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Truman.
233 abonnés
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Critique de la série
4,0
Publiée le 6 mai 2013
Une série ou l'on voit des gens dans un unique décor et parler , ça peut sembler ennuyeux mais ça ne l'est pas du tout . The Booth at the End joue la carte de la simplicité et tient le spectateur accroché grâce a une intrigue menée de bout en bout et le format 20 minutes fait que l'on voit rapidement la série ( 5 épisodes seulement ) et l'ennuie ne peut s'installer . Un peu a la manière du film "Collision" on retrouve des destins croisés mais une touche de SF/fantastique s’immisce dedans et ajoute du mystère a la série . Une bonne réussite avec un concept original et bien maitrisé et des acteurs correct , une série qui est donc a voir .
The Booth At The End ne fait pas dans le commercial, c'est une série qui détonne dans le paysage audiovisuel. Avec son format court (20 mns par épisode) et ses discussions apathiques ancrées dans un unique décor, on se retrouve face à un exercice de style aussi étonnant que remarquable. Produite par des noms ayant travaillés sur des séries telles que Friends ou Joey, The Booth At The End s'affranchit de toute compromission pour nous offrir une alternative de choix dans un catalogue qui fait fi de toute originalité.
Un lieu : Cadillac Jacks avec son drive in. Un homme, l'aspect négligé façon docteur House (une certaine classe quoi) et des individus qui viennent lui demander de l'aide. Cet homme peut réaliser leurs rêves mais il faut accepter le deal...
Attention spectacle de grande qualité... The Booth At The End, d'abord, efface le récit simple pour se concentrer sur la narration à la première personne. Les histoires nous seront donc connues grâce aux propos des protagonistes. C'est absolument prodigieux tant l'écriture y est mise en avant avec une indéniable efficacité. Refus du spectaculaire, concentration sur la psychologie des personnages et scénario aussi énigmatique qu'intelligent. On regarde et on apprécie. Ensuite, cette série qui ressemble à un drame se nappe d'un délicieux voile fantastique : l'homme inconnu est-il un ange ou un démon ? Plus encore, ce sont les questions qu'il éveille qui rendent le tout brillant : jusqu'où est-on prêt à aller pour réaliser nos rêves ? Notre bonheur personnel aboutit-il nécessairement au malheur d'autrui ? Des cas de conscience,des douleurs, de la joie... The Booth At The End révèle les failles humaines. 'I feed monsters' résonnant amèrement. 4,5/5
Une série dont il faut accepter le principe de base, parler, utiliser la force des mots plutôt que montrer. Plutôt original, je ne penses pas avoir vu une autre oeuvre ressemblant de près où de loin à The Booth at the End. Les acteurs font vraiment bien leur job et l'acteur principal est saisissant. Laissant le spectateur se poser des questions, fantasmer les raisons qu'ont les personnages à demander telle ou telle chose. Va t'il le faire? Comment? Est-ce la vérité? Une série prenante mais un peu frustrante, qui se finit trop vite...
The Booth At The End ne fait pas dans le commercial, c'est une série qui détonne dans le paysage audiovisuel. Avec son format court (20 mns par épisode) et ses discussions apathiques ancrées dans un unique décor, on se retrouve face à un exercice de style aussi étonnant que remarquable. Produite par des noms ayant travaillés sur des séries telles que Friends ou Joey, The Booth At The End s'affranchit de toute compromission pour nous offrir une alternative de choix dans un catalogue qui fait fi de toute originalité.
Un lieu : Cadillac Jacks avec son drive in. Un homme, l'aspect négligé façon docteur House (une certaine classe quoi) et des individus qui viennent lui demander de l'aide. Cet homme peut réaliser leurs rêves mais il faut accepter le deal...
Attention spectacle de grande qualité... The Booth At The End, d'abord, efface le récit simple pour se concentrer sur la narration à la première personne. Les histoires nous seront donc connues grâce aux propos des protagonistes. C'est absolument prodigieux tant l'écriture y est mise en avant avec une indéniable efficacité. Refus du spectaculaire, concentration sur la psychologie des personnages et scénario aussi énigmatique qu'intelligent. On regarde et on apprécie. Ensuite, cette série qui ressemble à un drame se nappe d'un délicieux voile fantastique : l'homme inconnu est-il un ange ou un démon ? Plus encore, ce sont les questions qu'il éveille qui rendent le tout brillant : jusqu'où est-on prêt à aller pour réaliser nos rêves ? Notre bonheur personnel aboutit-il nécessairement au malheur d'autrui ? Des cas de conscience,des douleurs, de la joie... The Booth At The End révèle les failles humaines. 'I feed monsters' résonnant amèrement. 4,5/5
Rarement vu une série aussi originale et aussi bien écrite. Entre drame et fantastique, des épisodes brefs (21 minutes) et une unité de lieu. Une adaptation cinématographie produite en Italie, "The Place", sort prochainement. Ce film a d'ailleurs été le plus gros carton de l'année chez nos voisins latins.
Un homme mystérieux assis sur la banquette du fond dans un restaurant routier. Il réalise les voeux des clients de passage. Une gamine veut devenir belle, une femme demande de sauver son mari de la maladie, un autre veut épouser un top model. Si l'on accepte, il y aura un prix à payer décidé par "l'homme". C'est génialement construit, Peu d'action, mais l'imagination fait le reste. Série arrêtée après deux saisons, peut-être trop originale et différente de ce qu'on nous sert d'habitude.
Rien à redire, une série qui fait travailler notre imagination, avec beaucoup de mystère, du suspens. Très intéressante, elle se regarde facilement et se différencie des autres séries par son format court et l'unique décor.