Henri-François Imbert commence à filmer en super-8 à l'âge de vingt ans. Il réalise par la suite des documentaires (Sur la plage de Belfast (1996) et Doulaye, une saison des pluies (1999)) qui restent très liés au film de famille et au journal filmé.
Chargé de cours en réalisation documentaire à l'Université de Paris VIII, Henri-François Imbert met en scène No pasaràn, album souvenir, mélange de fiction et de documentaire présenté à la Quinzaine des Réalisateurs du Festival de Cannes 2003. Le cinéaste cherche à y compléter une collection de cartes postales photographiées dans le village de sa famille durant la guerre civile espagnole.