avec Martin Escoffier pour un frère (2018) : la confusion des sentiments jusqu'à la découverte du corps au moment de l'adolescence sont ici plutôt bien évoquées. la force est également d'avoir comme parti prix, le seul regard de la jeunesse, jamais les parents n'ont le 1er rôle. pour autant, l'ensemble fait amateur, jusqu'à l'interprétation. en outre, au final, il ne se passe pas grand chose, beaucoup de scènes s'avèrent inutiles!