Fils de Robert Dorfmann, également producteur, Jacques Dorfmann suit d'abord les traces de son père, souvent avec succès( l'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville, La guerre du feu de Jean-Jacques Annaud). Il passe à la mise en scène en 1987 avec Le palanquin des larmes. Suivront des films très différents comme Agaguk et Vercingérorix.