Sixième film du réalisateur américain Terrence Malick, révélé par Badlands, apprécié pour Days of Heaven ou Le Nouveau Monde, célébré par La Ligne Rouge et enfin récompensé par The Tree Of Life, A la merveille dévoile une nouvelle facette de ce génie contesté. Brillant sur la forme, A la merveille interroge sur le fond. La caméra, en mouvement du début jusqu'à la fin, nous emporte, du Mont Saint-Michel à Paris, de Paris aux ...
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Et dire que j'ai failli passer à côté d'un des chef d'oeuvre de la décennie. En à peine 1h32, Benh Zeitlin, nom à retenir, nous offre un petit bijoux, une perle rare. Servi notamment par Quvenzhané Wallis, ce film (peut-on même appeler cela un film ?) se magnifie dans la qualité et l'invention d'un scénario, d'un thème, d'une idée. La nature, omniprésente nous rappelle immédiatement un Terrence Malick, qui, très jeune, nous servait ...
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Amour, amour, amour... Michael Haneke, auteur notamment de l'inégalable Funny Games US revient avec Amour, long-métrage narrant la fin de la longue histoire d'un vieux couple dont l'une des figures est touchée par une grave maladie. Était-ce le brillant "Saphir" de la veille qui m'avait ému par l'ambiance particulière de Cannes, était-ce tout simplement à cause d'un manque de sommeil (et oui, au festival, il faut savoir s'adapter et se ...
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Incroyable, impressionant, magnifique. Le 23eme opus de la saga renoue avec l'humour, la flegme britannique, l'intelligence, l'originalité. En plus, des petits clins d'œil (Q, l'aston martin) avec les premiers épisodes de la série. Mais en plus, Sam Mendes, cinéphile confirmé, nous propose diverses allusions, a-t-on à faire à un amoureux d'Orson Welles ? Les miroirs rappellent La Dame de Shangaï, et sans conteste, les sous-terrains, Le ...
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En direct de Cannes, un film simplement magique.
Que ce soit par la force de l'interprétation, du montage, du scénario, ou de la réalisation, "De Rouille et d'os nous offre une nouvelle vision du mélodrame, et nous sublime.
Que ce soit par la force de l'interprétation, du montage, du scénario, ou de la réalisation, "De Rouille et d'os nous offre une nouvelle vision du mélodrame, et nous sublime.
Derrière un velours de plaisanterie légère, "The Desendants" cache un dessous d'une force inqualifiable, et extrêmement dérangeante. Qu'on accroche ou non au flegme de la narration, on sortira de la salle changé, et plein de questions existentielles. Une désinvolture d'apparence nous est montrée dès le commencement, mais très vite l'identification avec le personnage principal, interprété avec brio par Georges Clooney, se fait, et on ...
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A Cannes, l'ambiance est bien différente que dans les salles, et l'accueil de celui-ci fut très chaleureux. Un film en noir et blanc muet, à l'heure de la 3D ? Le pari était risqué, pour ne pas dire irréaliste. On pourra regretter un scénario facile, et une réalisation moyenne (on préférait Hazanavicius avec les OSS), mais on appréciera plus que tout le jeu d'acteur et l'interprétation très réussie de Dujardin et Bejo, qui portent ...
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Eh bien c'est laid plastiquement mais c'est drôle, lourd, mais drôle, il ne faut pas se mentir en se disant "comédie française = navet". Les acteurs sont mauvais mais le scénario et les dialogues sont bons. Petite soirée en famille ? Allez-y !
Pauvre Sir Conan Doyle qui doit souffrir, même maintenant, de ce qui est fait en son nom. Un scénario abrutissant, une mise en scène ridicule et des acteurs qui décidément ne trouvent pas leur place (Jude Law fait un bon film sur deux). Pathétique.
