Adaptée d'une histoire vraie ,cette série portée par un joli casting féminin a le mérite de mettre en lumière un combat nécessaire. On s'attache à cette bande de filles qui ose enfin sortir du silence.
Clémentine Célarié excelle et c'est avec délice qu'on suit les pérégrinations de cette femme qui décide de régler ses comptes elle-même avant de perdre définitivement la mémoire.
Une fresque somptueuse au scénario passionnant qui pose un regard original et moderne sur le règne de Louis XVI sans trop violenter la réalité historique.
Les deux hommes n'ont pas perdu de leur talent pour raconter l'ordinaire avec justesse. Drôle, subtile et émouvante, cette saison 2 inattendue se déguste avec plaisir. Bref, on en redemande déjà !
Comment aimer et réaliser ses rêves avec un tel secret ? Une question à laquelle cette série multiprimée, inspirée de l'adolescence de sa créatrice, donne une réponse émouvante et férocement drôle.
Adaptée du livre éponyme d'Emily Blaine et ancrée dans son époque, cette série dresse le portrait d'une génération numérique en quête de relations authentiques.
En reprenant, quasi à l'identique, les codes de sa version originale et qui ont fait son succès, ce prequel est une réussite que les fans de "Dexter" auront grand plaisir à découvrir.
On aurait aimé aimer un peu plus cette fiction originale qui démarre sur les chapeaux de roues mais lambine et peine à dessiner des portraits crédibles de ces personnages.
Menée tambour battant par le duo Leo Woodall et Quintessa Swindell, cette intrigue estudiantine manque un peu de chair pour être regardée d'une traite et donne parfois l'impression de tirer en longueur.
Au-delà de l'histoire d'amour d'un couple de déportés, cette série a le mérite de nous plonger dans la réalité cauchemardesque de ce que furent les camps de concentration.
Choc des cultures et valse des sentiments pour ce triangle amoureux revisité avec subtilité. On rit, mais on réfléchit aussi à travers les points de vue du mari, de sa femme et de sa maîtresse.
"Alert" ne fait pas dans la dentelle et s'inscrit dans la longue liste des séries policières américaines ultra manichéennes et formatées qu'on regarde d'un oeil.
Jamais voyeuriste ou vulgaire, "Extra." évoque avec douceur, humour et réalisme un sujet tabou de notre société. Et elle offre aussi une intéressante réflexion sur la quête du désir et la routine conjugale.