Thérèse Martin entre au Carmel de Lisieux avec ses trois soeurs à la fin du dix-neuvième siècle. Elle est gaie, ouverte, idéaliste. Les réalités du couvent, son désir de perfection, la mort de son père, les privatisations et le manque de soins altèrent sa santé. Elle lutte à la fois contre la souffrance physique et l’épreuve de la foi. Elle meurt de tuberculose à vingt-quatre ans en laissant un cahier où elle raconte sa “petite vie”. Il est traduit dans le monde entier. Sa tombe devient un lieu de pèlerinage.
Un pays est soumis au pouvoir de la force armée. Les deux fils d'un cafetier, aux côtés d'un photographe et de son assistant, entrent en résistance. Escalade de la violence. Jusqu'où ?
Engagé durant la guerre d'Algérie et passé dans l'OAS, Thomas participe à la séquestration d'une avocate chargée de défendre des Algériens. Elle s'échappe en soudoyant le jeune homme, et l'aide à s'échapper de son univers.
Ils ont 25 ans, ils sont deux à rouler dans un break, ils sont partis des corons du nord pour le soleil du sud de la France. Ils sont passés par Paris où, malgré eux, ils se sont retrouvés à quatre dans la voiture...
Un cinéaste rencontre une femme. Par petites touches, il filme avec sa caméra vidéo des moments de leur vie. Peu à peu, il se rend compte qu'il ne stocke pas des souvenirs mais qu'il construit un film. Il demande à la personne l'autorisation de continuer. Après un an de tournage, 75 minutes de vidéo montées sont prêtes...
Martin, manutentionnaire qui prend des lecons de chant pour devenir chanteur d'opera, rencontre Lea, jeune femme entretenue par Lucien, qu'elle pourvoie en jeunes filles. Ils s'aiment. Mais Martin a du mal a accepter les activites de Lea.