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Un visiteur
Critique de la série
1,5
Publiée le 30 juin 2014
Je n'attendais pas beaucoup de cette série donc je ne suis pas déçu... J'aime bien Jennie Garth mais pas Tori Spelling et je retrouve ce sentiment dans la série. Leur acolyte n'arrange pas l'humour potache de la série. Malheureusement, je n'ai pas ris une seule fois durant le premier épisode. JE n'irais pas plus loin et ne conseillerais pas cette série...
Je dois dire que j'ignore encore pourquoi j'ai continué cette série. Lorsque j'ai regardé le premier épisode, j'ai surtout ri face au jeu lamentable de Tori Spelling. Jennie Garth s'en sort, mais ne cadre pas avec la série. Miguel Pinzon est, selon moi prometteur mais probablement mal dirigé, comme si le réal n'arrivait pas à déterminer son style. Il y a un gouffre entre les différents jeux des acteurs. Le personnage de Charlie est bien trop réaliste face à la caricature du personnage de Holly et Nick (ou vice versa). Je pense que c'était sans doute pour amener un équilibre... c'est raté. Cependant, j'en suis au septième épisode et étrangement, je trouve que la série s'améliore. Oh je ne crierai pas au chef-d'oeuvre, bien loin de là ; mais elle se laisse de plus en plus regarder. Je crois que c'est parce que j'accroche au texte et aux répliques parfois pas trop mal écrites. Certaines pourraient faire mouche si elles n'étaient pas servies sur un lit de loufoqueries agaçantes. Je dirais, en somme, qu'il faut savoir passer au dessus des jeux déplorables pour arriver à dénicher quelques instants sympathiques. J'attends de voir. Un miracle peut se produire.
Cette série est définitivement la pire chose filmée dans l'histoire des série "famille". Tori Spelling remporte le prix de la fille de producteur la plus catastrophique ou comment le rôle de gourdasse semble trop peu éloigner de la réalité. Une pensée toute particulière à l'acteur et à son rôle de "gay" s'extasiant devant le personnage de Tori Spelling: sans commentaire. Même avec un grippe ou 2 de tension, il est très difficile d'imaginer quelqu'un appréciant cette nullité scénaristique. Fuyez ou l'attaque cérébrale vous guette!