On trouve dans cette série certains traits de "Peaky Blinders", mais le voile transgressif qui plane au-dessus de "Dope Girls" ne va jamais au bout de ses ambitions. Mention spéciale pour les comédiennes Julianne Nicholson et Umi Meyers qui survolent ces épisodes, bien aidées par leurs partenaires Eliza Scanlen et Eilidh Fisher.
"Zero Day" est une série sans surprise. On a déjà vu tout ce qu’il s’y passe dans d’autres films ou séries. Mais Robert de Niro et ses partenaires de jeu mènent la danse avec virtuosité, l’intérêt de cette œuvre se trouve ici et nulle part ailleurs
Même s’il y a quelques lacunes, "Mémoire vive" est vraiment attrayante et son final surprenant.
Malgré quelques invraisemblances et fadeurs occasionnelles, la fraîcheur et l’espièglerie du personnage d’Erica font pétiller cette mini-série.
"Iris" est une proposition singulière et poétique. Cette comédie jouissive, d’une grande sensibilité, mêlant romantisme et satire sociale, nous embarque littéralement. À ne rater sous aucun prétexte.
Audacieuse et réussie.
"Before" est destinée aux amateurs de thrillers psychologiques profonds, où chaque épisode distille progressivement des couches de mystères et de tension qui nous tiennent en haleine jusqu’à la fin.
Tensions, victoires, trahisons, problèmes humains et moralité sont les maîtres mots de "Culte". Amusant et déroutant à la fois.
Pas la peine de s’y connaître en jeu d’échecs pour apprécier ce prenant "Rematch".
On s’attache rapidement à Tom et Lola. Cela donne une série légère, pleine d’entrain. Une vision moderne de l’amitié.
Le scénario maîtrisé et la mise en scène maligne permettent une avancée dans cette histoire sans pause.
Nolwenn Leroy réalise une performance remarquable, soutenue par un excellent scénario.
Les créateurs de cette série ont pris ici le parti de l’humour et de l’autodérision. (...) Il en résulte un bon divertissement aux moments désopilants et aux scènes d’action bien ficelées.
L’ambiance de "Twisted Metal" rappelle celle de "Mad Max", "The Walking Dead" ou encore "Snowpiercer". (...) Une expérience amusante pour les fans du genre.
S’attaquer au personnage de Bernard Tapie n’était pas une mince affaire et pourtant le réalisateur Tristan Séguéla et le scénariste Olivier Demangel s’en sortent avec brio, aidés par un casting brillant.
Les fans de “La Chronique des Bridgerton”, qui ont aimé cette série pour son côté glamour, vont être déçus. L’histoire ici est beaucoup plus dramatique, plus politique. Elle aborde également le drame de la maladie mentale, crucial dans cette série.
À mi-chemin entre "Minority Report" et "The Fountain", cette série mêle habilement amour et science-fiction, dans un thriller d’action saisissant.
Il y a dans cette série un peu de "Mad Men" et de l’esthétisme de Norman Rockwell avec les décors de dîners, ces typiques restaurants, et autres motels. Un voyage passionnant dans un monde utopique.
Avec un générique à la « Apocalypse Now », on est tout de suite mis dans l’ambiance. Et contrairement aux autres séries sur le même thème, empreintes de testostérone, celle-ci met à l’honneur aussi la féminisation de l’armée française à travers la commandante jouée par Marie Dompnier et Sabine, une snipeuse intraitable, campée par Nina Meurisse.
Une série catastrophe très décevante.