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Sally Ecran et toile
62 abonnés
304 critiques
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Critique de la série
4,0
Publiée le 11 juillet 2015
« ♫ Lizzie Borden prit une hache et frappa 40 fois sa mère. Elle réalisa l’horreur de sa tâche et frappa 41 fois son père. ♫ » C’est sur ces quelques paroles de comptine enfantine que s’ouvre le premier volet de la série consacrée à la célèbre meurtrière présumée. Dès les premières secondes, nous sommes transportés dans la ville de Fall River (Massachusetts) en 1893, soit 4 mois après l’acquittement de Lizzie. Les deux sœurs Borden, héritières des dettes de leur père, doivent verser une somme colossale à un créancier de l’entreprise paternelle, ce qui risque de les mettre sur la paille. De plus, leur demi-frère (bâtard car jamais reconnu par la famille), voleur, menteur et avide d’héritage fait son apparition et menace de révéler quelques lourds secrets enfouis. A cela, ajoutez un détective privé qui se voit confier la mission de fouiller le passé de Lizzie (et percer à jour le mystère du meurtre dont elle a été acquittée) et vous obtenez toutes les données du premier épisode de « Lizzie Borden Chronicles ».
Les quarante premières minutes de cette série réalisée par un collectif impressionnant (Grégory Small, Richard Blaney, Barbara Nance, Jason Grote et David Simkins) nous tiennent d’ores et déjà en haleine et sont la promesse d’une suite de qualité dont on est déjà enivré. Le casting de choix est dirigé par Christina Ricci (« Casper », « La famille Addams ») et Cléa Duvall ( découverte dans l’excellente série « Carnivale ») côté féminin et Cole Hauser ( « Die Hard », « Transcendance ») dans le rôle de Siringo, le singulier détective. Les costumes et les décors nous immergent dans les USA de la fin du XIXème siècle avec une authenticité saisissante. Mais là où les réalisateurs ont été malins, c’est que la musique tantôt électrique, tantôt proche du métal créent un décalage temporel avec les faits présentés sans nous perturbés outre mesure. Voilà autre preuve de la créativité dont à fait part Timelime !
Monumental navet !!! Je suis peut être seul au monde mais je trouve Cristina Ricci archi mauvaise dans ce rôle ! Je n'ai pas du tout accroché à son jeu, au scénario, au ton des dialogues, aux décors...bref je n'ai pas aimé du tout !!! L'histoire me tentait mais le rendu est affligeant !! Dommage...
Mais quel O.V.N.I. que cette série ! Série qui fait suite au film du même nom, avec les mêmes acteurs ou actrices "Lizzie Borden Took An Ax".... Pas besoin d'écrire un roman (comme certains le font) pour dire que OUI, il faut avoir vu le film pour commencer cette série. Pas besoin non plus de dire que le jeu d'acteur et notamment celui de la sublimissime CHRISTINA RICCI est excellent, voire même troublant ! Lizzie Borden nous transporte dans un autre siècle, le sien. On avait envie de savoir ce qui se passait à la suite de ce procès qui a defrayé la chronique, de l'histoire par elle même (après avoir effectué quelques fouilles sur internet tellement le sujet est touchant, brûlant, curieux et énigmatique). La série dérive beaucoup sur la réalité mais c'est un délice.... Lizzie Borden nous touche et on ne sait toujours pas pourquoi !
Le réalisateur a voulu rendre Borden pop comme Sofia Coppola avait rendue pop Marie-Antoinette... C'est raté. Aucun talent ne se dégage de cette série. Ricci joue mal, sa soeur est transparente. Seul l'interprète du Pinkerton fait honneur à sa profession.
Je n'ai pas du tout aimé. Les musiques modernes alors qu'on est dans une époque victorienne, les personnages, l'ambiance pas du tout malsaine alors qu'un tel sujet pouvait nous faire trembler. Bref je passe.
Début de saison excellent, Christina Ricci fusionne très bien avec le rôle de Lizzie Borden. La bande son est inattendue avec l'époque qui nous aies présenter. Une série à découvrir, elle en vaut la peine.
Grand amateur de séries, je suis d'accord avec un des précédents, c'est un OVNI, mais qu'est-ce que c'est mauvais, c'en devient risible. Les scènes qui ne sont pas d'époque, des acteurs moyens mis à part Christina Ricci qui doit demander ce qu'elle est venue faire dans ce navet, un scénario inexistant, des pistes musicales dans tout les sens et à chaque scène sans aucune logique, un fond qui ne mène à rien, après 4 épisodes, je me demande toujours ce que Lizzie et sa soeur font dans la vie, dans leur grande maison les gens défilent, mais pourquoi? Que viennent-ils y faire? Je continue de regarder pour la rigolade mais qu'est-ce que c'est mauvais. On nous sert n'importe quoi alors que de bonnes séries sont annulées cette année...
Une très bonne série. Une mise en scène nerveuse et la bande son qui va avec. Quelques moments immoraux jubilatoires. Très bon jeu d'acteurs. Un peu gore, c'est vrai. Mais ça va avec le personnage. Il n'y a pas de temps mort. Une très bonne série qui mérite une saison 2.
Un pilot d'une violence inouïe. Hannibal, ou Game of thrones c'est passé pourtant, mais là, je crois que j'ai atteint mes limites dans le pilot. Si je le vois en gardant à l'esprit que c'est du cinéma, ça banalisera certainement ce niveau là, or je ne veux pas devenir totalement blasée devant ce degré de violence, je remue le drapeau blanc (maculé sans tâche de sang) et je sors.
Série géniale, Christina Ricci est parfaite dans son rôle de Lizzie Borden, machiavélique et manipulatrice hors pair. L’ambiance est malsaine à souhait et les décors, reconstitutions de l’époque sont au top, avec en plus une bande son moderne entre electro et métal qui apporte un décalage avec l’univers de la série. On accroche dès les premières minutes du premier épisode... dommage qu’il n’y ai pas de suite...
Intéressante série de science fiction sur le voyage dans le temps...
J'ai décroché au bout de 15 minutes à force d'utilisation d'ampoule électrique dans la plupart des maison, la photographie insiste tellement là dessus que je ne peux pas ne faire abstraction.
J'ai forcé jusqu'à la fin du premier épisode jusqu'à ce qu'un personnage sorte une lampe torche (brevet déposé 4 ans après l'année ou est sensé se dérouler l'action).
Bref, pour une série qui base tout son atmosphère sur le décalage entre les décors marquant l'époque et la bande son, la moindre des choses aurait été de respecter le contrat qu'elle s'impose elle même... ou du moins ne pas insister si lourdement sur sa propre incohérence.