Le titre même l'annonçait, Clint Eastwood nous proposait un film relatant plus la vie de J. Edgar que la vie de Hoover. Si l'histoire de ce dernier paraissait en apparence plus passionnante (Hoover est resté maître du FBI pendant près de 40 ans), celle d'Edgar proposait un fond plus stable, et un vrai message pro-homosexuel surlequel s'appuyer, avec pour thème récurrent la relation particulière entre J. Edgar et Clyde. Qui d'autre alors ...
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Un an après le grand succès du Ghost Writer, Roman Polanski s'attèle à l'adaptation sur le grand écran d'une pièce de théâtre, le "Dieu du Carnage". Très fidèle à l'oeuvre d'origine, le film se déroule dans un huis-clos, format très apprécié par le réalisateur et qui lui réussit bien. L'intrigue donc est assez intéressante, mais le défi était rude pour le réalisateur ; rendre une pièce de theatre appréciable au cinema, et ...
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Tout simplement incroyable, sublime, fabuleux, merveilleux, et unique. Mon cœur battait vite, au fur et à mesure que se dévoilaient les images, les plans, tout est beau dans ce film, de la musique au scénario, du jeu d'acteur à l'apothéose, la réalisation.
Le film débute dans une gare. Le jeune Hugo Cabret se faufile entre les passants, poursuivi par le gendarme de la gare. Puis l'enfant entre dans son "chez-lui", et dès lors, la magie se met en place et ne cesse d'opérer. C'est avec la minutie d'un horloger que Scorsese remonte le temps, pour arriver au début du cinema. On voit des classiques comme "L'arrivée d'un train en gare", et nombre de films de Georges Melies, à qui Scorsese dédit ...
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Il y a toujours de l'appréhension avant un Soderbergh. Traffic, et les deux premiers Ocean's sont très bons, mais ça s'est bien dégradé depuis Ocean's Thirteen. On l'attendait, le Steven des grands jours ! Alors, l'a-t-on trouvé ? Ma réponse est oui. Un film chorale, très bien organisé, des acteurs au top de leur forme (un petit malus pour la frenchie Marion Cotillard dont le rôle ne présente que peu d'intérêt). On est séduit. Le ...
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Scorsese, épaulé de l'excellent Di Caprio, signe avec ce thriller psychologique un de ses plus grands films. Chaque image, chaque plan est choisi avec soin pour former une ambiance opressante et rendre ce film, malheuresement un peu trop dur. Certaines scènes sont inutiles et bien qu'elles donnent au film une certaine beauté, il en devient rapidement presque choquant.
Cependant, si ce film avait été radoucit, il aurait valu 4 étoiles. Je ...
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Si la scène d'ouverture intrigue dans un premier temps, on y voit par la suite une métaphore de la "morale" des hommes politiques, une métaphore d'une lourdeur incommensurable et dont on se serait volontiers passé. Suit donc la vie d'un ministre qui cherche à garder son ministère tout en conservant son avenir politique et donc en évitant de privatiser les gares. Le film est bien tourné avec quelques scènes psychologiques intéressantes ...
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Commençons par le commencement, c'est à dire le scénario. Ecrit par Maïwenn et Bercot, il est digne de la pire des séries télévisées (au hasard Plus Belle La Vie), ou d'un mauvais télé-film au cas échéant, un petit problème, nous sommes au cinéma. Le film relate donc la vie de policiers de la brigade de protection des mineurs qui luttent contre les innombrables vicissitudes subies par les enfants : traque de pédophiles, ...
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Bravo. Félicitations frères Coen. Des acteurs impeccables, à commencer par Jeff Bridges mais suivi par l'incritiquable Matt Damon (meilleur acteur actuel). Histoire accrocheuse. Pas déçue par la fin (pourtant téléphonée après le règlement de compte) contrairement à beaucoup. Le discours d'un roi (certes très bon film) a obtenu les principaux Oscars, mais ces derniers auraient dus être partagés avec True Grit (notamment le meilleur ...
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Georges Clooney conservant son costume d'acteur, mais avec en prime l'acquisition des manettes du réalisateur, l'idée était intéressante et alléchante. Pourtant, et contre toute attente, la première demi-heure passe extrêmement lentement avec une impression de déjà-vu, et une histoire déjà fouillée et explorée par le cinéma américain depuis bien longtemps. Une histoire donc qui peine à se mettre en route, et qui nous propose de ...
