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4,3
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Votre avis sur Yellowstone ?
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59 critiques
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Bien pour les 4 premières saisons; Puis ça s'essouffle sérieusement. La cinquième saison étant la pire où la vie au Ranch est délayée entre sorties de cowboy, fêtes "country" et autres bons sentiments. Bref on rallonge la sauce quitte à ce que a finisse fade. Alors il reste les beaux paysages mais ça ne fait pas tout.
Cinq saisons qui montent en puissance, même si la quatrième est certainement la plus réussie. Visiblement la cinquième aura révélé au grand jour les sévères dissensions entre K. Koster et le réalisateur. Les scènes tournées lors du décès de J. DUTTON ne l'auront pas été par KK, visible comme une maison. Une performance extraordinaire de la très troublante Kelly REILLY.
Après les 2 bijoux que sont 1883 et 1923, quelle déception ! Je mets 3 pour les paysages et Kevin Costner. Personnages inintéressants, l'actrice et le personnage de la fille sont insupportables, j'ai du mal à comprendre toutes les intrigues, beaucoup d'incohérences. Difficile de s'attacher à des personnages qui sont tous antipathiques.
de l'excellence dans un genre oublié. Tout est bon du casting, l'histoire et cette superbe musique. heureusement que je peux enchaîner sur la saison 4, rester en plan sur la saison 3 aurait été insoutenable...
une très belle saga orchestrée de façon de maître par Kévin Costner...une image passée de l'Amerique...lactuel se retrouve dans la série Landman...God bless America...
Je suis venu à Yellowstone grâce à 1883, mini-série magnifique et réellement originale. Yellowstone l'est moins mais éveille quelques intérêts. J'ai failli m'arrêter au milieu de la saison 2 de mais la fin de cette saison annonce un twist intéressant et j'ai donc continué.
S'il y a quelques personnages auxquels on peut s'attacher, l'un d'entre eux casse rapidement les pieds : Wes Bentley (Jamie) est carrément insupportable. Dans n'importe quel univers mafieux - comme dans ce ranch - il devrait terminer dans un pilier de béton au bout de 5 épisodes !
Dans ce monde de brutes, les femmes ont du mal à se faire une place. La magnifique et pulpeuse Kelly Reilly (Beth) est habillée de façon à paraître à poil, avec ses airs systématiques de vamp en mal d'affection, jusqu'à la saison 3 où ses décolletés plongent moins: elle devient plus "humaine", son personnage torturé prend sens.
Finalement, Yellowstone se regarde pour le quotidien de ces cowboys et les paysages magnifiques du Montana. La force de la Nature telle que l'homme devrait la conserver à tous prix.
S'il y a quelques personnages auxquels on peut s'attacher, l'un d'entre eux casse rapidement les pieds : Wes Bentley (Jamie) est carrément insupportable. Dans n'importe quel univers mafieux - comme dans ce ranch - il devrait terminer dans un pilier de béton au bout de 5 épisodes !
Dans ce monde de brutes, les femmes ont du mal à se faire une place. La magnifique et pulpeuse Kelly Reilly (Beth) est habillée de façon à paraître à poil, avec ses airs systématiques de vamp en mal d'affection, jusqu'à la saison 3 où ses décolletés plongent moins: elle devient plus "humaine", son personnage torturé prend sens.
Finalement, Yellowstone se regarde pour le quotidien de ces cowboys et les paysages magnifiques du Montana. La force de la Nature telle que l'homme devrait la conserver à tous prix.
La série progresse vers plus de thèmes intéressants, mais il n'y a pas grand monde à sauver dans cette famille. Après de beaux personnages féminins dans "1883" et "1923", difficile de faire plus abominable que le rôle de Beth.
J'ai regardé les deux premières saisons, mais je suis un peu déçue, vu les très bonnes critiques que reçoit cette série.
Je n'arrive pas à être transportée par les personnages et ressentir d'empathie pour la famille Dutton, malgré les efforts du scénario dans ce sens, qui étale tous les états d'âme des membres de la famille et leurs malheurs.
C'est quand même l'histoire d'une famille de colons, riche par millions qui exploitent des gens très pauvres [ex: un ancien prisonnier, un orphelin qui avait été victime de maltraitance, le personnage de Jimmy...] qu'ils font travailler comme cow-boys et aussi comme petits hommes de mains pour les coups fourrés, en les retenant prisonniers dans le ranch. Des colons qui accumulent des terres abusivement pendant que leurs voisins natifs américains s'entassent dans des réserves sur des lots de terres arrides.
Donc, j'ai un peu de mal à comprendre pourquoi la série se focalise sur les états d'âme du patriarche John Dutton qui pleure parce qu'il a peur de perdre les milliers d'hectares de terres accaparées pour une seule famille de colons et relégue au second plan l'histoire des natifs américains qui vivent dans des conditions indignes et souffrent d'injustices, de violences et de discriminations coloniales aussi terribles.
