Carolasticot ses critiques films

Honnêtement, je n’ai jamais vraiment compris l’engouement de Disney pour ces adaptations en prises de vues réelles de leurs films d’animation. Mais là, avec Mulan, qui est pourtant un chef-d’œuvre à la base, je trouve ça vraiment dommage. Le film manque d’humour, et les scènes spectaculaires semblent être là juste pour en mettre plein la vue, sans réelle profondeur. On dirait un western spaghetti version Cirque du Soleil à ...
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L’idée de base est plutôt bonne. En plus, j’adore les comédies noires et dramatiques. La musique du film est vraiment top. Après, on n’est clairement pas face à un chef-d’œuvre, mais chacun tient bien son rôle… à part Ben Attal. Honnêtement, je trouve qu’il ne joue pas très bien.

Honnêtement, je suis parti sans aucun apriori. Mais je ne m’attendais absolument pas à ça. Je ne pensais pas que ce serait une comédie musicale, ni qu’il y aurait cet aspect d’opéra un peu étrange. Je m’attendais à un vrai film de gangster avec un côté innovant, mais j’ai trouvé cela franchement grotesque. À aucun moment je n’ai réussi à m’y plonger. Je ne comprends pas ce que la comédie musicale apporte de plus. Les ...
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Call Me by Your Name se présente comme une œuvre ambitieuse mais échoue sur tous les plans, au point de ressembler davantage à un roman-photo soporifique qu’à un véritable film. Les cadrages sur les murs, les arbres ou le temps qui passe tentent désespérément de masquer un vide abyssal d’émotion et de propos. Ce qui aurait pu être un récit touchant sur la découverte de soi et de l’amour se perd dans une lenteur insupportable et ...
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Entre le grotesque et la fable, on se retrouve face à un mélange qui définit assez bien le film, dans une veine rappelant à la fois Emir Kusturica et Almodóvar. On évite les clichés grotesques sur les Français pour retenir surtout Mathilda May, qui évoque subtilement 37°2 le matin, bien que restant en deçà du charisme d’une Monica Bellucci dans Malèna. Quant au lyrisme et à la beauté du film, ils restent discutables : La Lune et ...
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Bien que je sois sensible à l’humour anglais, que j’affectionne particulièrement, cet exemple précis joue exactement dans ce registre mêlant macabre et humour avec une adéquation parfaite pour du véritable humour noir. Cependant, je trouve que l’histoire part un peu dans tous les sens. Si le thème et le concept de base sont absolument géniaux, tout comme les rebondissements liés à l’intrigue, certains éléments me laissent sur ...
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Quelle horreur… Ce film ne mérite même pas les quelques lignes que je prends la peine d’écrire. Impossible de critiquer l’humour, car il n’y en avait tout simplement pas. J’ai ressenti un profond malaise du début à la fin. D’ordinaire, je parviens toujours à trouver un point positif, ne serait-ce qu’un détail, mais ici, rien du tout. Un scénario aussi lourdingue que brouillon, une réalisation « bourrine » incapable de ...
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Ce film est intéressant pour en apprendre davantage, comme c’est souvent le cas avec les biopics. J’ignorais notamment que Simone Veil avait autant lutté contre le sida. J’ai également découvert qu’elle avait dû faire face à plusieurs décès dans sa famille, souvent dans des conditions tragiques, comme ceux de sa sœur et de son fils. Olivier Dahan, fidèle à son style dans le registre des biopics, livre ici une œuvre qui, par ...
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Belle fable sur la famille et la difficulté d’être tjs unis.
15 ans et le film n’a pas pris une ride.
Si la fin spolier tombe un peu dans le pathos spolier, le générique lui est la cerise sur le gâteau.

Artus a dit : « On a peut-être prouvé que si on arrête de servir de la merde aux gens, ils vont au cinéma. »
Oui !
Un pti truc en plus c’est le savoureux mélange de
« nos jours heureux » et le « huitième jour ».
Les acteurs sont évidemment tous attachants, seul bémol pour Alice Belaidi qui n’arrive pas à camper un autre registre que celui de l’agressivité.
Et encore…, je dirai que c’est le film dans lequel elle joue le mieux.

Mis Tarantino mi fait divers, on s’ennuie pendant 1hr et puis on bascule dans le glauque. Deuxième fois que je vois ce film, mais je sais toujours pas quoi en penser. À voir, au moins une fois.

