, avec des acteurs excellents (tous, sans exception), qui ne laisse pas indifférent et dont la justesse dramatique de certains moments de vie saura vous tirer des larmes sincères.
C'est motivé par la présence au générique de Shira Haas, époustouflante dans "Unorthodox", que je me suis lancé par hasard ... sans pouvoir décrocher tout au long des trois saisons.
L'empathie pour les personnages, extrêmement attachants, se fait quasiment instantanément,on adhère totalement à leurs joies et leurs peines et on plonge dans l'ambiance de cette communauté religieuse méconnue, aux aspirations (notamment amoureuses) pourtant semblables à celles de n'importe quel autre humain.
Le charme de leur langue aux consonances étrangères à nos oreilles saura accentuer le plaisir de suivre les chroniques de ces Shtisel, Weiss et autres Tonik.
Une série israélienne souvent émouvante, avec des acteurs excellents (tous, sans exception), qui ne laisse pas indifférent et dont la justesse dramatique de certains moments de vie saura vous tirer des larmes sincères.
la vie d'une famille EXTRA-ordinaire. on navigue entre sourires. émotions, tendresse.... OK il n'y a pas d'action, l'histoire est simple mais on se laisse embarquer dans le quotidien. on apprend sur les us et coutumes des juifs orthodoxes. tout y est abordé. j'ai adoré. un vrai régal. !
Une des séries les plus dépaysantes qui soient, on voyage dans l'espace et le temps arrêté de cette famille attachante. Un des héros principaux est un artiste qui essaie de concilier son envie de peindre avec les rigueurs morales de tout son entourage et sa propre quête d'amour, c'est tellement juste que c'est forcement autobiographique (pour l'un des deux auteurs). Tous les acteurs, des plus jeunes aux plus vieux, sont formidables.
C'est drôle et émouvant, subtil et enrichissant. Et apaisant : il y a une seule agression (au cutter) dans tous les épisodes disponibles en France !
C'est drôle et émouvant, subtil et enrichissant. Et apaisant : il y a une seule agression (au cutter) dans tous les épisodes disponibles en France !
Un an a passé depuis le décès de la matriarche, la famille Shtisel (Juifs orthodoxes ou Haredim), encore très affectée par le deuil, doit se reconstruire.
La série est centrée sur le patriarche Shulem, vivant seul dans le quartier de Geula à Jérusalem avec son fils cadet Akiva.
La famille compte également la fille ainée Giti, son mari Lippe et leurs cinq enfants, le benjamin Zvi Arye et la grand-mère paternelle.
Les relations entre le père et le fils sont compliquées, tantôt dans l’affect tantôt dans le conflit, Shulem aimerait marier son petit dernier et finir ses vieux jours tranquille.
Lorsqu’Akiva jette son dévolu sur Elisheva, la mère d’un élève veuve depuis peu et son ainée de plusieurs années de surcroît, les choses se compliquent …
Pour plus d’authenticité, cette série israélienne est proposée en VO sous-titrée en français ce qui permet de nous plonger en pleine immersion dans cette communauté très spéciale, le dépaysement et la découverte sont assurés.
Série passée inaperçue, on s’attache rapidement à ce duo touchant d’émotion et de leçon de vie, les personnages secondaires se développent au fil des saisons en intégrant des petits nouveaux dans les saisons 2 et 3.
On retrouve au casting l’actrice Shira Hass dans le rôle de Ruchami (La fille ainée de Giti), vue précédemment dans la série Unorthodox et qui apporte un vrai plus à la distribution.
A voir !
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
La série est centrée sur le patriarche Shulem, vivant seul dans le quartier de Geula à Jérusalem avec son fils cadet Akiva.
La famille compte également la fille ainée Giti, son mari Lippe et leurs cinq enfants, le benjamin Zvi Arye et la grand-mère paternelle.
Les relations entre le père et le fils sont compliquées, tantôt dans l’affect tantôt dans le conflit, Shulem aimerait marier son petit dernier et finir ses vieux jours tranquille.
Lorsqu’Akiva jette son dévolu sur Elisheva, la mère d’un élève veuve depuis peu et son ainée de plusieurs années de surcroît, les choses se compliquent …
Pour plus d’authenticité, cette série israélienne est proposée en VO sous-titrée en français ce qui permet de nous plonger en pleine immersion dans cette communauté très spéciale, le dépaysement et la découverte sont assurés.
Série passée inaperçue, on s’attache rapidement à ce duo touchant d’émotion et de leçon de vie, les personnages secondaires se développent au fil des saisons en intégrant des petits nouveaux dans les saisons 2 et 3.
On retrouve au casting l’actrice Shira Hass dans le rôle de Ruchami (La fille ainée de Giti), vue précédemment dans la série Unorthodox et qui apporte un vrai plus à la distribution.
A voir !
Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
Je ne m'attendais pas à être ainsi embarqué par cette série. Les personnages sont profondément humains, et malgré le gouffre culturel qui nous en sépare, on se sent finalement proche d'eux dans les épreuves universelles de la vie qu'ils traversent. Le décor juif ultra orthodoxe et la vo son extrêmement dépaysants, et le rythme de leur vie simple et épurée est apaisant et même inspirant. Je trouve les scènes d'une grande beauté ainsi que très touchantes.