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D'un point de vue purement technique, le film frôle la perfection. De très belles images, assez impressionnantes. Bravo donc au réalisateur d'E.T. et de la liste de Schindler entre autres. Pour un premier essai dans le "3D synthétique", c'est réussi pour Spielberg qui signe presque un sans faute. De très belles scènes de course-poursuite, et rien que pour cela, je me permets de conseiller le film. Mais dans le fond cependant, "Tintin" ...
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Un des plus beaux westerns de tous les temps, dédicacé à Sergio et Don, comme par hasard deux maîtres du grand écran et deux parrains de l'immense Clint Eastwood.
Musique (pas chansons) merveilleuse de Hans zimmer. Rien que pour ça ce film vaut le détour. Si il n'y avait que cela ! Le scénario est très bon, les paroles font sourire, même grand, et la phrase akouna mattata (excusez l'orthographe) nous fait toujours réfléchir.
Dur de se décider à regarder un film avec Guillaume Canet. Habitué aux navets, je ne m'attendais pas à ce qu'il ait joué dans UN bon film. Pourtant, il faut dire que CELUI-CI et réellement très réussi. Un bon film d'action combiné d'un bon film avec Guillaume Canet. Il faut bien avouer que c'est sans doute une première dans le cinéma contemporain français.
Si l'histoire veut en dire beaucoup, le film techniquement parlant est catastrophique. Une voix off inutile, une fin trop rapide, un montage brouillon et j'en passe. Bien évidemment, cela n'empêche pas au film d'être très touchant.
Comment qualifier la beauté des images, de la photographie, des cadrages ? Martin Sheen, toujours excellent.
Déçue. Si certains HP se laissaient voir, celui-ci tourne le livre en ridicule avec de pseudos réflexions sur la vie est la mort. Roman touchant, et presque politique, le film n'en montre qu'un pâle reflet.
1 film - 1 chef d'œuvre. Vu récemment dans un plutôt grand cinema d'art et essai. La salle, ainsi que moi, a plus qu'aimé. Bravo au tout jeune réalisateur qu'était alors le grand Terrence Malick, aujourd'hui arrivé au sommet de son art avec "The Tree of Life". Après avoir vu "La ligne rouge", je peux affirmer qu'il fonctionne de la même façon. Une voix-off et une camera toujours au meilleur endroit.
Tout simplement exceptionnel. Je n'ai jamais vu de films de guerre d'une si bonne qualité graphique.
Ce film n'est pas spécialement convaincant. Poétique et léger en apparence, le fond est plus vaste, ou du moins, aurait dû l'être. Un message qui passe difficilement. A voir.
Excellent. On rit à s'en décrocher la mâchoire. Durant tout le film en plus. Brad Pitt enfin dans un bon rôle. A part les ocean's c'est très rare.
Vu à Cannes. Dérangeant et inutile.
N'allez pas le voir, c'est un conseil. Vous me remercierez plus tard.
N'allez pas le voir, c'est un conseil. Vous me remercierez plus tard.
Sympathique, mais un casting ne fait pas un film. Rythme enjoué, le scénario reste bien pale. À voir tout de meme dans des moments de déprime.
Bon moment, bonne soirée. John Slattery (vu dans Mad Men et Desperate Housewives), et le héros Matt Damon démontrent à eux deux l'excellence des acteurs. La mise en scène n'est pas à critiquer, au contraire du scénario, quelque peu faiblard. Seulement, le plus dérangeant est la fin... Trop facile, mais ici, seul Dick est à mettre en cause.
Les questions posées n'en restent pas moins assez philosophiques. Finalement, un film qui se ...
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Go ahead, make my day. Inscrit dans l'histoire même du cinéma, avec un Clint Eastwood
comme à son habitude : parfait.
comme à son habitude : parfait.