Un vieil instituteur à la recherche du trésor des Cathares envoie Sylvie, une jeune orpheline qu'il a adoptée, dans une cathédrale souterraine qui vient d'être découverte.
La déesse romaine du temps, Hora se présente devant les hommes et femmes pour les aider à prendre conscience du temps qui s'écoule. Ainsi, elle apparaît à différents personnages tourmentés par un aspect de leur vie.
Toute sa vie, Louise Jarraud, douloureusement frappée en 1914, s'est dévouée pour les enfants des autres. Usée vieillie, réduite à servir de bonne à une vieille dame acariâtre, Louise retrouve un de ses enfants qui l'accueille chez lui. Le soir de Noël, en son honneur, il a réunit tous ceux que Louise a élevés.
Fille aînée du puisatier Amoretti, Patricia s'éprend de Jacques Mazel, un jeune aviateur, issu d'une famille de riches commerçants. Lorsque la guerre éclate, Jacques part rejoindre son escadrille, ignorant que Patricia attend un enfant de lui. Blâmée par son père, la jeune fille est également rejetée par les parents de Jacques.
Une bande d'étudiants musiciens fauchés se rend à Paris pour y passer des examens. Mais très vite, le manque d'argent pousse les jeunes à se faire passer pour des professionnels lors de la représentation. Ils vont alors remporter la victoire !
Le boulanger n'aime que faire son pain et regarder sa jolie femme. Le jour ou celle-ci s'enfuit avec un berger des environs, il n'a plus la force de faire son pain. Alors tout le village se mobilise pour retrouver la femme du boulanger.
Jeune commis épicier un peu mythomane, Irénée, à qui le cinéma a tourné la tête, est convaincu qu'il deviendra un acteur célèbre. Il rencontre une équipe de tournage qui lui réserve une plaisanterie cruelle... Il arrive aux studios plein d'espoir...
28 janvier 1937|
1h 33min
|Policier,
Drame,
Romance
DeJulien Duvivier
AvecJean Gabin,
Mireille Balin,
Line Noro
Guidé par l'inspecteur Slimane, la police tente désespérément de mettre la main sur Pépé le Moko, un célèbre et dangereux malfaiteur caché quelque part dans la casbah d'Alger. Fuyant une nouvelle fois la police, Pépé rencontre une magnifique jeune femme du nom de Gaby, et en tombe amoureux.
A ces heures perdues, l'employé d'une savonnerie marseillaise dirige une équipe de football. Mais des rivalités vont vite se faire sentir dans le stade entre les consommateurs d'huile d'olive et les Bruxellois. Heureusement, le capitaine de l'équipe est amoureux de la fille de son patron, ce qui va permettre d'atténuer petit à petit les tensions...
Tartarin est un bourgeois fanfaron et robuste qui vit à Tarascon, sa réputation repose sur des récits de voyages et d'aventures, plus ou moins inventés. Il se voit alors obligé de quitter son pays et rejoindre l'Afrique pour y chasser le fauve afin d'impressionner son entourage. Là-bas, il vivra des aventures dignes d'un Don Quichotte !
9 octobre 1931|
2h 07min
|Comédie,
Comédie dramatique,
Romance
Date de reprise24 juillet 2024
DeAlexander Korda,
Marcel Pagnol
Avec Raimu,
Pierre Fresnay,
Fernand Charpin
Marseille – Le bar de la Marine – Marius est un jeune homme que la mer exalte. Il aime son père César, bourru et bonhomme, il aime aussi la petite Fanny qui vend des coquillages devant le bar de César. Depuis son enfance, l’envie de courir le monde l’enflamme.
Ignace (1937) de Pierre Colombier
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Synopsis : Un jeune paysan dénommé Ignace Boitaclou est affecté au 647ème Dragon de Névreuse-les-Bains. Devenu célèbre grâce à une chanson, le benêt se fait rapidement remarquer pour être nommé au poste d'ordonnance du colonel. C'est ainsi qu'il fait la connaissance de Monique, la fille du colonel...
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Critique : Mise à part "L'Armoire volante", "François Ier" et les films sous la direction de Pagnol, Fernandel n'a tourné quasiment que dans des mauvais films au cours des années 30 et 40. "Ignace" en est un très beau représentant. Ca se résume à une chanson célèbre, à un scénario inexistant, à une absence remarquable de rythme (oui, je sais que je suis chiant avec mon rythme mais c'est essentiel surtout dans une comédie!), à des gags troupiers minables. Et puis surtout à Fernandel qui cabotine à mort obligeant le reste de l'interprétation à en faire autant. Seul Charpin semble avoir échappé à ce massacre de la subtilité. Totalement dispensable.
Note : 3/20 (*)
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