Certes, les violences coloniales et le racisme sont évoqués, notamment à travers le personnage de Monika, mais seulement par petites touches, comme si Monika servait seulement de caution morale à la série dont l'objet est finalement de promouvoir l'histoire d'une famille de colons.
Là où j'étais profondément gênée, c'est le moment où spoiler: Monika, native américaine, va jusqu'à comparer la situation de ses ancêtres il y a 150 ans avec celle de la famille Dutton
. J'ai trouvé très gênante la façon de se servir de ce personnage comme caution morale d'une famille de colons archi-privilegiées.
Enfin, je n'ai rien contre Kevin Costner, mais je le trouve trop lisse pour incarner le patriarche. J'aurais mieux vu un acteur avec un jeu plus "destroy" comme Billy Bob Thornton ou Harvey Keitel dans ce rôle.
Cela dit la série reste distrayante, comme une sorte de Dallas avec des personnages et des situations un peu moins glamour et un peu plus trash.
Dommage! La série aurait vraiment été plus prenante, si elle s'était centrée sur l'histoire des natifs américains sans essayer à tout prix de nous rendre des colons privilégiés sympathiques.
Up date: le dernier épisode rattrape un peu le reste de la série, attention spoiler alert: spoiler: La fin de Yellowstone rend justice au peuple autochtone en lui rendant sa terre. Les premières minutes sont consacrées au combat du peuple autochtone qui démantèle un pipe-line et se termine dans une scène où il reprend vit dans le ranch de Yellowstone. La promesse du chef de la communauté des natifs que l'on voit à la fin de la série 1883 est donc exaucé.
Donc j'imagine que le but du réalisateur est sans doute de sensibiliser, sans les braquer, les américains à la cause des peuples autochtones d'Amérique, survivants du génocide.
Je n'arrive pas à être transportée par les personnages et ressentir d'empathie pour la famille Dutton, malgré les efforts du scénario dans ce sens, qui étale tous les états d'âme des membres de la famille et leurs malheurs.
C'est quand même l'histoire d'une famille de colons, riche par millions qui exploitent des gens très pauvres [ex: un ancien prisonnier, un orphelin qui avait été victime de maltraitance, le personnage de Jimmy...] qu'ils font travailler comme cow-boys et aussi comme petits hommes de mains pour les coups fourrés, en les retenant prisonniers dans le ranch. Des colons qui accumulent des terres abusivement pendant que leurs voisins natifs américains s'entassent dans des réserves sur des lots de terres arrides.
Donc, j'ai un peu de mal à comprendre pourquoi la série se focalise sur les états d'âme du patriarche John Dutton qui pleure parce qu'il a peur de perdre les milliers d'hectares de terres accaparées pour une seule famille de colons et relégue au second plan l'histoire des natifs américains qui vivent dans des conditions indignes et souffrent d'injustices, de violences et de discriminations coloniales aussi terribles.
Certes, les violences coloniales et le racisme sont évoqués, notamment à travers le personnage de Monika, mais seulement par petites touches, comme si Monika servait seulement de caution morale à la série dont l'objet est finalement de promouvoir l'histoire d'une famille de colons.
Là où j'étais profondément gênée, c'est le moment où spoiler: Monika, native américaine, va jusqu'à comparer la situation de ses ancêtres il y a 150 ans avec celle de la famille Dutton
. J'ai trouvé très gênante la façon de se servir de ce personnage comme caution morale d'une famille de colons archi-privilegiées.
Enfin, je n'ai rien contre Kevin Costner, mais je le trouve trop lisse pour incarner le patriarche. J'aurais mieux vu un acteur avec un jeu plus "destroy" comme Billy Bob Thornton ou Harvey Keitel dans ce rôle.
Cela dit la série reste distrayante, comme une sorte de Dallas avec des personnages et des situations un peu moins glamour et un peu plus trash.
Dommage! La série aurait vraiment été plus prenante, si elle s'était centrée sur l'histoire des natifs américains sans essayer à tout prix de nous rendre des colons privilégiés sympathiques.
Up date: le dernier épisode rattrape un peu le reste de la série, attention spoiler alert: spoiler: La fin de Yellowstone rend justice au peuple autochtone en lui rendant sa terre. Les premières minutes sont consacrées au combat du peuple autochtone qui démantèle un pipe-line et se termine dans une scène où il reprend vit dans le ranch de Yellowstone. La promesse du chef de la communauté des natifs que l'on voit à la fin de la série 1883 est donc exaucé.
Donc j'imagine que le but du réalisateur est sans doute de sensibiliser, sans les braquer, les américains à la cause des peuples autochtones d'Amérique, survivants du génocide.
