Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Chicago Sun-Times
par Richard Roeper
Yellowstone est une série captivante malgré des intrigues parfois trop nombreuses et désordonnées.
La critique complète est disponible sur le site Chicago Sun-Times
Los Angeles Times
par Robert Lloyd
Les performances sont, dans l'ensemble, bonnes et le créateur Taylor Sheridan, lui-même acteur ("Sons of Anarchy"), a le don d'écrire des dialogues qui sonnent bien dans la bouche des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Los Angeles Times
Pittsburg Post-Gazette
par Rob Owen
Le pilote de Yellowstone, d'une durée de deux heures, est à la fois bavard et quelque peu prévisible car il présente les personnages, leurs relations et leurs conflits. Mais les épisodes suivants offrent plus de surprises et approfondissent ces personnages faisant de la série un divertissement estival captivant.
La critique complète est disponible sur le site Pittsburg Post-Gazette
Entertainment weekly
par Darren Franich
Le co-créateur Taylor Sheridan, qui a écrit et réalisé les épisodes de la série, a un faible, quand il ne s'adonne par à des combats au pistolet gratuits, pour le poétisme, laissant ses personnages méditer sombrement.
La critique complète est disponible sur le site Entertainment weekly
Rolling Stone
par Alan Sepinwall
Les œuvres de Sheridan sont classiques mais elles sont rigoureusement écrite et réfléchie. Le fait d'étendre l'histoire sur huit épisode donne cependant une dimension plus machinale et lassante, les personnages ne cessant de couper de nouvelles têtes à l'hydre narrative.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
New York Times
par James Poniewozik
Yellowstone, bien sûr, a le droit d'être exactement la série qu'elle veut être, mais pour l'instant (j'ai vu trois épisodes, y compris le double pilote), c'est un mélange bancal de plusieurs choses.
TV Guide
par Matt Roush
L'histoire évite de manière rafraîchissante les mélodrames à la Dallas, mais ses rebondissements violents et tragiques n'ont pas toujours l'impact escompté, tant on a l'impression d'avoir déjà parcouru ce chemin sinistre bien trop souvent.
Variety
par Daniel D'Addario
Les conflits entre la population indigène et les Dutton sont fascinants. Ce qui l'est moins, ce sont les rivalités entre frères et sœurs qui semblent tirées d'une série moins ambitieuse que celle-ci. Yellowstone est superbement filmé, et pourtant, sous ses panoramas montagneux, il n'y a rien de nouveau, juste de nouvelles querelles.
La critique complète est disponible sur le site Variety
Collider
par Allison Keene
Pour chaque cheval galopant dans les plaines, il y a une attaque de serpent à sonnette, ou pour chaque veau mis au monde avec succès, il y a un accident de tracteur. L'équilibre que Sheridan trouve ici peut être une bonne chose, mais il peut aussi être épuisant sur le plan émotionnel. Il n'y a pas de direction claire, ni beaucoup d'espoir sur la façon dont les choses pourraient tourner pour les personnages.
La critique complète est disponible sur le site Collider
indieWIRE
par Ben Travers
Une grande partie de Yellowstone semble inutilement morbide et péniblement rythmée.
The Hollywood Reporter
par Tim Goodman
Un grand gâchis tentaculaire... Yellowstone tente d'être si vaste et si théâtral qu'il n'y a pratiquement aucun réalisme.
La critique complète est disponible sur le site The Hollywood Reporter
Chicago Sun-Times
Yellowstone est une série captivante malgré des intrigues parfois trop nombreuses et désordonnées.
Los Angeles Times
Les performances sont, dans l'ensemble, bonnes et le créateur Taylor Sheridan, lui-même acteur ("Sons of Anarchy"), a le don d'écrire des dialogues qui sonnent bien dans la bouche des acteurs.
Pittsburg Post-Gazette
Le pilote de Yellowstone, d'une durée de deux heures, est à la fois bavard et quelque peu prévisible car il présente les personnages, leurs relations et leurs conflits. Mais les épisodes suivants offrent plus de surprises et approfondissent ces personnages faisant de la série un divertissement estival captivant.
Entertainment weekly
Le co-créateur Taylor Sheridan, qui a écrit et réalisé les épisodes de la série, a un faible, quand il ne s'adonne par à des combats au pistolet gratuits, pour le poétisme, laissant ses personnages méditer sombrement.
Rolling Stone
Les œuvres de Sheridan sont classiques mais elles sont rigoureusement écrite et réfléchie. Le fait d'étendre l'histoire sur huit épisode donne cependant une dimension plus machinale et lassante, les personnages ne cessant de couper de nouvelles têtes à l'hydre narrative.
New York Times
Yellowstone, bien sûr, a le droit d'être exactement la série qu'elle veut être, mais pour l'instant (j'ai vu trois épisodes, y compris le double pilote), c'est un mélange bancal de plusieurs choses.
TV Guide
L'histoire évite de manière rafraîchissante les mélodrames à la Dallas, mais ses rebondissements violents et tragiques n'ont pas toujours l'impact escompté, tant on a l'impression d'avoir déjà parcouru ce chemin sinistre bien trop souvent.
Variety
Les conflits entre la population indigène et les Dutton sont fascinants. Ce qui l'est moins, ce sont les rivalités entre frères et sœurs qui semblent tirées d'une série moins ambitieuse que celle-ci. Yellowstone est superbement filmé, et pourtant, sous ses panoramas montagneux, il n'y a rien de nouveau, juste de nouvelles querelles.
Collider
Pour chaque cheval galopant dans les plaines, il y a une attaque de serpent à sonnette, ou pour chaque veau mis au monde avec succès, il y a un accident de tracteur. L'équilibre que Sheridan trouve ici peut être une bonne chose, mais il peut aussi être épuisant sur le plan émotionnel. Il n'y a pas de direction claire, ni beaucoup d'espoir sur la façon dont les choses pourraient tourner pour les personnages.
indieWIRE
Une grande partie de Yellowstone semble inutilement morbide et péniblement rythmée.
The Hollywood Reporter
Un grand gâchis tentaculaire... Yellowstone tente d'être si vaste et si théâtral qu'il n'y a pratiquement aucun réalisme.