Lisa Azuelos s’inscrit, une fois de plus, dans son registre habituel de la “mère copine”, et le résultat est plutôt convaincant. Certes, on retrouve les clichés récurrents de ses précédents films : des appartements somptueux en plein cœur de Paris, financés on ne sait comment, avec un train de vie extravagant pour une jeune femme censée mener une vie et exercer un métier ordinaires, comme celui de restauratrice. Ce schéma, ...
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Almodóvar nous offre ici un chef-d’œuvre empreint de tendresse et de profondeur, explorant avec une finesse inégalée les liens entre les femmes, notamment la relation mère-fille. Dans “Julieta”, il relègue une fois de plus les personnages masculins au second plan, mettant en lumière la complexité des sentiments féminins. Son message: Rien n’est plus féminin, que la façon dont souffre une femme. Ce film s’impose sans conteste ...
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Ce film n’est certainement pas le meilleur d’Almodóvar. Il dépeint avec lourdeur une enfance marquée par l’Espagne franquiste et le silence ambiant. Les personnages adultes manquent de profondeur, et certaines scènes sombrent dans un voyeurisme gratuit. Néanmoins, il mérite d’être vu au moins une fois.

“Le Dernier des Juifs” est une fable touchante qui, avec finesse, nous fait osciller entre le rire et les larmes en dépeignant une réalité identitaire difficile. Sans jamais tomber dans le pathos, Michael Zindel incarne avec justesse le jeune Ruben Bellisha, un personnage sensible et décalé, contraint par la dureté du monde à une errance symbolique de l’exil et de la dispersion de son peuple. Agnès Jaoui, quant à elle, apporte ...
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Bon, clairement pas le film de siècle, mais je ne comprends pas pourquoi la note est si basse. Ça reste quand même une comédie avec quelques gags qui pousse à rire, plus qu’à sourire… Ça se regarde, pas besoin d’être si sévère.

Bon, j’adore, les films réalistes, bruts et cruels de vérité. Mais là on tombe quand même un peu dans le cliché. On sent la grosse pâte molle féministe et pas vraiment subtile de Mélanie Laurent à travers cette artiste libre que la grossesse emprisonne dans un patriarcat redondant, interprété par Gilles Lellouche. Pourtant, même si je trouve que les deux acteurs interprète leur rôle de façon entraînante, le scénario lui, reste ...
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On savait deja que la bande à Fifi ne brillait pas par son jeu d’acteurs, mais plutôt par ses gags hilarants… Alors oui, leur fonction première n’est pas de rentrer à la Comédie-Française, mais rater la seule fonction qu’ils ont pour eux, à savoir de bonnes répliques et de bonnes vannes… On repassera, j’ai trouvé ça long, sans intérêt et définitivement pas drôle.

J’ai adoré ce film, jusqu’à ce qu’ils traitent Michel Sardou de xénophobe.

Mais sinon c’est correct.
Watchez le osti.

Franchement on n’y comprend rien, c’est toufu, on enchaîne les actions sans vraiment de fil conducteur. Les acteurs sont tous très bons dans leur rôle, particulièrement Catherine Scott Thomas, mais malgré tout, passez votre chemin

Jolie petite fable, bien jouée et pavée de bonnes intentions.
La réalité reste quand même tout autre.
Jamais un juif, voyageant seul, ne survivrait en Égypte plus de deux minutes mais l’histoire me touche.

Petite comédie fraîche et sans prétention.
En revanche, je me demande s’il était vraiment utile de faire deux heures de films sur le sujet Woody Allen. Je suis une incontionnelle fan de ce monsieur et pour autant je me suis ennuyée.
Alice Taglioni joue bien, mais Patrick Bruel est comme d’habitude en dehors du rôle.

Je suis relativement partagée. L’idée est d’originale et mérite de mettre en exergue plusieurs thèmes souvent abs au grand écran: - les failles du système judiciaire - la solitude des grands avocats Mais les décors somptueux et les jeux excellents de ces deux acteurs, NeilsA est absolument bluffant et PB tient (enfin) le ton, ne suffiront pas à supporter un rythme trop peu dynamique. On attend un retournement et …non. ...
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Petite comédie sans prétention mais qui fait le taff.

Tjs un plaisir de retrouver Zabou, seule ombre au tableau : Melanie Bernier qui joue mal, comme d’habitude.

