Avis Kill la Kill

Le retour du duo Hiroyuki Imaishi et Kazuki Nakashima à qui l'on doit Gurren Lagann comme œuvre majeur ne sont pas ratés, c'est une grosse claque, un rythme d'enfer, des personnages charismatiques, les combats sont épiques, l'humour fait mouche la plupart du temps, des retournements de situations et des révélations de dingue... Dommage sur la fin vers l’épisode 20, l’anime s’essouffle un peu, mais le final reste quand mémé excellent, bref, un grand anime !

Voilà un anime bien furieux comme je n'en avais pas vu depuis longtemps! Véritable parodie sous acide des shonen il distille des combats bien furieux et une dose d'humour salvatrice principalement grâce au personnage de mako (de loin mon préféré de l'anime) meilleure amie de l'heroine et totalement allumée ^^
Si au départ le scénario part sur une banale histoire de vengeance l' histoire s'etoffe (heureusement d'ailleurs) et prend une direction science-fiction/thriller bienvenue et se permet même le luxe d'egratigner Darwin au passage. Culotté mais bien vu.
Perso j'ai adoré le traitement donné au trop peu présent père de l'heroine que l'on dirait tout droit sorti d'un manga de tesuka et la séquence de son combat face au grand couturier est franchement excellente bien que trop bref à mon goût. Dommage que ce personnage ne soit pas un peu plus creusé.
Au final kill la kill est à mon sens vraiment bon sans être un chef-d'œuvre car son univers bien barré et très osé spoiler: (les transformations des héroïnes frole le sm)
en irritera plus d'un mais il mérite vôtre attention...

Une série trop décevante, au ton très (trop) décalé, si on aime les combats il y a vachement mieux ailleurs, pour le reste il n'y a que de la nudité et de la vulgarité, les personnages manquent de charisme et l'histoire a du mal à nous accrocher.

Kill la Kill est, comme quelques autres, un animé dont on ne ressort pas avec le même regard sur le monde. A la fois classique et déroutant, cet animé fait volontairement dans la démesure du genre nekketsu, et l’humour totalement décalé fait souvent mouche. L'exagération (et/ou la parodie?) va jusqu’à la tenue de Ryuko Matoi lorsqu’elle enfile Senkentsu qui met en avant ses formes féminines, ou encore les combats ou les personnages finissent littéralement à poil. De même pour l’univers aussi cohérent dans son propre délire qu’il devient difficile d’imaginer d’où cela a pu sortir : des Covers qui sont des êtres vivants faits de fibre de combat vivant originel, à l’organisation de la Nudist Beach, en passant par la guerre entre les lycées du Japon ou encore les techniques de combats plus invraisemblable les unes que les autres, sans oublier le sérieux des personnages principaux contrastant en permanence avec celui des secondaires... L'ensemble de ces éléments donne une série qui se prend rarement au sérieux et ne se retient pas d’utiliser la nudité des tenues de combats pour faire de l’humour quitte à pousser les gags à l’extrême. En témoigne l'excentricité du professeur Mikisugi, dont le chara-design a quelques ressemblances avec Kamina dans Gurren Lagann (vu que des membres de l'équipe ont travaillé sur cette autre série, ça n'est pas un hasard). De plus les références aux animés cultes sont très appréciables (ah ce final et ces transformations... nostalgie Dragon Ball) . Finalement, seul le style graphique pourra rebuter, même si me concernant j'ai rapidement adhéré, et le rythme effréné ne plaira pas à tous, mais ça vaut vraiment le coup d’œil.

En tant qu'auto-parodie (involontaire ?) cette série est un coup d'épée dans l'eau, une sorte d'auto-suicide hystéro-bouffon permanent qui tape sur le système très rapidement. L'humour (?) qui se délite dans les pires pitreries que l'on ait pu voir ou constater dans les animés ou mangas depuis des lustres se voit ici compulsé et rassemblé dans une sorte de "collection" particulièrement affligeante.

La caricature et le grotesque se disputent tant et si bien que même la technique en fait les frais, s'avèrant étonnamment bâclée pour une série aussi récente. Evidemment si c'était drôle -au moins au quinzième degré peut-être- on serait plus enclin à passer l'éponge au lieu de la balancer dans la benne à ordures la plus proche. Une série tellement con qu'on ne peut s'empêcher de con-patir. Consternant.

deja ryuko s'est ma waifu ! l'histoire et geniele personage tous interesent je croix q'ils et numero 1 avec jojo petite anecdote j'ais connue kill la kill sur un postere d'un magasine que j'ais achter et s'es tes ses poster qui on deux image un devent et une deriere sauf que deriere ses sao mes je naims pas sao du coup j'ais mis kill la kill et quelque joure plus tards je me suis dis ivan il faut peu etre regaede un moment se mangas et j'ais regarder et j'ais boucoup aimes ah oui ryuko ma waifu !

L'idée de base est grotesque mais traitée avec le plus grand sérieux, c'est outrancier, politiquement incorrect, ridicule, violent, rythmé, drôle, c'est très au-dessus de la moyenne des mangas et des séries en général. C'est canon!

une série qui vaut plus que le coût , mélangeant une animation épic et un scénario du tonnerre , il faut tenir le coup jusqu'a d'épisode 10

C'est une série atypique qui ne plaira pas a tout le monde.
Bien que le début ressemble à n'importe quel shonen nekketsu l'anime part en vrille.
Le fan service qui, aux premiers abords, semble plomber l'histoire par sa présence s'avère faire partie de scénario spoiler: ( l'histoire de pudeur qui empêche le power up...
. )
Le rythme est effréné, il n'y a pas de temps mort, et le ridicule des scène de vie ( je pense a Mako) ne s'épuise jamais.
On perd le cliché du mec beau gosse qui vient créer une romance parce qu'il n'y a pas de personnage masculin autres que des pions et des pitres
Et l'OST est incroyable, elle suit le rythme, est adapté au personnage même l'ending est bien ( alors que celui des autres animes on le skip vite fait bien fait)
bref des combat épique a l'animation sérieuse, des scènes loufoques au style cartoon et des trucs qui ne font aucun sens (l'écriture rouge qui existe dans le monde et qui n'est pas qu'un vu du spectateur par exemple )