Avis Lonesome Dove

Un casting éblouissant pour un fabuleux périple à travers l'ouest américain... Grandiose...

Une mini série servie par un casting de choix avec Le grand Robert Duvall aux commandes épaulé par le non moins grand Tommy Lee Jones. C’est la conduite d’un troupeau du Texas au Montana qui nous est contée. Dans un pays encore méconnu ce petit groupe apprend à survivre dans des conditions parfois hostiles. A travers ce périple chacun révèle sa personnalité. Robert Duvall dit Gus est une sorte de cow-boy hédoniste et philosophe qui se laisse distraire par tout ce qu’il peut pour se soustraire aux tâches quotidiennes, Tommy Lee Jones dit le capitaine est un bloc monolithique dur au mal qui ne sait pas exprimer ses sentiments. Autour de ce duo mythique gravitent moult personnages et en particulier une sublime Diane Lane dite Lory qui s’accroche à Gus pour échapper à son sort de prostituée. Voyage initiatique pour les plus jeunes ce périple nous montre les mœurs des migrants de cette fin de XIXe siècle qui n’hésitaient à massacrer bisons et indiens pour se construire une place au soleil. On peut reprocher au récit un petit côté moralisateur et bon enfant destiné à faire vendre la production aux chaînes de télé mais cela reste malgré tout une belle histoire où Robert Duvall peut montrer tout son savoir-faire qui est grand.

Sans doute, l'un des plus grand western américain. Servi par un casting 5 étoiles ( "au dessus, c'est le soleil"), les excellents Robert Duvall et Tommy Lee Jones en tête; Lonesome Dove est une mini série de 4 épisodes d'une heure et demie sur les aventures de Texans acheminant leurs troupeau de chevaux vers de nouvelles contrées, les plaines du Montana.
Musiques superbes, paysages somptueux, règlements de compte, duels aux colts, chevauchées haletantes, bref tout est réuni pour faire de Lonesome Dove une petite beauté du genre et ceux malgré quelques longueurs, des personnages légèrement irritants mais surtout un format 4/3, filmé pour la télévision, affreusement laid.
" I'm a man of vision, you said..."