J'ai acheté et visionné le troisième volet de la série: Apocalypse , créée par des géants du film documentaire que sont Isabelle Clarke et son époux Daniel Costelle. Le premier volet était Apocalypse la 2ème guerre mondiale, le deuxième volet étant Apocalypse Hitler et enfin le must des must pour moi celui-ci Apocalypse la 1ère guerre mondial. Je suis un passionné de film documentaire d'époque et j'en ai des dizaines et dizaines en tous les genres, dont des dizaines sur la 1ère guerre mondiale, mais cette production des CC and Cie les initiale des créateurs de cette série qui comme 5 épisodes dont:
Episode 1 Furie.
Épisode 2 Peur .
Épisode 3 Enfer.
Épisode 4 Rage.
Episode 5 Délivrance.
Ce nouvel Apocalypse, est pour moi le meilleurs volets Apocalypse, tant au point de vue historique, dialogue réciter par la voix totalement adéquate et superbe de Mathieu Kassovitz, la qualité des images est exceptionnelles et rend aux tragiques événements de cette sale guerre comme l'on a l'habitude de dire est en soi un euphémisme, tellement et fût atroce, des moments d'horreurs pour tous ces hommes que tous les pays belligérants ont envoyé à la boucherie de façon purement gratuite, ils faut avancer, il faut tenir coûte que coûte même avec toutes ces horreurs qui se déroulaient sur les champs de batailles telles parmi les plus grandes et les plus destructrices de véritables boucheries: les Batailles les plus terrifiantes qu'il put y avoir entre 1914 et 1918:
La première bataille de la Marne, souvent identifiée comme « la bataille de la Marne » a eu lieu du 5 septembre 1914 au 12 septembre 1914: 1 entre d'une part l'armée allemande et d'autre part l'armée française et le corps expéditionnaire britannique.
Morts sur le terrain, disparus et prisonniers :
313.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)
Morts dans les formations sanitaires du front :
7.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)
Morts dans les hôpitaux de l’intérieur :
9.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)
Cette bataille doit être distinguée de la seconde bataille de la Marne, qui se déroula en juillet 1918.
Seconde bataille de la Marne (15 juillet – 5 août 1918) :
Nota : ces chiffres ne concernent que les 5e, 6e, 9e et 10e armées françaises.
Morts :
499 officiers
11.542 hommes de troupe
Blessés :
1.870 officiers
68.396 hommes de troupe
Disparus :
170 officiers
12.688 hommes de troupe
Puis:
La bataille de Verdun fut une bataille de la Première Guerre mondiale qui eut lieu du 21 février au 19 décembre 1916 près de Verdun en France, opposant les armées françaises et allemandes. Conçue par le général Erich von Falkenhayn, commandant en chef de l'armée allemande, d'après la version qu'il en donna dans ses Mémoires, comme une bataille d'attrition pour « saigner à blanc l'armée française »3 sous un déluge d'obus dans un rapport de pertes de un pour deux, elle se révélera en fait presque aussi coûteuse pour l'attaquant : elle fit plus de 714 231 morts, disparus ou blessés, 362 000 soldats français et 337 000 allemands, une moyenne de 70 000 victimes pour chacun des dix mois de la bataille. On peut noter que selon les travaux historiques récents, notamment ceux de l'historien allemand Holger Afflerbach, l'objectif allemand était plus simplement de prendre le saillant de Verdun, la version d'une bataille d'attrition étant une justification inventée après-coup par Falkenhayn pour masquer son échec.
C'est la plus longue et l'une des batailles les plus dévastatrices de la Première Guerre mondiale et de l'histoire de la guerre. Verdun apparaît comme le lieu d’une des batailles les plus inhumaines auxquelles l’homme s'est livré : l'artillerie y cause 80 % des pertes, le rôle des hommes y consiste surtout à survivre — et mourir — dans les pires conditions sur un terrain transformé en enfer, tout cela pour un résultat militaire nul.
Puis:
La bataille de la Somme désigne une confrontation opposant les Britanniques et les Français aux Allemands en 1916 lors de la Première Guerre mondiale, dont ce fut l'une des batailles les plus sanglantes.
Les forces britanniques et françaises tentèrent de percer à travers les lignes allemandes fortifiées sur une ligne nord-sud de 45 km proche de la Somme, au nord de la France, dans un triangle entre les villes d'Albert du côté britannique, Péronne et Bapaume.
Il s'agit de l'une des batailles les plus meurtrières de l'histoire humaine (hors victimes civiles), avec parmi les belligérants environ 1 060 000 victimes, dont environ 442 000 morts ou disparus.