Cette histoire aurait pu être vraiment très bien, mais le nombre de morts, de crimes qui restent totalement impunis est complètement absurde. Ça ne se passe pas dans les années 1800, mais de nos jours et il n’est plus possible de tuer tous les gens qui nous dérangent et de s’en sortir toujours sans problème.
Je sais bien que certains gros bonnets de grosses entreprises utilisent des moyens pas toujours légaux et que parfois des gens se font tuer aussi, mais il y a des limites...
Le casting est très bien, les paysages fabuleux et l,histoire met en avant les conflits qui existent entre les propriétaires terriens, les promoteurs, les amérindiens et les exploitations minières... mais je doute que les conflits soient aussi violents et habituels...
Je suis donc partagée d’où la note de 2,5...
Je sais bien que certains gros bonnets de grosses entreprises utilisent des moyens pas toujours légaux et que parfois des gens se font tuer aussi, mais il y a des limites...
Le casting est très bien, les paysages fabuleux et l,histoire met en avant les conflits qui existent entre les propriétaires terriens, les promoteurs, les amérindiens et les exploitations minières... mais je doute que les conflits soient aussi violents et habituels...
Je suis donc partagée d’où la note de 2,5...
Enorme ! A voir et revoir. Les intrigues, les panoramas, les personnages, et la fin... y'a rien d'autre à dire que : foncez !
Une série additive au casting 5 étoiles. Une histoire aux rebondissements permanents et des paysages à couper le souffle.
Cette série est un chef d'œuvre... Une merveilleuse. Acteurs fabuleux, personnages attachants ou au contraire détestables ( c'est ca qui est bon). Des paysages à couper le souffle, un magnique hommage aux cow boys du xxi ème siècle. Il n'y a pas une seule fausse note. Ce film n'est ni pour les fragiles, ni pour les hommes sojas, ni pour les féministes en carton. Ça sent le cuir, la sueur et la testostérone. Des moments magnifiques d'humanité. Encore sous le charme, encore envoûtée.
J'ai fini par abandonner au début de la quatrième saison.
Les acteurs sont très bons,
Un scénario irréaliste a mon goût vu le nombre de meurtres produits en toute impunité.
Mais le plus agaçant ce sont ces leçons de vie, ces leçons de morale, cette philosophie de cows boys à 2 balles qui ponctuent l'essentiel des dialogues.
John Dutton c'est Socrate en santiagues, son fils c'est le Cicéron du revolver.
Bref, ils savent tout sur tout ....sauf l'essentiel.
Qu'ils ne savent rien!
Les acteurs sont très bons,
Un scénario irréaliste a mon goût vu le nombre de meurtres produits en toute impunité.
Mais le plus agaçant ce sont ces leçons de vie, ces leçons de morale, cette philosophie de cows boys à 2 balles qui ponctuent l'essentiel des dialogues.
John Dutton c'est Socrate en santiagues, son fils c'est le Cicéron du revolver.
Bref, ils savent tout sur tout ....sauf l'essentiel.
Qu'ils ne savent rien!
Pas mal dans l'ensemble parce qu'il y a des épisodes avec du suspens et on accroche pour connaitre la suite qui, comme souvent dans ces séries, faute d'inspiration, devient de plus en plus abracadabrantesque et fade.. On s'étonne des'acteurs moyens ou mauvais aussi pour les rôles Kayce et femme, Jamie dont le jeu d'acteur est très limité, Des épisodes entiers où rien ne se passe, que le folklore et les clichés de la vie du cowboy, enjolivée, dans les paysages du Montana (a priori, pas vérifié). La part du scénario réservé à Beth est limite; on lui fait faire n'importe quoi et ses proches lui trouvent des excuses, en rient, là où, dans la vraie vie, elle serait en prison ou on la ferait soigner de sa folie et son alcoolisme notoire. Je commence presque à détester K. Reilly, tellement le personnage est devenu grotesque et insupportable.
Western moderne "Yellowstone" nous plonge dans l'univers des cowboys et des propriétaires terriens du Wyoming. Cette saga s'ancre parfaitement dans une Amérique brutale et attachée à son histoire. Le Far West n'est pas mort. Du lasso à la finance politicienne, l'histoire se veut tenue autour de la Famille Dutton, qui s'aime et se déchire. Le Casting est tout simplement génial d'efficacité et la réalisation incisive et incroyable. Je retiens particulièrement la prestation saisissante de Kelly Reilly (Beth Dutton) et de l'inoxydable Kevin Costner en patriarche (John Dutton). La photographie s'appuie sur une beauté sauvage, poussiéreuse mais au combien typique de la représentation que l'on se fait de l'ouest sauvage !!! BRAVO.