Comédie légère mais qui fait le job.
Je l’avais déjà vu et j’ai eu envie de le revoir.
Nous ne sommes pas sur de la grande réalisation et j’avais peur d’assister un à un pâle remake de ce que veulent les femmes, version féministe et noire mais au final, il s’est avéré très divertissant.

A première vue, on pourrait parler d’un petit film, d’une fable. Un conte un peu plan plan. Mais derrière le Montmartre en carton-pâte, apparaîssent la finesse et la sagesse d’un ancien temps. Il est quand même fou de se dire que notre pays a vécu en quatre génération, trois grandes guerres. Et c’est peut-être à l’ère dune nouvelle que je découvre celui-ci… Il faut regarder ce film pour plein de raisons: - il est ...
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Il n’y qu’une raison pour expliquer ce ratage, un auteur et réalisateur américain faisant tourner des acteurs français, en français, en France.

J’adore Woody Allen mais ce film est mal joué. Les répliques sont américanisées comme si tout le film était doublé.
Quel dommage …

Outre le fait que le sujet est plus que tendancieux étant donné qu’il s’appuie évidemment sur des histoires qui ont déjà été jugées et dont les verdict ont déjà été rendus, la réalisation est ennuyeuse. On voit bien que Camélia Jordana, Version M’adonne du pauvre, essaie de déclencher en nous la fibre activiste mais elle a du mal à tenir son rôle. Elle fait dans le larmoyant, l’hystérie mais ça sent plutôt la grosse pâte molle.

Si vous êtes le genre de personne à trouver que les stars de la tv réalité sont des businesswoman, alors ce film est fait pour vous. « Fille facile » est à « et dieu créa la femme » ce que Zahia est à Bardot : tout l’inverse. Zahia, sans se forcer plus que ça, a la tête l’emploi. Gonflée à l’hélium, son visage est pratiquement déformé et c’est gênant à regarder. Peut-être justement, faut-il y voir, les méfaits ...
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À la deuxième minute, j’ai regardé cb de temps allait durer ce court-métrage et la, j’ai découvert qu’il s’agissait en fait d’un film. UN FILM. Mon dieu. Jeanne Damas, qui ne donne déjà pas le sentiment d’avoir inventé l’eau chaude avec ses yeux de bœuf, propose aisément des la deuxieme minute à un réalisateur (complètement mou) de le mettre en relation avec des escort girls qu’elle connaît très bien… pour ...
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Un des plus beaux films qui m’aient été donnés de visionner.
Le cancer du sein est traité de la plus belle des manières, notamment à travers les sujets douloureux que sont la prise de l’âge et féminité.
cet organe manquant trop souvent négligé prend tout son sens durant ces 2hr de poésie, de nostalgie et mélancolie brésilienne.
Et qui d’autre que la magnifique Sônia Braga pour interpréter ces combats aux sons de bossa nova ?

Absolument génial. J’ai adoré. De l’humour et du grotesque, ajoutez une touche tarantinesque et vous obtenez ces pures 2hrs de folie !
Déjanté !

Je sais que ce film est un peu niais mais il n’en reste pas moins une belle petite comédie romantique, bien interprétée avec des décors et une ambiance colorée.
Cruz fait job, mm avec un accent espagnol à couper au couteau (pour des américains ca passe), on sourit (rit parfois) aux répliques et se laisse porter pour un dimanche soir pluvieux.

Je savais, Luc Besson, capable du meilleur comme du pire, mais qu’est ce donc que cet ovni ?
C’est bourré de clichés mensongers sur les français, à croire que le réalisateur oublie le pays d’origine de sa fan base, on du mal à comprendre où est ce qu’il veut aller; en même temps, jouer une production mi mafia, mi desperate housewives, c’était risqué.

Très moyen.
On retrouve l’humour de Cohen sans pour autant que le film soit réussi.
Divertissant mais clairement pas hilarant.

Tres moyen. La quantité de grosses stars ne suffira pas à sauver l’ambiance “carton-pâte” de cette réalisation qui tient plus du caricatural que de l’historique. Brad Pitt tient son rôle, Diego Calva en boy next door ne sert à rien et Margot Robbie en mauvaise fille ne convainc pas, meme dans ses instants guimauves. Alors oui, les scènes sont rapides pour donner l’illusion d’une dynamique entraînante, de l’urine, du ...
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