La première journée de cette bataille, le 1er juillet 1916, détient le triste record de la journée la plus sanglante pour l'armée britannique, avec 58 000 victimes dont 19 240 morts. La bataille de la Somme prit fin le 18 novembre 1916:
Pertes totales (bataille de la Somme exclusivement) :
437.322 Allemands
419.654 Britanniques
202.567 Français
Morts sur le terrain, disparus et prisonniers :
114.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)
Disparus :
78.531 Britanniques
27.501 Français
Morts dans les formations sanitaires du front :
16.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)
Morts dans les hôpitaux de l’intérieur :
6.000 Français (pendant toute la période et sur tous les secteurs du front)
Blessés :
213.372 Britanniques
200.000 Français
135.879 Français
Prisonniers :
100.000 Allemands
Puis: une autre très grande bataille mais cette fois face aux Ottomans (Les Turques):
La bataille des Dardanelles, également appelée campagne de Gallipoli, fut un affrontement de la Première Guerre mondiale qui opposa l'Empire ottoman aux troupes britanniques et françaises dans la péninsule de Gallipoli dans l'actuelle Turquie du 25 avril 1915 au 9 janvier 1916.
La péninsule de Gallipoli forme la partie nord du détroit des Dardanelles reliant la mer Méditerranée à la mer Noire. Durant la Première Guerre mondiale, cette région était contrôlée par l'Empire ottoman alors en guerre contre les puissances alliées dont le Royaume-Uni, la France et la Russie. Pour pouvoir ravitailler cette dernière, le contrôle des Détroits était indispensable mais une tentative alliée pour traverser les Dardanelles échoua le 18 mars en raison des mines qui y avaient été posé. Pour que les dragueurs de mines pussent opérer en sécurité, il était nécessaire de réduire au silence les batteries ottomanes sur les hauteurs du détroit. Un débarquement fut donc organisé le 25 mars au cap Helles et dans la baie ANZAC (en) à l'extrémité sud de la péninsule.
Le terrain difficile, l'impréparation alliée et la forte résistance ottomane provoquèrent rapidement l'enlisement du front et les tentatives des deux camps pour débloquer la situation se soldèrent par de sanglants revers. Le 6 août, les Alliés débarquèrent dans la baie de Suvla au nord mais ils ne parvinrent pas non plus à atteindre les hauteurs dominant le détroit au milieu de la péninsule et ce secteur se couvrit également de tranchées. L'impasse de la situation et l'entrée en guerre de la Bulgarie aux côtés des Empires centraux poussèrent les Alliés à évacuer leurs positions en décembre 1915 et en janvier 1916 et les unités furent redéployées en Égypte ou sur le front de Salonique en Grèce.
La bataille fut un sérieux revers pour les Alliés et l'un des plus grands succès ottomans durant le conflit. En Turquie, l'affrontement est resté célèbre car il marqua le début de l'ascension de Mustafa Kemal qui devint par la suite un des principaux acteurs de la guerre d'indépendance et le premier président du pays. La campagne fut également un élément fondateur de l'identité nationale australienne et néo-zélandaise. Commémoré sous le nom de journée de l'ANZAC, la date du débarquement du 25 avril est la plus importante célébration militaire dans ces deux pays où il surpasse le jour du Souvenir du 11 novembre.
Le nombre de victimes durant la bataille des Dardanelles varie selon les sources mais il est estimé qu'à son terme, elle avait coûté la vie à plus de 100 000 hommes dont entre 56 000 et 68 000 Ottomans et environ 53 000 Britanniques et Français. Carlyon avance le nombre de 43 000 Britanniques tués ou blessés dont 8 709 Australiens 185. Il y eut également 2 721 Néo-Zélandais tués, soit le quart de ceux ayant débarqué dans la péninsule 186. En intégrant les victimes de maladies, les pertes s'élèvent à près d'un-demi million dont 205 000 Britanniques, 47 000 Français et 251 000 Ottomans selon les estimations officielles britanniques. Ce nombre de victimes ottomanes est contesté et probablement moins élevé ; une autre source avance ainsi que les pertes furent de 2 160 officiers et de 287 000 soldats d'autres rangs 187. Les conditions sanitaires furent particulièrement difficiles et de nombreux soldats souffrirent de typhoïde et de dysenterie. Il est estimé qu'au moins 145 000 Britanniques et 64 000 Ottomans tombèrent malades durant la campagne..
Voici ce que je me suis permis de mettre pour vous orienté un peu sur cette fameuse der des ders qu'ils disaient à l'époque. J'espère avoir respecté l'intégrité des descriptions reprise sur différentes sources, mais surtout sur le site WIKIPEDIA à qui je dis merci mille fois pour leur travail. Je note ce documentaire de guerre hors pair de 5 étoiles sur 5.